Site icon Le blog A Lupus un regard hagard sur Lécocomics et ses finances

Diviser opposer imposer, l’art de la guerre au service de l’oligarchie Par Master T

Publicités

Diviser opposer imposer, l’art de la guerre au service de l’oligarchie

La guerre civile est le résultat de l’entropie dont le Système a le secret, car au fond nos maitres ne sont que les métayers du Système qui les domine, à la manière de poupées russes.

De nos jours, il apparait de plus en plus évident que les politiques sont à la masse, qu’ils agissent et réagissent en dépit du bon sens et que la raison de leurs agitations ne s’expliquent qu’en regard d’impératifs dictés par le haut du panier social: l’oligarchie. Ce que recherche celle-ci est de créer les conditions préalables du détournement des énergies consécutives aux frustrations cumulées d’une société malade qui draine dans son sillage les furoncles de 40 années de politiques mortifères. Quand l’horizon économique s’assombrit et que les perspectives d’émulation sociale s’éteignent, le feu de la contestation prend doucement le relais, s’alimentant autant à la mamelle des faits divers (véhiculés par les agences de propagande détenues par l’oligarchie) qu’à celle des politiques absconses prodiguées pour la circonstance. Circonstances s’aggravant à mesure que le baromètre des émotions prend le chemin irréversible de la violence et de la haine… haine qu’alimentent l’indigence et la forfaiture des politiques.

Dans le processus qui a court nous devrions nous interroger sur les motivations véritables derrière le décorum médiatique qui entoure de ses fumées ubuesques le « vivre ensemble » et sa contre-partie pathologique: » l’immigrationnisme »… En effet, l’immigration est plus qu’elle-même, une représentation effective de la réalité, mais aussi se trouve-t-elle être porteuse d’une idéologie révolutionnaire pour la société en tant que culture millénaire mutilée, sensée, par les voies gestatives de l’enfantement, nous fournir dans la douleur croissante des contractions un modèle sociétal conçus fidèlement selon l’image fantasmée de nos maitres.

Comme je l’ai déjà dit sur ce site, « on ne fait pas boire plus que ce qu’une éponge est capable, naturellement, d’absorber », hors, une nation n’a pas à hypothéquer son avenir en s’infligeant une telle pénitence collective, car non seulement le peuple aura à en pâtir mais ceux-là même que l’on aura permis de venir auront à en payer le prix fort!. La situation financiaro-économique de ce qui nous reste de nation est dans un tel état de délabrement que rajouter, en flux constant, la misère du monde, ne peut que conduire ce pays à la guerre civile… mais n’est-ce pas ce qui est recherché?, A qui profite le crime?… la réponse est dans le titre, évidemment, du moins pour ceux que la « pensée unique » n’a pas encore totalement conditionné au point de penser rose quand tout est sombre.

L’oligarchie a un projet sociétal qui dépasse les frontières devenues entièrement poreuses aux idéologies contaminantes mondialistes qui ramène, de fait, l’Humain au même niveau que des produits, services ainsi que capitaux, dont nos maitres ont su nous rendre si dépendant… c’est cela le prix de la servitude, il nous en coute notre liberté véritable, contrepartie de notre dignité perdue… Ils ne nous paraissent jamais aussi grands que quand nous sommes à genoux.

La guerre civile est le résultat de l’entropie dont le Système a le secret, car au fond nos maitres ne sont que les métayers du Système qui les domine, à la manière de poupées russes.

L’Humain est à l’image de la Nature, sacrifié sur l’autel du consumérisme global au seul profit des dieux dont l’hybris n’aurait d’égal que leur aveuglement.

Le Système n’est que la manifestation sémantique de l’inconscient collectif et celui-ci s’avère etre la formulation émotionnelle,effective, de notre Histoire collective, nous dirions SUR-naturelle, car SUR-déterminante de nos actes/pensées selon une échelle cognitivo-spirituelle propre à chacun.

L’oligarchie a pris son parti de nous diviser afin que par les oppositions croissantes, sur le lit tumultueux des émotions et passions, germe le conflit… dans les larmes et le sang… offrandes offertes aux dieux du mercantilisme pour qu’opère, en le réalisant, ce désir si enivrant de puissance/jouissance. Viendra un temps ou le couronnement de leurs abominations s’imposera avec notre consentement… les énergies passionnelles seront passées par là.

Il y a des signes avant-coureurs qui devraient nous donner à réfléchir :

-En 2005 les banlieues se mettent à flamber, il faut y voir en microcosme ce qui pourrait prendre une forme macrocosmique. La durée et le niveau de violence sont eux même susceptibles d’augmenter à des niveaux jamais vu jusqu’ici.

-En 2016, en réaction à un guet-apens tendus à la police et aux pompiers des centaines de corses décident de monter dans les « quartiers »et de chercher les coupables. Ce coup de force réactif est un préalable à de futures interventions car l’exemplarité du geste est cautionnée par la majorité silencieuse… à commencer par celle qui en souffre directement… les gens des quartiers.

La situation socio-économique ne peut qu’empirer, mais ce qui tient encore debout: « la paix sociale », « le vivrensemble » ceux-là ne tiennent que par ce qu’en face la grande redistribution/assistanat abreuve le sillon stérile d’une immigration élevée en batterie, sans autre horizon que le chômage, le RSA, la CMU…et le bénéfice juteux (en bonus) du deal. C’est dans des forteresses contrôlées par les malfrats, issus du cru, dit pudiquement: « zone de non droit »… que le tonneau des Danaides fiscales n’attend plus que sa flamme.

Des malfrats armés contrôlent l’entrée comme la douane contrôle une frontière… ici pas d’espace Schengen!.Il va de soi que le petit peuple désarmé, lui, abandonné à son triste sort par une police sur le frein, contemple de son balcon ce cirque quotidien et se stresse en se demandant si demain il retrouvera encore intègre son gagne-pain quotidien: sa voiture.

Combien de jeunes et moins jeunes ont compris que l’état « vache à lait » leur offrait aussi le beurre, l’argent du beurre et maintenant la crémière?. A Cologne, la crémière est allemande.

Pour parodier Bastia, ce célèbre économiste français: « il y a ce que l’on voit: ces zones favelas, et ce que l’on ne veut surtout pas voir »: la bombe sociale sur laquelle une nation a hypothéqué son auguste séant ».

La percolation fiscale alimente ce système en confortant l’immigré dans un calcul simpliste mais oh combien doublement avantageux: plus je fais de gosses, plus je touche, et tant mieux s’il en est ainsi puisque culturellement faire des gosses c’est aussi dans ma tradition!.

La courbe de Laffer devrait très logiquement être franchie, plus qu’un col avant la descente, celle de la dépression, et on sentira assez rapidement le rendement fiscal décroitre à mesure que le tissus entrepreneurial s’effilochera puis se rompre et ceci en même temps qu’une classe moyenne lessivée et ulcérée viendra ainsi grossir le socle déjà bien élargi des nouveaux pauvres. La courbe de Laffer c’est: plus je veux pomper fiscalement, moins il en sort.

La mort de l’assistanat, justifié/légitime ou non, selon qui elle vise, aura pour conséquence la révolte protéiforme des classes (« moutons tondus unissez-vous ») et des inclassables (nos parasites des cités lacustres ou prolifère les « intouchables » de la république).

La réponse de l’état, en toute logique, sera de passer de l’état d’urgence à la loi martiale, car le désordre social sera paroxystique, si bien que le sécuritaire exigera l’abolition des libertés… les « Charlie » d’hier seront les charlots de demain.

La guerre de trente ans avait vu la France investie de ses hordes barbares évoluer de villages en petites villes à la recherche de richesses sans que justice ou forces de l’ordre ne puissent intervenir…

Il reviendra donc aux français de se prendre en main… à la manière corse, en un peu plus radical certainement…. question d’époque charnière ou l’on se condamne à revivre ce que l’on croyait naïvement impossible… mais « impossible n’est pas français! »

EN BANDE SON

Quitter la version mobile