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Terrorisme islamique : Trump annonce la fermeture des frontières et veut accueillir en priorité les réfugiés chrétiens ayant subi la persécution

Terrorisme islamique  : Trump annonce la fermeture des frontières

reinformation.tv janvier 28, 2017c3ocatiwyaa15qb

Le président américain Donald Trump devrait signer prochainement un nouveau décret pour protéger les Etats-Unis du terrorisme islamique. Intitulé « Protéger la nation des attaques terroristes des ressortissants étrangers », le projet de décret annonce la fermeture des frontières des Etats-Unis aux étrangers issus de plusieurs pays à haut risque – qui se trouvent être musulmans – et gèle pendant quatre mois le Programme américain d’admission des réfugiés (USRAP). Les réfugiés syriens sont dès aujourd’hui interdits de séjour.

Trump défend la fermeture des frontières à certains ressortissants musulmans

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A peine porté à la connaissance des médias, le projet de Trump a immédiatement été interprété comme une façon de faire barrière à l’immigration musulmane, même s’il ne parle pas explicitement des « nations musulmanes ou islamiques ». Reuters, AFP, The Hill et le Washington Post ont publié une liste des pays concernés : l’Irak, la Syrie, l’Iran, le Soudan, la Libye, la Somalie et le Yemen. Interviewé par ABC News le 25 janvier, Trump s’est défendu contre les accusations d’amalgame : « Non, il ne s’agit pas de l’interdiction d’entrée aux musulmans. Ce sont des pays où règne une terreur effroyable. (…) Ce sont des pays dont les ressortissants vont entrer ici en suscitant d’énormes problèmes. Notre pays a déjà bien assez de problèmes sans laisser entrer des gens qui, dans de nombreux cas ou dans certains cas, cherchent à provoquer des destructions énormes. »

Halte à l’immigration islamique pour contrer le terrorisme

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Le projet de décret met l’accent sur le processus de délivrance des visas qui, dit-il, « joue un rôle primordial pour repérer les individus ayant des liens avec les terroristes, et pour les empêcher de rentrer sur le territoire américain. » Les attentats du 11septembre, où le système a failli précisément dans ce domaine, l’a tragiquement prouvé. Le texte prévoit de suspendre l’émission de visas pour les étrangers des pays à risque, et de mettre en place une recherche systématique d’informations sur le demandeur de visa au pays dont il est originaire. Poursuivant le même objectif, Trump prévoit de suspendre le programme américain d’admission des réfugiés pendant quatre mois ; durant cette période, de nouvelles procédures viendront renforcer le dispositif actuel de contrôle des personnes. En ce sens, le texte précise : « La dégradation des conditions de vie dans certains pays, en raison de la guerre, des conflits, des catastrophes et des troubles publics, accroît le risque de voir des terroristes entrer dans notre pays par tous les moyens possibles. »

Pays musulmans à risque : une liste limitative

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Le projet prévoit d’établir à l’avenir une liste des pays dont les réfugiés se verront refuser l’accès au territoire national ; seule la Syrie est d’ores-et-déjà concernée, « jusqu’à ce que les amendements apportés à l’USRAP rendent ce programme conforme à l’intérêt national ». Le texte demande au Secrétariat à la défense de produire dans les quatre-vingt dix jours un plan pour définir des « zones de sûreté en Syrie et dans les régions environnantes » pour les Syriens déplacés en attente de leur rapatriement ou de leur replacement dans un pays autre que les Etats-Unis. Ce projet de décret, « Protéger la nation des attaques terroristes des ressortissants étrangers », devrait apparaître prochainement sur le site internet de la Maison Blanche, dans la rubrique « Actions présidentielles ».

http://reinformation.tv/terrorisme-islamique-trump-fermeture-frontieres-pays-risque-ressortissants-musulmans-breves-65457-2/

Dans une entrevue exclusive accordée au Brody File, le président Donald Trump a déclaré que les chrétiens persécutés seraient prioritaires pour obtenir le statut de réfugiés aux États-Unis.

L‘interview a eu lieu vendredi 27 janvier au matin dans la salle bleue de la Maison Blanche. L’intégralité de la vidéo sera diffusée dimanche sur la télévision câblée Freeform, lors d’une émission spéciale de CBN News. Cette entrevue du nouveau Président élu est la troisième à être réalisée depuis la Maison Blanche, et sera la première à être diffusée en intégralité. Nous vous proposons d’en découvrir la retranscription de l’extrait diffusé sur CBN.

David Brody : « En ce qui concerne les chrétiens persécutés, les voyez-vous comme une sorte de priorité ici ? »

Président Trump : « Oui. »

David Brody : « Qu’allez-vous faire ? »

Président Trump : « Ils ont été horriblement traités. Savez-vous que si vous étiez chrétien en Syrie, il était impossible, ou du moins très difficile d’entrer aux États-Unis ? Si vous étiez un musulman, vous pouviez entrer, mais si vous étiez chrétien, c’était presque impossible et la raison était si injuste, tout le monde était persécuté… Ils ont coupé les têtes de tout le monde, mais plus encore des chrétiens. Et je pensais que c’était très, très injuste. Nous allons donc les aider. »

Selon un rapport du Centre de recherche Pew, 99% des près de 12 600 Syriens ayant obtenu le statut de réfugié l’année dernière étaient musulmans. Moins de 1% étaient chrétiens, alors que la population de la Syrie est à 87% musulmane et 10% chrétienne, selon le CIA World Fact Book.

Toujours selon l’agence Pew, les États-Unis auraient admis un nombre record de 38 901 réfugiés musulmans en 2016, mais sensiblement le même nombre de chrétiens, soit, 37 521.

https://www.infochretienne.com/donald-trump-veut-accueillir-en-priorite-les-refugies-chretiens-ayant-subi-la-persecution/

IMMIGRATION : LES PROCES INTENTES CONTRE L’ADMINISTRATION TRUMP ECHOUERONT : EXPLICATIONS…

 

Le Nouveau Journal de Jackturf 28 Janvier 2017 

Le Conseil des relations américano-islamiques (CAIR) a annoncé son intention de poursuivre le président Donald Trump au sujet de son ordonnance interdisant la plupart des immigrants de Syrie et d’autres pays qui manquent aux normes de contrôles internationaux et qui ont des problèmes avec le terrorisme.
 
Durant la nuit, les réfugiés qui souhaitaient rentrer aux États-Unis sont maintenant détenus, mais ont intenté des poursuites judiciaires. Cependant, l’impact de la mesure est limitée, la plupart des compagnies aériennes des Pays concernés par l’interdiction, ont par précaution, interdit de vol les sujets dit à problèmes.  L’interdiction est perçue par certains comme une interdiction musulmane partielle.  De toute façon, face à n’importe quel procès, la loi soutient l’ordre Trump, et CAIR ou d’autres sont susceptibles de perdre, complètement, de façon concluante et rapide.
 
La Constitution confère en effet au Congrès et au Président un contrôle plénier exclusif sur l’immigration. C’est ainsi que Carter et Obama ont pu isoler différents états ou croyances pour exclure les migrants sur cette base.

Les procès contre l’atout de l’interdiction de l’immigration musulmane échoueront rapidement

Tout d’abord, la Constitution donne au Congrès le droit de déterminer la naturalisation, et le Congrès donne au Président le pouvoir express de faire comme lui.  

L’article 1182 du titre 8 stipule que le président peut «par proclamation» suspendre l’entrée de «tous les étrangers ou toute catégorie d’étrangers» que le président «jugera approprié» et chaque fois que le président «trouvera» que tel ou tel groupe d’étranger serait «préjudiciable» aux intérêts des États-Unis.
 

Ce pouvoir extraordinairement large trouve une affirmation directe et claire par la Cour suprême dans une série de décisions. Comme l’a expliqué le tribunal dans l’affaire Valenzuela-Bernal:

«Le pouvoir de réglementer l’immigration, attribut de souveraineté indispensable à la préservation de toute nation, a été confié par la Constitution aux branches politiques du gouvernement fédéral».

La Cour, «sans exception», a qualifié ce pouvoir de «plénière», habilitant la prérogative présidentielle expressément déléguée par le Congrès, avec le droit de «faire des règles pour l’admission des étrangers».
 
Le Congrès a découpé la protection seulement pour une classe limitée d’étrangers : ceux qui souhaite obtenir un visa d’immigrant. Même ici, les seules limites sont la race, le sexe, la nationalité, mais aucune limite sur le pouvoir présidentiel d’exclure fondée sur la religion, les désignations de terrorisme etc….  

Tous les musulmans peuvent être légalement exclus. Tous les partisans de la charia peuvent être exclus juridiquement.
 
Ainsi, la Cour fédérale est susceptible de rejeter l’affaire CAIR, car les questions soulevées dépassent largement la juridiction du tribunal, une question politique dans laquelle la Cour est le mauvais endroit pour les plaintes CAIR.
 

Une autre perte de procès libérale les attend probablement. Peut-être que les amateurs de procès se souviendront de ce que l’ancien président Obama nous rappelait une fois : les élections ont des conséquences.
 
Robert Barnes est un avocat basé en Californie dont la pratique se concentre sur la défense fiscale et la loi du Premier Amendement. Il est un collaborateur de LawNewz.
[Image via screengrab NY Times]. 

Ceci est un morceau d’opinion. Les opinions exprimées dans cet article sont celles de l’auteur. Suivez LawNewz

Source : http://www.infowars.com/on-trial-lawsuits-against-trump-on-muslim-immigration-ban-will-fail-fast/

http://actucourses.blogspot.de/2017/01/immigration-les-proces-intentes-contre.html

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3 réponses »

  1. Bonjour,

    J’ai relu la liste des pays du monde musulman dont les ressortissants sont interdits d’accès sur le territoire américain sous prétexte de terrorisme. Ce sont l’Iran, l’Irak, la Libye, la Somalie, le Soudan, la Syrie et le Yémen. Passons sur le fait que cinq de ces pays sont dans une situation chaotique du fait des agissements inconsidérés de l’administration américaine depuis une bonne vingtaine d’année. Celle-ci n’est pas due aux agissements du nouveau président et, quoiqu’il en coûte à ses détracteurs, il ne peut lui en être fait grief. Curieusement, on n’y trouve pas l’Arabie Saoudite, le Pakistan et l’Afghanistan, pays qui ont des liens plus ou moins appuyés avec cette mouvance et qui, pour au moins deux d’entre eux, ne sont pas spécifiquement des havres de paix à l’aune de constat. Mais comme l’a dit très justement un commentateur ce matin: « economist is not stupid, isn’t it? »

    Bonne journée

Répondre à josephhokayemAnnuler la réponse.