Contre-attaque trumpienne : Devin Nunes déclenche « Obamagate »
www.bvoltaire.fr mars 27, 2017 André Archimbaud
Cela fait plus de quatre mois que Soros, Pelosi et leurs sicaires « maïdanisent » Donald Trump. Des centaines de millions investis, destinés à convaincre l’opinion que le président Trump sera de toute façon déposé.
Les fuites sur les rencontres (légales) du général Flynn avec l’ambassadeur de Russie avaient ainsi causé la perte de celui qui prévoyait un coup de balai dans le secteur du renseignement et de l’espionnage, et qui prônait une association géostratégique avec deux anciens empires : la Russie et la Turquie. Fuites qu’Obama avait favorisées en modifiant, la veille de son départ, les règles de partage des données entre les agences de renseignement (afin de compliquer toute enquête ultérieure sur les fuiteurs). Effectivement, ça fuitait comme à Gravelotte ! Puis l’attaque du 1er mars – au lendemain du remarqué discours de Trump au Congrès – visa le ministre de la justice Jeff Session. Accusé de traîtrise pour avoir rencontré l’ambassadeur russe dans le cadre de ses fonctions sénatoriales, il dut sauver sa peau en acceptant de se désister dans toute enquête de son ministère portant sur « les ingérences russes ». Le FBI en roue libre…
Or, depuis le 4 mars, plus de fuite majeure ! Obama, dont les proches disaient qu’il allait « maintenant » intervenir dans le discours public, est resté coi.
Et pour cause : par une série de pirouettes twittoresques, Trump accusait, le 4 mars, Obama de l’avoir mis sur écoute, en questionnant la légalité. Dénégations de l’entourage d’Obama sur un ton rappelant le juridisme clintonien, suivies d’une massive campagne médiatique présentant le président comme un menteur.Un « menteur » qui a su faire oublier l’affaire Session pendant un mois et qui a neutralisé (les fuiteurs devenant nerveux) sa mise à mort prévue le 20 mars dernier, lors de la première session publique du House Intelligence Committee de la Chambre des représentants, en présence des patrons du FBI et de la NSA précisément. La réunion « bipartisane » a, certes, permis à Comey (FBI) de « révéler » que la campagne Trump était sous enquête depuis juillet 2016, a fait comprendre qu’il n’avait aucune intention de mener une enquête sur l’illégalité des fuites anti-Trump et que les accusations de Trump sur ses écoutes par Obama n’étaient pas fondées. Ce ne fut pas la catastrophe prévue, mais tout de même, ce fut un coup dur pour Trump qui passait officiellement au statut d’accusé pour les mois à venir.
Or, deux jours après, Devin Nunes, le président dudit House Intelligence Committee (!) change la donne. Il organise une série de conférences de presse (dont une à la Maison-Blanche), explique qu’il dispose de « sources » en provenance de lanceurs d’alerte semble-t-il écœurés par le comportement de leurs hiérarchies. Qui allèguent que les agences de renseignement (donc Obama) auraient potentiellement détourné la loi en trouvant des moyens légaux d’utiliser l’appareil d’État pour détruire un opposant politique, leur permettant de ratisser des informations sur Trump et son entourage, informations sans importance pour la sécurité nationale mais constitutive d’un terreau de rumeurs potentielles, et surtout sans rapport avec la Russie. Nuance importante : ici, le ministre Jeff Session peut agir en pleine capacité et lancer une enquête indépendante au sein de son ministère avec convocation d’un grand jury, tout en mettant Comey au pas… pour lancer le cas « Obamagate » et associés. Vastes perspectives…
Le juge Andrew Napolitano a déclaré sur Fox News que ce ne sont ni la NSA, ni la CIA, ni la FBI états-unien, qui ont espionné le candidat, puis le président élu Donald Trump, mais le GCHQ (Government Communications Headquarters) britannique.
Le GCHQ est membre de l’accord des « Cinq yeux » constitué le 5 mars 1946 dans le prolongement de la Charte de l’Atlantique et de la victoire alliée.
Les liens entre le Royaume-Uni et l’administration Obama sont d’autant plus forts que Londres a financé le début de la campagne électorale présidentielle de Barack Obama. De nombreux membres de la première administration Obama avaient été choisis au sein de la Pilgrim’s Society, une très discrète association présidée par la reine Elisabeth II.
Selon le juge Napolitano, le GCHQ transmettait au président Obama les transcriptions des écoutes téléphoniques de la Trump Tower.
En 1974, le président Richard Nixon avait été contraint de démissionner lors du scandale du Watergate car il avait fait placer sur écoutes le quartier général de son rival démocrate.
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La vieille sorcière Clinton n’accepte pas le verdict des urnes et continue la partie meme si « The Game is Over » ,
Espéront que son muslim de Hussein Oblabla va se faire prendre la main dans le sac, et sera traduit en Haute cour Fédérale de justice.
« The Game is Over » Miss Hillary !!!!
Bonjour, en complément des informations de Lupus, nous vous proposons avec son autorisation notre Revue de presse quotidienne :
Revue de presse du jour comprenant l’actualité nationale et internationale de ce jeudi 30 mars 2017
Est disponible dans la section Revue de presse de Crashdebug.fr
https://www.crashdebug.fr/revue-de-presse
Et toujours des moments détentes mémorables :
Moment détente. L’imposture « Emmanuel Macron » démasquée sur Canal Plus
https://www.crashdebug.fr/diversifion/13205-moment-detente-l-imposture-emmanuel-macron-demasquee-sur-canal-plus
Merci Lupus,
Amicalement,
f.
A reblogué ceci sur josephhokayem.