Douce France

70 ans de mensonges, ça suffit ! Hitler était un socialiste, pas un homme de droite

«Je suis socialiste, et un socialiste plus authentique que votre riche ami, le Comte Reventlow», dit Hitler à Otto Strasser le 21 mai 1930 à Berlin (1).

FRANCE – DECEMBER 01: F.Mitterrand during the Second World War In France In December 1937-1942 the 15th october : with marechal Petain, Marcel Barrois and general Campet at the Hotel du Parc. (Photo by Pierre PEAN/Gamma-Rapho via Getty Images)

Hitler était-il vraiment un homme de droite comme le prétendent presque tous les historiens progressistes ? En fait, non, il était de gauche. C’était un vrai socialiste, son parti ne s’appelait pas Parti socialiste national des travailleurs allemandspar erreur.

Vous voulez des preuves, en voilà…

Qui a déclaré…

 » Nous sommes des ennemis, des ennemis mortels, du système capitaliste actuel avec son exploitation des économiquement faibles… et nous sommes résolus en toutes circonstances à détruire ce système. »

Marx ? Staline ? Trotsky ? Non, Gregor Strasser, théoricien du nazisme.

Qui a prononcé ce discours…

 » Nous voulons la révolution économique impliquant la nationalisation de l’économie […] Nous voulons un véritable socialisme au lieu d’un système économique capitaliste exploiteur. »

Jean-Luc Mélenchon lors de la fête de l’Huma ? Non. Gregor Strasser au Reichstag en novembre 1925.

Etats-Unis

Saviez-vous qu’aux Etats-Unis, le parti Démocrate a défendu l’esclavage, déclenché la guerre civile, fondé le Ku Klux Klan et combattu toutes les grandes lois sur les droits civils de l’histoire des États-Unis ? (2)

Sans doute pas, puisque les Démocrates accusent les Républicains d’être racistes et que les médias sont leur complice dans le rabâchage de ce mensonge.

Le fondateur du Ku Klux Klan était un Démocrate, ainsi que tous les dirigeants du Klan qui lui ont succédé. David Duke, l’actuel président, est le premier non-démocrate.

Tant que nous y sommes, puisque nous venons de rappeler que les esclavagistes, en Amérique, étaient tous des Démocrates, ajoutons que ce sont les Républicains qui ont libéré les esclaves et fait interdire l’esclavage.

Italie

Mussolini était aussi un homme de gauche (ce qui fait des fascistes des hommes de gauche, pas d’extrême droite). Les dirigeants fascistes défendaient le collectivisme, la nationalisation de l’industrie, le protectionnisme et les conseils d’ouvriers.

Mussolini n’est pas passé du socialisme au fascisme comme le soutiennent les historiens qui ont réécrit l’histoire du fascisme pour innocenter la gauche. Il est simplement devenu un socialiste qui croyait fortement en une nation unie qui a pu surmonter la hiérarchie sociale par le travail au profit de l’Etat.

En 1932, Mussolini reconnaissait encore les affinités du fascisme avec le communisme.

Il déclare :

 » Dans toute sa partie négative, nous [le fascisme et le communisme] sommes semblables. Nous et les Russes sommes contre les libéraux, contre les démocrates, contre le parlement ». (In Richard Pipes, la Russie sous le régime bolchevique*, 1993)

« A la lecture des théologiens fascistes, on se rend vite compte que les fascistes sont aussi obsessionnellement anticapitalistes que n’importe quel bolchevique ou social-démocrate », écrit Bernard Switalski le 18 avril 2004 (1).

Grande-Bretagne

Lorsque les médias évoquent le BNP [British National Party, Parti nationaliste anglais] ils lui collent toujours l’épithète « extrême droite ».

Ils mentent.

Un simple survol des textes du BNP permet de trouver les propositions suivantes :

  • forte augmentation des retraites,
  • plus d’argent pour la santé publique,
  • meilleure protection des travailleurs,
  • nationalisation des industries stratégiques.

Je crois que j’oublie quelque chose. Ça y est, ça me revient : « 80% des collabos de la Seconde Guerre mondiale étaient de gauche », explique le Rabbin Haïm Harboun.

France

« Il est temps qu’on lève le voile posé par les historiens des années 70 et 80 qui se sont largement employés à revisiter l’histoire pour sauver leurs meubles»explique Harboun.

Oui, levons le voile, et faisons en sorte qu’il ne retombe pas sur les mensonges du passé dégueulasse de la gauche, dont l’écho éclaire le présent, avec la violente censure de toutes les idées dont ils n’autorisent pas l’expression.

L’économiste et historien Simon Epstein y est allé de son expertise pour montrer que la gauche réécrit l’histoire pour faire disparaître son honteux passé.

Voici ce qu’il écrit :

  1. La majorité des premiers résistants étaient issus de l’Action Française qui prônait le “nationalisme intégral”. Les collaborateurs, pendant la Seconde Guerre mondiale n’étaient donc pas majoritairement à l’extrême droite. C’est tout l’inverse.
  2. Le pacifisme fut le vecteur principal de la collaboration avec les nazis, et les pacifistes furent donc très nombreux à collaborer.
  3. La gauche fut dominante dans la collaboration avec Hitler parce qu’elle fut dominante dans le pacifisme entre 1940 et 1944.

Que François Mitterrand fut l’ami de René Bousquet, le collabo responsable de l’arrestation de plus de 60 000 Juifs principalement par la police française n’est plus un secret, même si à gauche, le fait est minimisé comme s’il n’avait pas d’importance, ou ignoré.

Que Mitterrand fût pétainiste n’est pas non caché, et cela montre que les collabos ne sont pas ceux qu’on croit. Dans une lettre retrouvée dans ses archives, François Mitterrand fait même l’éloge du SOL (Service d’Ordre Légionnaire), groupe paramilitaire chargé de pourchasser les ennemis du régime de Vichy.

Et Mitterrand est à Vichy lorsque les fonctionnaires de la police française arrêtent les Juifs à Paris et en zone libre, sous les ordres de son ami René Bousquet.

En avril 1943, François Mitterrand remplit un formulaire pour recevoir la francisque. Tout le monde sait que Mitterrand a reçu la francisque. Ce qu’on sait moins est qu’il déclare :

« Je fais don de ma personne au maréchal Pétain, comme il a fait don de la sienne à la France. Je m’engage à servir ses disciples et à rester fidèle à sa personne et à son œuvre ».

Mitterrand était-il le seul homme de la gauche française à collaborer ?

Loin de là :

  • Pierre Drieu-La Rochelle, partisan du fascisme français dans les années 1930 et collaborateur pendant l’occupation allemande. Etait-il vraiment d’extrême droite avant-guerre ? Non. Il était de gauche.
  • Jean Luchaire, Pierre de Brinon, Alphonse de Chateaubriand : des hommes de gauche.
  • Doriot, Déat ? De gauche.
  • Les collabos comme Cocteau, Aymé, Giono ? De gauche.
  • Bergery ? Radical de gauche.
  • Bertrand de Jouvenel ? De gauche.
  • Simon Sabiani, Maurice-Ivan Sicard, Paul Perrin, André Grisoni, Paul Rives, Maurice Levillain, Barthélemy Montagnon, René Chateau, Claude Jamet : tous de gauche, tous collabos.
  • Robert Jospin (le père de Lionel) pacifiste intégral, munichois, proche de Marcel Déat : SFIO.
  • Camille Chautemps, Georges Bonnet, Maurice Papon, René Bousquet : la gauche radicale.
  • Robert Hersant : gauche radicale.
  • Charles Spinasse, Georges Monnet : eux aussi de gauche.
  • Alfred Baudrillart, Marc Augier, Jean Balestre : tous à gauche.
  • Camille Planche, Léon Emery, René Gérin, étaient déatistes et venaient de la gauche.
  • Saint-Loup (alias Marc Augier qui, avant-guerre, chantait “Au devant de la vie” avec ses camarades juifs des Auberges), Saint-Paulien (alias Maurice-Ivan Sicard, qui avant-guerre vomissait dans son “Huron” le fascisme et les fascistes), Roland Gaucher (ex- Roland Goguillot qui militait aux Etudiants révolutionnaires), François Brigneau (Emmanuel Allot, pacifiste de gauche) : des ex-antifascistes, des anciens de la gauche et de l’extrême gauche, et qui devinrent des ordures de la collaboration, puis militants d’extrême droite après la guerre.
  • René Bousquet, secrétaire général de la police de Vichy : centre gauche.
  • 12 des 17 ministres SFIO de la fin de la III° République furent exclus du parti après guerre pour avoir collaboré avec les Allemands.

Qui a écrit, dans ses mémoires…

« Il vaut mieux tomber dans le bolchevisme que de vivre dans l’éternelle servitude capitaliste. »

Ne cherchez pas. C’est Joseph Goebbels, dans son journal personnel.

 © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

Sources :

(1) http://www.hartford-hwp.com/archives/27/075.html
(2) https://www.prageru.com/videos/inconvenient-truth-about-democratic-party

http://www.politique.net/2008022603-francois-mitterrand-petainiste.htm
http://philosemitismeblog.blogspot.com/2011/05/quand-francois-mitterrand-denoncait.html

OK+++++++++++++++++++++++++++++++++++++

10 réponses »

  1. Voir Wikipedia qui est désormais au mains de gauchiards de la pire espèce et qui réécrivent des pages entières qui n’ont pas besoin de censure puisqu’ils s’autorisent eux-mêmes à s’autoriser et le tout à l’avenant dans tout un tas d’autres secteurs . . .

    • @zelectron
      Vous avez raison ce sont d’infâmes et épouvantables gauchiards qui tiennent wikipédia et qui censurent ..contrôlent!!!!
      A savoir si vous ouvrez un page wikipédia sous votre identité a votre nom n’importe qui peut y raconter des horreurs elle ne vous appartient plus une fois existante et pour la faire fermer c’est la croix et la bannière!

  2. Hitler socialiste? Pourquoi pas, mais à la mode PS, à savoir à la botte des oligarchies financières et économiques. Ses guerres ont été celles de l’économie privée allemande. Si c’est cela le socialisme, nous sommes d’accord. Depuis M. Mitterrand, il faudrait redéfinir certains termes.

    • C’est vrai qu’à la mode communiste il faut rajouter ses potes Staline et Mao…ça commence à faire beaucoup de morts…En coupant les morts en trois on en a un peu moins…Adepte de la tronçonneuse ?
      Pour le remboursement des funérailles, les morts du public voyez avec la sécu, les morts du privé voyez avec votre mutuelle….Le Diable se cache souvent dans les détails !

  3. Bonsoir,
    Plus j’avance dans la connaissance des année noires, plus je pense que la parenthèse vychiste, loin d’être un accident, est avant tout une expérience inaboutie de courants politiques profonds de la société française, courants toujours actifs à ce jour et bien plus qu’on peut le supposer, cette société, quoiqu’elle s’en défende, étant toujours à la recherche du père qu’elle a exécuté un 21 anvier 1793.
    Lucien Rebatet et Pierre-Antoine Cousteau, deux plumes acérées de « Je suis partout », ne se sont jamais cachés de leur haine du capitalisme et de leur pacfisme intégral. Ils souhaitaient un socialisme pour la France qui ne soit pas bolchévique, étant assez lucide sur les excès et les limites de ce dernier. La combinaison de ces paramètres, très respectables au demeurant, les a conduits à vitupérer et à attaquer ceux qu’ils estimaient être derrière ces guerres et les problèmes sociaux attenant : les juifs. Il st donc parfaitement logique de voir ces intellectuels accepter Vichy comme une divine surprise et à se presser autour de ce fascisme dont j’estime qu’il est avant tout le stade suprême du socialisme. Eux au moins ont assumé courageusement leur choix à la Libération et n’ont pas été chercher comme d’autres une Francisque en quémandant les deux parrainages indispensables. Surtout, ils n’ont pas, après leur libération, fait preuve de tartufferie. Les historiens de demain auront à rechercher comment et pourquoi personne n’a parlé lorsqu’un arriviste prétendument socialiste est devenu, pour le plus grand malheur de ce pays, chef de l’Etat.
    Nous payons actuellement la note des choix effectués en 45-46, Elle est lourde et ce n’est pas pour rien que notre pays, enkysté dans un socialisme fascisant (à moins que ce ne soit l’inverse), dégringole dans tous les compartiments du monde évolué: économique, éducatif, culturel, scientifique, militaire, etc,… Le moins qu’on puisse dire, c’est que l’horizon est de moins en moins claire, la grande majorité des français préférant le collier du chien à la liberté du loup comme l’a si bien écrit ce bon M. De la Fontaine.
    Bonne soirée


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    • « Plus j’avance dans la connaissance des année noires, plus je pense que la parenthèse vychiste, loin d’être un accident, est avant tout une expérience inaboutie de courants politiques profonds de la société française, courants toujours actifs à ce jour et bien plus qu’on peut le supposer, cette société, quoiqu’elle s’en défende, étant toujours à la recherche du père qu’elle a exécuté un 21 anvier 1793. »
      En coupant la tète à son Roi en 1793 la France à rompu le lien sacré qui l’unissait au christ et a sellé du même coup la fin du catholicisme…Catholiques qui se sont reconnu dans la volonté de puissance de Petain le chef victorieux de 1914-18 et le père sensé les protéger après la défaite de 40…La purge de 45-46 signa la fin de toute représentativité catholique en France accusée souvent à tord d’avoir collaboré avec l’ennemi, laissant les mains libres aux seuls socialistes et communistes. Sans la volonté de puissance d’un De Gaulle qui la sauva in extremis la France aurait pu alors basculer dans le camp soviétique. Depuis le départ de De Gaulle en 1969 et faute de Roi la France se cherche un nouvel homme providentiel.


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  4. Joseph de Maistre (1753-1821) a. Dans les Considérations sur la France, il relie les évènements de la Révolution d’une manière ambiguë où le calme le partage à la révolte. Il considère la Révolution comme une sorte de miracle violent, un phénomène dont seule la Providence divine peut être l’auteur et dont les acteurs tels que Robespierre qu’il juge comme tout à fait méprisable n’ont pas fait la Révolution mais ont été faits par elle.

    La révolution est avant tout considérée pour ses crimes. Joseph de Maistre la voit comme un non-sens et il propose une mystique de dépassement de ce non-sens. Par la Révolution la Providence stupéfie en quelque sorte la raison pour réaliser une sorte de dessein qui échappe au sens commun. Si dans la pensée de Joseph de Maistre chaque crime devra avoir réparation, il n’y a cependant aucune révolution ou contre-révolution à mener.
    Tout effort est inutile car la révolution ne dépend d’aucune volonté humaine.

    L’histoire est conduite par la Providence et elle ramènera avec plus d’éclat et de gloire le Roi sur le trône
    . Considérant que « Si la Providence efface sans doute c’est pour écrire », Joseph de Maistre tente à la fois de comprendre ce qu’au travers des révolutions la Providence a voulu effacer et d’envisager ce qu’elle commence à écrire par ces évènements historiques qui paraissent insensés.

    extrait wikipédia.

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