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L’Affaire Zola : J’accuse avant la Curée… Par Le LUPUS

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L’Affaire Zola : J’accuse avant la Curée…

« L’Occident : une pourriture qui sent bon, un cadavre parfumé. » — Emil Cioran, De l’inconvénient d’être né (1973)

Polanski  ne serait il pas victime d’une kabbale au sens biblique du terme ! La victime auto désigné par ses pairs et victime juive expiatoire des péchés du puritanisme   de l’Amérique profonde,  de celle qui aime à donner à manger à la foule en délire ses propres enfants trop gâtés par la vie. Faute d’un Nicholson offrons nous un Polanski c’est bien plus confortable et puis surtout sans effet immédiat, sans arme et sans violence comme dirait un violeur de coffre fort bien connu par chez nous.

« Dans les foules, l’imbécile, l’ignorant et l’envieux sont libérés du sentiment de leur nullité et de leur impuissance, que remplace la notion d’une force brutale, passagère, mais immense. » — Gustave Le Bon, Psychologie des foules (1895)

En voulant jouer avec le Diable (Rosemary Baby) Polanski a fini par rencontrer Dieu en la personne de Jésus et de son chemin de croix : Manson-CIA fut d’abord au rendez vous  puis ce fut le tour  à quelques dossiers laissés aux bons soins du FBI d’achever la curée…Dommage en plus d’être juif et d’avoir survécu à l’enfer du ghetto polonais Polanski aura eu le tord d’être bien trop élégant pour une époque marquée déjà du sceau de la vulgarité ambiante et de l’indécence tout azimut !

LE LUPUS

« Le féminisme libéra les femmes de la dignité naturelle de leur sexe et les transforma en homme inférieurs. » — Francis Parker Yockey, Imperium (1948)

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