Trump se joue de l’échec et se meut en lanceur de balles et d’alerte !
Ce constat sévère et sans appel, me donne à penser aujourd’hui, que la réélection de Trump n’est plus un enjeu. Il aura fait le job, comme il aime à le dire, et puis de toute façon grâce à lui les Etats Unis et ses « deux gouvernements » sont devenus pour le coup…d’état, totalement ingouvernables. On a dans l’ordre, et le désordre, la fine fleur du socialisme international : les trotskystes néoconservateurs du complexe militaro industriel unis aux Maoïstes mondialistes et à leurs sbires marxistes, le tout face à la grande armada patriotique, qui des Libertariens aux Evangélistes, croient encore que l’avenir de l’Homme ce n’est ni la Femme ni le Matérialisme . En matière de isme voilà qui fait le poids. Le seul hic qui empêche ce beau monde totalitaire de tourner rond : le patriotique !
Le Black Swann de 2008 nous aura montré à quel point la finance internationale s’était emparé de nos économies. Le Cygne Roux de 2016 nous aura appris, que le marais et les sables mouvant étaient tout prêts à nous engloutir. L’Etat profond n’étant pas un fantasme pour complotiste en mal de sensations fortes, mais bien une réalité avec laquelle, il allait désormais falloir compter.
Seule avancée notable dans cette galère improbable et marécageuse : 74 millions d’américains , armés jusqu’aux dents savent désormais que depuis trop longtemps déjà ils ont été roulés dans la farine, et que la boue de l’establishment ne saurait les y enfoncer davantage. Face à cette armée de réservistes pro-Trump, Biden aura beau faire, sur le plan intérieur ,lui et ses sbires néoconservateurs n’arriveront à rien. Même si Biden l’Alzheimer finit par oublier l’affaire Hunter le fils maudit, le Peuple Trumpien lui se souviendra longtemps qu’il s’est fait voler son élection au profit d’un affairiste corrompu et vendu à des puissances étrangères telle la Chine et l’Ukraine. C’est pourquoi, à l’image des anciennes momies de l’ordre soviétique, Biden devra nécessairement jouer à guichet fermé et hors caméra, en se faisant assister et représenter en toutes circonstances. Kamala Harris la future vice présidente devrait pouvoir jouer à merveille son rôle d’infirmière en Chef, à moins qu’elle ne décide en cours de route, sous l’influence de son mentor Obama, de prendre directement les choses en main.
Cependant, si le pays demeure ingouvernable sur le plan intérieur, parce que tout acquis à la cause Trump, si l’on exclu les cotes Ouest et Est, sur le plan extérieur, celui de la politique étrangère, dont dépend la bonne marche du complexe militaro industriel, il en va tout autrement. En effet, la diplomatie et les agences gouvernementales type CIA, échappent en grande partie au contrôle parlementaire, parce qu’elles se financent en majorité, hors des limites du champ institutionnel et via le traffic de drogue et d’armes. Au final on a donc bien un Etat dans l’Etat agissant hors des frontières physiques états-uniennes ,établissant ses propres règles, grâce à un dollar monnaie de réserve internationales , et de puissantes organisations supra nationales…Dans ce cadre Biden peut, bien entendu ,aussi compter sur le soutien indéfectible d’un bon nombre de pays européens et asiatiques, dont les Etats Unis assurent et financent la protection militaire.
Vu sous cet angle on comprend mieux pourquoi, le Donald tenait tant à faire contribuer davantage les pays européens au financement de l’Otan, ou à promouvoir le retour des troupes US d’Afghanistan. Afghanistan devenu avec le temps une plaque tournante du commerce de l’héroïne, comme naguère l’était devenu le Vietnam sous l’occupation américaine, notre French connexion s’en souvient encore. Couper les fonds à la fois de l’Etat profond et du Mondialisme, fut donc une constante prioritaire de la politique étrangère de Trump, le détricotage de la Chinamerica inauguré en 1972 par le sinistre Kissinger, en étant une deuxième.
Beaucoup reprochent à Trump de n’avoir pas gracier, tant qu’il le pouvait, ni Snowden, ni Assange, c’est oublier un peu vite que du point de vue de la loi américaine stricto sensu, ces deux là sont en faute. Et cela même, si au regard de leur dénonciation de l’Etat profond, entité je le répète non reconnue, ce sont des Héros modernes.
Mais Donald Trump est un légaliste, il entend en permanence s’appuyer sur une indépendance même défaillante de la justice américaine. On le voit avec le problème des fraudes électorales avérées, et dont soit dit en passant, il est la première victime. Là, où ses adversaires auraient joués comme à l’habitude, la pression et la violence de rue , Trump préfère jouer la carte du recours juridique, marquant par là même, sa pleine confiance dans les institutions de son pays. Trump en homme d’état responsable travaille pour l’avenir de la nation américaine, Biden l’irresponsable, travaille à saper l’ordre moral et économique de cette même Nation. Fort de cet élément de campagne Trump vise désormais sa réélection pour 2024, et en attendant, comme naguère Obama, il va rentrer en résistance, organisant et préparant cette dernière. C’est ainsi que nous devrions voir d’ici quelques mois la naissance d’un puissant réseau d’information conservatrice, couvrant aussi bien l’internet que la presse et la télévision. Cerise sur le gateau nous pourrions, face à la corruption et à la traitrise du Parti Républicain, assister à la naissance d’un nouveau parti politique « Trumpien ». Gageons donc que même si entre temps, Biden a promulgué une scission californienne, le retour du candidat « Edmond Dantès-Trump » promet d’être sanglant. La rédemption et le jugement dernier ne faisant alors que commencer !
LE LUPUS
« Qu’est-ce que la civilisation, M. Wilde?
– L’amour de la beauté.
– Et qu’est-ce que la beauté?
– Ce que la bourgeoisie trouve laid.
– Et qu’est-ce que la bourgeoisie trouve laid?
– Cela n’existe pas. »
EN BANDE SON :