Du Principe de précaution à la Prétention du principe où comment la Dictature parle-mentaire s’est confortablement installée dans le divan de la médiocratie sanitaire – la thérapie pour en sortir promet d’être sous « électro-choc »
» Faire du désespoir le plus profond, l’espoir le plus invincible «
Friedrich Nietzsche
« C’est celui qui est capable de comprendre le miracle de la vie, de lutter jusqu’au bout pour ce en quoi il croit, et d’entendre les cloches que la mer fait retentir dans ses profondeurs. » (Paulo Coelho, issu de « Manuel du guerrier de la lumière »).
Dis autrement le Monde moderne étant une névrose qui nous condamne à la solitude et à l’individualisme psychopathique, seul un rappel à notre inconscient collectif, à ses devoirs et à ses contraintes de passeurs du feu, peut nous faire sortir de notre prison mentale et de l’hérésie de notre quotidien dévolu aux seuls projets consuméristes.
Se dépasser soi même pour mieux intégrer l’autre, la thérapie de choc à appliquer n’est donc pas celle de Naomi Klein, mais a davantage à voir avec l’harmonie junguienne, qui veut qu’être bien avec soi-même permette de retisser ses liens au Monde , au Monde de l’autre il va s’en dire. Mais il va aussi de soi (et du grand Moi) que dans une Société comme la notre ou tu n’es plus des nôtres, en plein délitement social où l’on confond mail abrasif et relation humaine, où une simple poignée de main est frappé d’interdit , excusez pour le geste barrière, l’Harmonie n’est pas pour demain ! Du temps où les Socio-cons et les Psycho-culs nous enseignaient que l’homme était un animal social et grégaire, et qu’il n’était pas question de le séparer de ses congénères, pratiquer la distanciation sociale, comme ils disent aujourd’hui, était vu comme un signe de misanthropie délétère, et faisait de vous au mieux, un asocial, au pire, un potentiel terroriste de la pensée réfractaire. Aujourd’hui qu’il est de bon ton de garder ses distances pour le bien de l’humanité, tout approche un tant soit peu suspecte peut faire de vous un potentiel violeur de bulle vitale, et plus grave encore, vous faire tomber pour attouchements inconvenants et exclusifs. Au Final , il est pathétique et paradoxal de constater que dans une société malsaine, où la pédophilie et la zoophilie restent les derniers frontières à abattre, l’obsession du propre sur soi fasse autant figure de barrière mentale sensée vous protéger, à la manière d’un Dorian Gray, du vide et de la saleté intérieurs.
Décidément le mélange des culs nous aura donné le SIDA, le mélange des genres le COVID, et faute d’hygiène cérébrale adéquate nous voilà embarqué dans un long voyage inter-sidérant ! Quand je parle de long voyage, je devrais plutôt dire : un grand bain de bêtise humaine ou l’inventivité, comme c’est souvent le cas dans ces moments là, ne semble avoir pour limite que celle fixée arbitrairement par la perversité, la démagogie et l’idéologie mortifère de nos gouvernants. Que pensez en effet d’une pseudo république incapable de protéger ni ses Enfants, ni ses Anciens ?
Ainsi vieillir n’était déjà pas une partie de plaisir, mais mourir en EHPAD, sous les assauts conjugués du virus chinois et du zyklon b vaccinal, après avoir subi une mise à l’isolement en cachot, relèvent selon moi de la pure torture mentale avant génocide, dont Amnesty, si il n’était pas frappé d’amnésie ou d’Alzheimer, eut pu faire un rapport. Beaucoup se plaignent que notre cher Président ne nous souhaite pas un joyeux pompeux Noël, c’est oublier un peu vite qu’en tant qu’administrateur des pompes funèbres et principal liquidateur judiciaire de la France, il se doit d’avoir un minimum, et d’indécence, et de retenue. Dans une Ripoux-blic française devenue parle-mentaire, ma tète est malade, c’est à qui rivalisera désormais de cynisme et de maldisant.
Une question me taraude cependant. Il est de coutume dans les Mairies de distribuer aux Anciens de plus de 75 ans un panier garni de fin d’année, la capsule de cyanure indispensable au bon nettoyage de la voie publique était-elle prévue en adjuvant ou seulement en option (remboursée après coup par la Sécurité Sociale) ?
Sur ce je vous souhaite un joyeux Réveillon, réveillons nous avant qu’il ne soit trop tard !
LE LUPUS
Nous distinguons l’homme d’élite de l’homme médiocre en affirmant que le premier exige beaucoup plus de lui-même, tandis que le second, au contraire, toujours satisfait de lui se contente d’être ce qu’il est. Contrairement à ce que l’on croit habituellement, c’est la créature d’élite, et non la masse, qui vit “essentiellement” dans la servitude. Sa vie lui parait sans but s’il ne la consacre au service de quelque obligation supérieure. Jose Ortega y Gasset.
« Les hommes bons sont une caste ; les mauvais hommes sont une multitude, comme des particules de poussière. » — Friedrich Nietzsche, Humain, trop Humain (1878)
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