Bienvenue dans l’Allemagne nouvelle, où le cappuccino Starbucks coûte plus cher qu’une heure de travail précaire, où l’électricité verte est payée au prix du caviar, et où l’État se prend pour un comptable aigri distribuant des bons de rationnement climatiques.

Merkel et son « Wir schaffen das »

C’était censé être un hymne à la solidarité. En réalité, c’est devenu le slogan officiel de Weimar 2.0 : « Wir schaffen das… mais pas l’équilibre budgétaire ». Résultat ? Des ghettos à perte de vue, des fonds sociaux siphonnés et une population qui redécouvre la joie des files d’attente, version administration kafkaïenne.

Les deux camps de la farce

• Les Bisounours humanistes : persuadés qu’on pouvait sauver la démographie allemande avec des « compétences importées ». On cherche encore les ingénieurs IA dans les foyers d’accueil.
• Les Machiavels électoraux : qui savent très bien que chaque bateau débarqué, c’est un bulletin de vote. Le multiculturalisme ? Un alibi. La pénurie de main-d’œuvre ? Une fable pour powerpoint européen.

Le chancelier comptable

Friedrich Merz, en chancelier de l’ennui, tente de redresser la barre à coups de tableurs Excel. Mais les colonnes s’effondrent plus vite qu’un immeuble construit par la promotion sociale de Berlin-Est.

Retour de flamme

La République de Weimar, version 2025, c’est ça :

• Inflation alimentaire (la pomme de terre +… % — bienvenue au Kartoffel Crash !).
• Industrie délocalisée (Volkswagen rêve désormais de Mexico).
• Énergie hors de prix (le soleil est gratuit, mais pas le panneau solaire chinois).
• Montée des extrêmes (l’AfD fait du chiffre, la CDU fait du surplace, et les Verts se prennent pour Robespierre écolo).

Et demain ?

Après l’illusion multiculturelle, le cauchemar budgétaire. L’Allemagne galope vers un modèle autocratique, où un ministère de la vertu budgétaire pourrait bientôt remplacer la BCE. On n’aura plus de monnaie forte, mais on aura du lait de soja subventionné.

Conclusion satirique ?
L’Europe entière regarde Berlin comme on regarde un DJ de festival techno qui a perdu le rythme : ça finit toujours par un silence gênant… et par une sortie autoritaire.

📜 Citations historiques revisitées

• « L’histoire se répète, d’abord comme tragédie, ensuite comme farce… et parfois comme conférence de presse à Berlin. » – Karl Marx (réinterprété)
• « Donnez-leur du pain… ah non, il n’y en a plus. Donnez-leur du quinoa bio. » – (version verte de Marie-Antoinette)
• « Quand la monnaie s’effondre, les illusions se paient comptant. » – Inspiré de Keynes

⚡ Citations satiriques contemporaines

• « La République de Weimar s’est terminée par des chemises brunes. Celle de 2025 risque de finir par des chemises vertes made in Bruxelles. »
• « L’Allemagne est la seule économie capable de transformer une centrale nucléaire en centrale à dettes. »
• « Ce n’est pas une pénurie de main-d’œuvre, c’est une pénurie d’idées. »
• « Le Kartoffel Crash : quand la patate devient un produit de luxe, l’histoire sent déjà le roussi. »

🎭 Citations façon punchlines médiatiques

• « La BCE imprime des illusions, Berlin encaisse des désillusions. »
• « Les frontières ouvertes, c’était le rêve. Les caisses vides, c’est le réveil. »
• « Weimar 2.0 : même scénario, mais avec Wi-Fi gratuit. »
• « L’Allemagne a voulu jouer les profs d’Europe. Elle finit collée au fond de la classe. »

🔮 Prophéties de Weimar 2.0

• « Quand la patrie de Goethe imprime plus de dettes que de poèmes, la fin est proche. »
• « Après l’hyperinflation des années 20, voici l’hypodéflation des années 2020 : la spirale est la même, seul le Wi-Fi change. »
• « L’Allemagne ne fabrique plus de Mercedes, mais des excuses. »
• « L’histoire n’a pas de bouton reset, mais elle adore les reboots ratés. »

⚡ Satire apocalyptique

• « Quand la patate coûte plus cher que l’iPhone, c’est que le spectre de Weimar rôde à nouveau. »
• « La République fédérale devient une République des files d’attente : pour l’énergie, pour la nourriture, pour l’avenir. »
• « On croyait voir revenir Beethoven, mais c’est le tambour de Weimar qui résonne. »
• « Le mark a disparu, l’euro vacille, mais la nostalgie de la catastrophe reste intacte. »

🩸 Images sanglantes de la décadence

• « À force de jouer les vertueux, l’Allemagne s’est saignée : plus de charbon, plus d’énergie, plus d’idées. »
• « Le drapeau noir flotte encore : non pas celui des révoltes ouvrières, mais celui des déficits abyssaux. »
• « Le spectre de Weimar n’a pas besoin de bottes, il revient en costard-cravate vert. »
• « Le futur autocrate allemand n’aura pas besoin de crier. Les caisses vides crieront pour lui. »

⚡ Punchlines / Slogans

• « Weimar n’est pas mort, il sommeille sous la dette. »
• « Hyperinflation hier, déflation aujourd’hui : l’Histoire bégaie en allemand. »
• « Berlin compte les réfugiés, mais plus ses usines. »
• « République fédérale ? Non, République des caisses vides. »
• « Quand l’industrie ferme, l’autocratie s’ouvre. »
• « Pain noir, dettes blanches, avenir gris. »
• « L’Allemagne n’exporte plus des voitures, mais sa faillite. »
• « De Goethe à Goldman Sachs : la culture s’efface, la dette s’impose. »
• « Chaque Mark perdu est une voix gagnée pour l’autocratie. »
• « La République de Weimar 2.0 : reboot, bugs garantis. »

🎶 Playlist « Weimar 2.0 : Déflation & Décadence »

🇩🇪 Bloc I – Made in Germany (Berlin Noire & Punk Industriel)

1. Xmal Deutschland – Incubus Succubus II
2. Nina Hagen – Unbeschreiblich weiblich
3. Nina Hagen Band – TV-Glotzer (White Punks on Dope)
4. DAF – Der Mussolini
5. Einstürzende Neubauten – Haus der Lüge
6. Xmal Deutschland – Qual

🌍 Bloc II – Écho Global (Post-punk & Ombres internationales)

1. Savages – Shut Up
2. Savages – The Answer
3. Joy Division – Dead Souls
4. Siouxsie and the Banshees – Cities in Dust
5. Bauhaus – Dark Entries
6. The Sound – Winning