Vladimir « le Yéti du Kremlin » Poutine aime les symboles. Et quoi de plus symbolique que de s’afficher avec Kim Jong Un, héritier improbable d’une dynastie stalinienne sous perfusion nucléaire, pour signer un pacte de sang sur les ruines ukrainiennes ? Bienvenue dans le remake postmoderne du pacte germano-soviétique, sauf que cette fois, on remplace la moustache de Staline par la coupe improbable de Kim et les blindés nazis par des drones turcs.

14.000 soldats nord-coréens, selon des sources indépendantes, se seraient ainsi retrouvés projetés dans les tranchées ukrainiennes. Bilan provisoire : 600 morts, 4.000 blessés, et une propagande qui se pavane en dénonçant « le néonazisme contemporain ». Pendant ce temps, Moscou remercie Pyongyang pour son « aide fraternelle », comme si le Kremlin venait de recevoir un colis de riz et de kalachnikovs livrés gracieusement par DHL.
Mais l’ironie est mordante : la Russie qui prétend combattre le fascisme s’allie à une dictature héréditaire où le culte du chef a remplacé toute forme de société civile. C’est un peu comme si un pompier se vantait d’éteindre un incendie avec un jerrican d’essence.
Le pacte koréo-soviétique version 2025 n’est pas seulement grotesque, il est révélateur. Poutine, en bon héritier du bolchévisme, ressuscite la logique des alliances contre-nature : tout plutôt que la défaite. Peu importe que Kim Jong Un envoie ses soldats en chair à canon pour soigner sa reconnaissance internationale. Peu importe que Moscou transforme ses champs de bataille en cimetière asiatique. Le message est clair : « Nous sommes toujours dans le camp du Bien, parce que nous définissons nous-mêmes ce qu’est le Mal ».
Mais au fond, l’hôpital se fout de la charité. La Russie, qui s’effondre économiquement hors armement, joue la carte du tiers-monde armé jusqu’aux dents. La Corée du Nord, qui ne nourrit même pas son peuple, exporte sa misère en uniforme kaki. Et l’Ukraine, elle, devient le théâtre d’une pièce absurde où les figurants meurent pour le prestige de deux régimes en quête de légitimité.
L’histoire retiendra peut-être ce pacte comme une version trash et grotesque de l’internationalisme socialiste : une alliance de desperados qui confondent survie stratégique et nécrologie partagée.
⚔️ Le nouveau pacte koréo-soviétique : quand l’idéologie n’est plus qu’un cache-misère, et que la propagande transforme les charniers en victoires.

🔥 Citations historiques et satiriques
- « Le communisme, c’est l’évangile des canons et des baïonnettes. » — adaptation d’une maxime bolchévique.
- « Quand deux dictatures se serrent la main, ce n’est pas un pacte, c’est un enterrement. » — aphorisme politique.
- « Le bolchévisme renaît toujours : il change de drapeau, jamais de méthode. » — inspiré de Raymond Aron.
- « L’histoire ne se répète pas, mais parfois elle bégaie en coréen et en russe. » — clin d’œil ironique.
- « Quand l’hôpital se fout de la charité, c’est Moscou qui remercie Pyongyang de sa générosité macabre. » — satire contemporaine.
⚔️ Citations militaires
- « La guerre est l’art de détruire l’avenir au nom d’un passé glorifié. »
- « Des hommes comme Poutine ou Kim ne cherchent pas la victoire, mais la perpétuation de la peur. »
- « Le sang des pauvres est toujours l’encre des traités des puissants. »
🩸 Citations corrosives
- « Vlad le Yéti du Kremlin : plus il saigne son peuple, plus il se croit héritier de l’Histoire. »
- « Le pacte russo-coréen, c’est le bolchévisme en mode zombie : toujours affamé, jamais rassasié. »
- « 14 000 soldats envoyés à l’abattoir : Pyongyang envoie des hommes comme d’autres envoient des colis Amazon. »

🎶 Chœurs & hymnes totalitaires
- Chœurs de l’Armée Rouge – Katyusha (l’hymne martial par excellence)
- Chœurs de l’Armée Rouge – Polyushko Polye
- Chœurs de l’Armée Rouge – Kalinka (quand le tragique flirte avec la caricature)
- Chœurs de l’Armée Rouge – La guerre sacrée (Гимн « Священная война »)
- Chœur de l’Armée Nord-Coréenne – Song of General Kim Il-Sung
- Chœur de l’Armée Nord-Coréenne – We Will Defend the Leader with Our Lives
🩸 Rock & satire sanglante
- Einstürzende Neubauten – Haus der Lüge
- Killing Joke – The Wait
- Ministry – N.W.O.
- Rammstein – Mein Teil (ironique sur la chair sacrifiée)
- Laibach – Opus Dei (version industrielle de l’hymne totalitaire)
⚰️ Clôture ironique
- Mogwai – Killing All the Flies
- Pink Floyd – Another Brick in the Wall (Part II)
- Leonard Cohen – The Partisan (version désenchantée)

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Catégories :Corée du Nord, Russie, Ukraine













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Boris Vian
extrait
C’est le tango des joyeux militaires
Des gais vainqueurs de partout et d’ailleurs
C’est le tango des fameux va-t-en guerre
C’est le tango de tous les fossoyeurs
Faut qu’ ça saigne
Appuie sur la baïonnette
Faut qu’ ça rentre ou bien qu’ ça pète
Sinon t’auras une grosse tête
Faut qu’ ça saigne
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