Le football, opium mondialisé et gladiature du XXIe siècle**
Autrefois, le football était un sport.
Aujourd’hui, c’est :
- un ministère mondial de la distraction,
- une annexe financière de Davos,
- un circuit d’exploitation humaine globalisé,
- un théâtre d’ingénierie sociale,
- et, surtout, un outil d’endormissement collectif d’une efficacité que même Huxley n’aurait pas osé imaginer.
Bienvenue dans l’arène planétaire, où les gladiateurs ne meurent plus, mais où les peuples, eux, s’éteignent lentement.

🏟 1. Le football : une religion gérée par les marchands du temple
Le stade moderne est devenu une cathédrale sponsorisée, un lieu où :
- la ferveur populaire est monétisée,
- les identités locales sont dissoutes dans la publicité,
- les drapeaux sont remplacés par des logos,
- et les héros par des influenceurs athlétiques sous contrat avec Qatar Airways.
FIFA, UEFA : les nouveaux clergés du culte mondialiste.
On ne parle plus de nations, mais de “marchés”.
On ne parle plus de joueurs, mais “d’actifs”.
Le supporter ?
Un consommateur captif avec abonnement, merchandising obligatoire et dopamine calibrée.
🧪 2. Le grand laboratoire mondialiste
Le football sert de terrain d’expérimentation sociopolitique :
✔ Mobilité forcée des élites
Les joueurs sont déplacés comme des pièces d’échecs entre États,
prélude à une société post-nationale rêvée par Bruxelles.
✔ Narratif moral permanent
Chaque grand match vient accompagné de sermons :
“antiracisme”, “inclusion”, “love is everything” — la liturgie officielle du monde sans frontières.
✔ Lavage émotionnel
Les masses y déversent frustrations, échecs, fatigue civilisationnelle.
Fini la politique, fini la transcendance :
les émotions collectives s’achètent le samedi soir sur Prime Vidéo.
🦾 3. Les joueurs : gladiateurs 2.0, dopés à la statistique
Les stars du foot sont les gladiateurs du cirque global.
- Surpayés mais sous-libres
- Idolisés mais surveillés
- Formés dès 6 ans comme des chevaux de course
- Quantifiés par data et algorithmes
- Déplaçables au gré des pétrodollars
Le joueur n’appartient plus à une ville mais à un fonds souverain.
Son club est un produit dérivé dans la chaîne mondiale du divertissement.
Dans le Colisée romain, les gladiateurs mouraient pour la gloire.
Dans le Colisée mondialiste, ils meurent doucement de pression, cocaïne et publicité.
🔥 4. Les supporters : gueux, fans, clients… et parfois barbares
L’industrie appelle cela “fan experience”.
En réalité, c’est :
- canalisation des pulsions,
- régression infantile collective,
- distraction de masse calibrée.
Mais il reste une anomalie :
le hooliganisme, ultime réaction immunitaire de populations privées de repères.
Il ne faut pas s’y tromper : le hooligan n’est pas un rebelle politique.
C’est un animal social blessé qui cherche du sacré dans la mêlée.
Ironiquement, c’est le seul endroit où l’identité, la rage, le clan survivent, alors que la société officielle impose le sourire obligatoire.
🌍 5. Les clubs-États : Qatar, Arabie, USA — la géopolitique en crampons
Les clubs ne sont plus régionaux :
ils sont devenus des véhicules de soft power.
- PSG = Qatar soft power
- Manchester City = Émirats
- Inter Miami = vitrine néo-hollywoodienne
- Newcastle = Arabie Saoudite
- Mondial 2034 = conquête stratégique du Golfe
Le football n’est pas mondialiste par hasard.
Il est l’outil rêvé d’un système qui veut :
- dissoudre les nations dans le spectacle,
- remplacer la politique par l’émotion,
- substituer les citoyens par des consommateurs,
- et vendre les illusions comme on vend du soda.
🧨 6. “Panem et Circenses” 2.0 : la plèbe doit rester calme
Rome avait compris :
pour contrôler un peuple, donne-lui du pain et des jeux.
Le mondialisme contemporain a amélioré la formule :
- plus besoin de pain, Uber Eats s’en charge ;
- plus besoin de jeux physiques, la dopamine numérique suffit ;
- et le football offre la grande messe émotionnelle du dimanche soir.
Le foot, c’est la main invisible qui te tapote la tête pour te dire :
“Ne pense pas, consomme. Ne vote pas, encourage.”
🧠 CONCLUSION : FOOTBALL OU FICELLE ?
Le football n’est pas seulement un divertissement :
c’est le miroir parfait du monde globalisé.
- des élites ultra-mobiles,
- des masses anesthésiées,
- des identités remplacées,
- de l’argent hors sol,
- de la géopolitique dissimulée sous le maillot,
- un cirque où les gladiateurs brillent
et où les peuples régressent.
Le hooliganisme n’est pas beau.
Mais il est un symptôme :
le cri primal d’une civilisation qui n’a plus le droit d’en avoir un.
Dans l’empire du divertissement permanent,
le football n’unit plus les peuples :
il les endort.
Et comme le disait Muray :
“La fête est obligatoire parce qu’elle a remplacé le monde.”

⚔️ FOOTBALL : L’ULTIME CIRQUE DU MONDIALISME
TS2F – Théorie Stratégique du Système & du Futur
Il fut un temps où les peuples allaient au stade comme on allait à Athènes ou à Rome : pour éprouver la cité, mesurer la force, célébrer le territoire.
Aujourd’hui, ils y vont comme on va à l’abattoir rituel — mais sous amphétamines médiatiques.
Le football n’est plus un sport.
C’est l’ultime machine affective du mondialisme tardif :
un parc d’attraction émotionnel destiné à neutraliser les pulsions politiques, à rediriger la violence sociale et à offrir au peuple des dieux faciles à adorer.
C’est l’opium 3.0.
Le divertissement total.
Le cirque planétaire sous sponsoring pétrodollar et hypercapitalisme.
Bienvenue dans le dernier étage de la pyramide du contrôle.
🟥 1 — Le football a remplacé la guerre, mais sans la victoire
Dans les arènes romaines, le gladiateur mourait pour prouver la puissance de l’Empire.
Dans les stades modernes, le joueur-sprinter tatoué meurt symboliquement pour nourrir la puissance du globalisme économique.
Plus de territoire.
Plus d’identité.
Plus de frontières.
Seulement :
- des logos,
- des sponsors,
- des consortiums nationaux dénationalisés,
- et des compétitions qui ressemblent à des réunions de l’ONU sous testostérone synthétique.
Le peuple pense qu’il soutient son équipe.
En réalité il soutient Qatar Energy, Adidas, Meta, Sorare et les hedge funds.
Le combattant n’est plus un guerrier : c’est un actif financier.
Un dérivé.
Un NFT avec des jambes.
🟥 2 — Les hooligans : les derniers barbares que le système n’a pas réussi à euthanasier
Le hooligan, c’est l’ombre du supporter.
Le refoulé politique de toute une génération.
Le seul vestige d’un instinct tribal que le mondialisme tente d’éradiquer.
On les accuse de violence.
Normal : ils incarnent la seule violence dont le système n’est pas propriétaire.
Le hooliganisme, c’est :
- le dernier cri d’un peuple à qui on a retiré la souveraineté,
- la dernière fraternité non subventionnée,
- la dernière insoumission non-numérisée.
C’est précisément pour cela que les États le détestent :
il échappe au contrôle.
🟥 3 — Les joueurs : gladiateurs sous perfusion médiatique
On dit : « Ils gagnent des millions, c’est indécent. »
Erreur.
Ils ne gagnent pas des millions :
ils les valent en flux d’attention.
Le joueur n’est pas payé pour marquer des buts.
Il est payé pour :
- capter le regard,
- consolider la matrice émotionnelle du système,
- détourner l’énergie virile qui pourrait servir ailleurs,
- occuper le cerveau disponible du peuple.
Le joueur est un gladiateur 2.0 :
il combat pour maintenir la population dans une capsule affective.
C’est un pare-feu politique avec crampons en carbone.
🟥 4 — Les clubs : franchises du mondialisme, États-nation dissous
Le football n’appartient plus aux villes.
Ni aux peuples.
Ni même aux nations.
Il appartient :
- aux fonds souverains du Golfe,
- aux plateformes numériques,
- aux mafias des droits TV,
- aux grandes banques,
- aux oligarques déterritorialisés.
Le football n’est plus local.
Il est global.
Il n’est plus un langage culturel.
Il est le dialecte émotionnel du capitalisme tardif.
Les clubs sont désormais :
- des holdings,
- des marques globales,
- des véhicules d’influence,
- des armes diplomatiques.
Le football est devenu l’interface sportive du soft power globaliste.
🟥 5 — Les compétitions : rituels hypnotiques d’un empire sans visage
Coupe du Monde, Ligue des Champions, Super League avortée :
ce ne sont plus des compétitions.
Ce sont des liturgies de masse.
Elles servent à :
- synchroniser les émotions planétaires,
- uniformiser les cultures,
- liquider les identités,
- faire vibrer 4 milliards d’humains au même rythme.
Le stade est devenu une cathédrale sans Dieu,
dont les prêtres sont des commentateurs sous cocaïne narrative,
et les miracles des ralentis en 4K.
🟥 6 — Pourquoi le système adore le football
Parce qu’il transforme la virilité en spectacle.
Parce qu’il occupe le samedi soir.
Parce qu’il annule le politique.
Parce qu’il évacue la colère.
Parce qu’il crée une conflictualité fictive, inoffensive, autorisée.
Le football, c’est la prison sans barreaux du mâle occidental désactivé.
🟥 7 — TS2F : Le football comme technologie du pouvoir
Vu du ciel, le football n’est qu’un outil :
- de pacification des masses,
- de gestion des frustrations,
- de manufacture du consentement,
- de neutralisation de la jeunesse,
- de recyclage de la violence.
Le peuple veut du sang ?
On lui donne des cartons rouges.
Il veut des héros ?
On lui sert des millionnaires sous casque médiatique.
Il veut de la gloire ?
On lui vend des maillots.
C’est le marché parfait :
un rituel guerrier dépolitisé.
🟥 8 — Conclusion TS2F : le stade comme tombeau civilisationnel
Le football moderne, c’est l’ultime opéra du monde globalisé :
un spectacle total conçu pour anesthésier les forces vitales.
Pendant que les supporters chantent,
les empires se recomposent.
Pendant qu’ils s’étripent pour un penalty,
les États se dissolvent.
Pendant qu’ils adorent des idoles,
leurs cultures meurent.
Le football n’est plus un jeu.
C’est une technique de gouvernement.
Le cirque où l’Occident, en transe, applaudit sa propre domestication.

⚽ LES 12 LOIS TS2F DU FOOTBALL GLOBALIST
— Ou comment le dernier opium du peuple est devenu un outil de gouvernance mondiale
1. Loi de la Panem et Circenses 2.0
Le football n’est plus un sport : c’est l’instrument le plus efficace pour détourner les masses de l’effondrement politique, social et civilisationnel.
Plus le réel s’assombrit, plus les écrans s’illuminent.
2. Loi de la Tribu Dépossédée
Le supporter croyait défendre sa ville.
Il défend aujourd’hui un fonds souverain, un fond d’investissement, ou une multinationale asiatique.
Le club n’est plus une identité : c’est un actif.
3. Loi du Gladiateur Jetable
Les joueurs sont les nouveaux gladiateurs : adulés, surpayés, sacrifiés.
Leur corps appartient à la médecine globale, à la finance globale, à l’industrie du divertissement globale.
Un genou casse ? Un autre jeune gladiateur arrive.
4. Loi du Territoire Dissous
Stades “neutres”, Coupes du monde “délocalisées”, clubs “planétaires” :
le football est la première industrie qui a détruit le rapport au territoire, bien avant l’UE.
Il n’y a plus de sol, seulement un flux.
5. Loi du Supporter-Fantassin
Le supporter paie, gueule, consomme, vote parfois…
Mais surtout : il obéit.
Le football lui donne l’illusion d’être guerrier alors qu’il est spectateur.
La colère se décharge dans les tribunes — jamais dans la cité.
6. Loi du Hooligan Résiduel
Le hooligan est le dernier résistant primitif, l’ultime forme de violence non encadrée par le système.
C’est pourquoi on cherche à l’éradiquer : il brise le spectacle.
Il rappelle que le peuple existe encore.
7. Loi du Marché Total
Transferts, paris, sponsoring, naming, data, IA, dopage technologique.
Le foot n’est plus un jeu : c’est une Bourse vivante où chaque joueur est un actif volatil.
La VAR ? Le Nasdaq de l’arbitrage.
8. Loi de la Moraline Hypocrite
“Respect”, “Inclusivité”, “No to racism”…
Les slogans servent d’écran moral pendant que les clubs appartiennent à des pétrodictatures et que les ouvriers meurent pour construire des stades climatisés.
Le bien sert à masquer le mal.
9. Loi du Grand Recyclage Globaliste
Quand un régime doit redorer son image, il n’investit pas dans la démocratie…
Il achète un club de Premier League.
Ou la Coupe du monde.
Le football est la machine à blanchir la réputation mondiale.
10. Loi du Détournement Émotionnel
Les émotions sont calibrées, orchestrées, ritualisées.
Tout est fait pour que le citoyen décharge sa violence, sa frustration, son désir d’appartenance — dans un stade, pas dans un vote.
11. Loi du Divertissement Total
Le foot n’est plus un sport mais une plateforme globale :
Netflix + religion + fashion + soft power + publicité + géopolitique.
Il structure plus d’identités que la religion catholique aujourd’hui.
12. Loi de l’Empire des Foules Captives
Le mondialisme adore le football car il crée l’homme idéal :
- passionné mais inoffensif
- collectif mais manipulable
- tribal mais apolitique
- dopaminé mais docile
Le citoyen devient consommateur.
Le peuple devient audience.
La nation devient franchise.
🜂 SYNTHÈSE TS2F
Le football globaliste n’est pas le symptôme du déclin occidental :
il en est la technologie culturelle la plus performante.
Il transforme l’énergie politique en émotion ludique, l’instinct guerrier en consommation payante, la tribu en marché.
Il neutralise tout ce qu’un empire en transition doit neutraliser pour éviter l’insurrection :
le courage, la virtù, la communauté, l’appartenance.
Quand les peuples cessent d’être des citoyens et deviennent des supporters,
l’Empire n’a plus besoin de surveillance :
il suffit d’un ballon, de LEDs, et d’une VAR.

🎧 PLAYLIST : “Global Stadium Blues — TS2F Edition”
(Hommage à “Johnny Rep” de Mickey 3D)
ACTE I — Le Terrain, la Boue, les Idoles Effondrées
- Mickey 3D — “Johnny Rep”
- The Clash — “Career Opportunities”
- The Buzzcocks — “Everybody’s Happy Nowadays”
- The Jam — “Going Underground”
- The Pogues — “Bottle of Smoke” (la poisse du turf, l’odeur du stade)
- Fontaines D.C. — “Big” (l’héritage ouvrier transfiguré)
ACTE II — Les Gladiateurs du Cirque Globaliste
- The Streets — “Fit But You Know It” (culte hooligan moderne)
- Kasabian — “Club Foot” (l’hymne officieux du hooliganisme 2.0)
- Royal Blood — “Figure It Out”
- The Libertines — “Time for Heroes”
- IDLES — “Never Fight a Man With a Perm” (violence ritualisée & ironie sociale)
- Shame — “Concrete”
ACTE III — Dystopie Sportive, Nouveaux Panem et PS5
(Tu voulais du Mickey 3D → Johnny Rep → Football → Cirque du Globalisme, version TS2F)
- Mickey 3D — “Respire” (le monde brûle autour du stade)
- Massive Attack — “Safe From Harm”
- The Cure — “Play for Today”
- New Order — “World in Motion” (la première FIFA-pop cyniquement parfaite)
- Pulp — “Common People” (les castes du stade mondial)
- David Bowie — “I’m Afraid of Americans” (la FIFA cosmique)
🔥 TRACKS BONUS — TS2F Global Stadium Edition
Pour aller avec la satire sur l’empire sportif global :
- Mickey 3D — “La Mort du Peuple” (rare mais parfait pour ton thème)
- The Fall — “Totally Wired” (violence moderne du spectacle)
- Sleaford Mods — “TCR” (le quotidien sous hypnose sportive)
- Gorillaz — “Kids with Guns” (la jeunesse capturée par le marketing sportif)
- The Chemical Brothers — “Out of Control” (le foot-business en un titre)
⚽🔥 Résumé – L’esprit de la playlist :
- Le football comme rituel tribal reconditionné.
- Les supporters comme gladiateurs sociaux.
- La pop culture comme anesthésiant global.
- Le stade comme nouvelle cathédrale capitaliste.
- Johnny Rep comme prophète involontaire de la nouvelle dystopie sportive.
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Le football mondialisé : du sport populaire au cirque planétaire
Autrefois, le football sentait :
Aujourd’hui, il sent :
Le football est devenu :
👉 un produit financier sous emballage émotionnel.
Dans cet article, je démonte :
Ce n’est plus un sport populaire.
C’est un spectacle global, financiarisé, moralement sous-traité.
Le ballon roule encore.
Mais l’âme du jeu, elle, est en VAR permanente.
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