Commentaire de Marché

Politique Friction du Jeudi 10 janvier 2013 : Sur le fascisme…et ses variantes par Bruno Bertez

Politique Friction du  Jeudi 10 janvier 2013 : Sur le fascisme…et ses variantes par Bruno Bertez

Je définis le fascisme comme la tentative d’arrêter l’histoire, de nier les contradictions et les antagonismes entre les groupes sociaux en imposant la parole du maitre censé détenir la vérité et ainsi se poser comme légitime à employer tous les moyens, y compris la violence pour gouverner.

  Le fascisme dans son essence, c’est la parole du maitre, que ce maitre gouverne au nom de la droite, de la gauche et surtout du centre. C’est la négation des oppositions et des contradictions, le refus des différences qui définit le fascisme, parole ou pouvoir unificateur, réducteur, constructiviste.

Le Monti et sa position sont dans la grande lignée fascisante italienne du soi-disant pouvoir qui ne serait pas politique, mais serait  de celui qui sait, au-dessus des partis.

Contrairement à ce que pensent les idiots MSM, on est plus près du fascisme avec Monti qu’avec Berlusconi.

Le centrisme et l’union nationale, c’est la racine du fascisme. Ce mariage de la carpe et du lapin est produit par une mystification, un tour de passepasse au nom d’un soi-disant intérêt national qui n’est en l’occurrence que l’intérêt de l’Internationale noire kleptocratique.

L’enjeu de la crise, c’est la reproduction ou non de l’ordre social des trente dernières années, c’est: qui va payer, qui va être laminé, qui va sortir vainqueur?

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Et les gouvernements gris, mi carpes mi lapins, centristes, recentrés, ou tout ce que l’on veut, sont là, pour gérer les mystifications, la propagande, qui permettent de faire en sorte que les peuples soient perdants, les classes moyennes abaissées et l’élite klepto avec ses laquais politiques et administratifs restent en place. En place pour faire leur besogne de containment.

C’est tout l’enjeu du combat pour les classes moyennes, ce combat doit faire en sorte qu’elles ne tombent pas du côté des ultras riches et de la finance klepto, qu’elles prennent conscience du fait qu’elles sont en train de se voir imposer la régression pour sauver les ultras riches.

Le recentrage, maintenant manifeste de Hollande, porte donc le nom de
social-libéralisme, ce qui est exactement le positionnement du journal Libération, défenseur de Cahuzac, qui appartient à Rothschild. Le journal appartient à Rothschild, pas Cahuzac…

Le social libéralisme, c’est l’ordre klepto avec la liberté des mœurs, la mise en valeur de la marginalité, dans le cadre d’une alliance sociale antidémocratique des gens qui ne produisent rien et jouissent de la répartition.

Il y a peu de CGTISTES qui lisent Libé. Le Libé qui était auparavant financé par les vieilles familles Schlumberger.

Sitôt qu’un complément est accolé au mot socialiste, il y a danger. Si vous ne m’avez pas compris, je précise. Le socialisme tout seul, cela a un sens ; le socialisme fabien,  c’est déjà louche; le socialisme libéral, c’est encore pire; le social blairiste, cela craint et le national-socialisme, je ne vous fais pas un dessin.

Ou le socialisme ose être ce qu’il est, une première gauche, ou il mystifie pour conquérir le pouvoir avec le masque de la deuxième gauche et, dans ce cas, il est prisonnier des intérêts qui lui ont facilité l’accès.

Mélenchon porte une responsabilité énorme dans la situation en cours de dérive que nous connaissons, sa formation d’ex-philosophe qui a cessé de penser le coupe des réalités, il glose, et passe à côté de tout. Son analyse éructative de la politique des Cahuzac et consorts est pitoyable. Aucune structure, articulation, aucun ancrage. Des mots creux et sans portée comme ceux de socio libéraux.

Le progrès, ce n’est pas l’arrêt de l’histoire et le règne de la parole du maitre Monti, Hollande ou d’un Cahuzac. Le progrès ne vient pas d’en haut, il vient de l’interaction des individus qui composent la société, interaction efficace malgré les intérêts égoïstes, pour faire surgir un système plus satisfaisant car plus adapté. Le progrès ne se définit pas, ne se détermine pas, il résulte des adaptations successives des citoyens libres, préoccupés de leurs intérêts, de ceux de leurs proches et de ceux de leur communauté. Le progrès est, voilà le grand mot, une résultante qui échappe à ceux qui prétendent le conduire.

Le progrès de l’internet, de Google, de Facebook ne doit rien à Obama. Ce que l’on doit à Obama, à ses prédécesseurs et aux pouvoirs politiques en général, c’est le désastre des carburants bio, le désastre du solaire, le désastre de la voiture électrique Tesla, le sauvetage des banques, tous consommateurs de richesses transformées en gaspillage. Ce que l’on doit à ces gens, ce sont les guerres, le mal être généralisé, la vie pourrie et l’exploitation par le biais de la finance klepto.

BRUNO BERTEZ Le Jeudi 10 Janvier 2013

llustrations et mise en page by THE WOLF

EN BANDE SON:

   

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A PROPOS:  Quelques Réflexions Complémentaires

Les hommes politiques et les banquiers centraux sont les produits d’une situation et d’un rapport des forces sociales, ils ne commandent qu’en suivant le courant. 

A un moment donné une situation est mure pour ceci ou cela, et comme par hasard vient l’homme providentiel qui catalyse ceci ou cela. 

L’histoire produit les théories, les idéologies, les hommes qui les incarnent, les illusions etc  C’est ce que je vise quand je parle de névrose sociale. Les hommes et les discours qu’ils tiennent sur ce qu’ils croient être le réel sont des produits, ce ne sont pas des données objectives qui seraient extérieures au monde. C’est plus que le problème de la science, de l’objectivité et du petit bonhomme de Laplace, c’est inhérent à la condition humaine et à cette chose merveilleuse qui la caractérise :, l’accès  à la connaissance. 

On pense et on agit avec des outils qui ont été forgés dans un milieu donné, à un moment donné, dans un certain environnement social etc.Et en plus on pense avec des idées derrière la tète , on a des désirs …La pensée est courbée par sa naissance dans la tète d’un sujet comme une plante dans une terre , elle traverse l’épaisseur du crane humain et ce n’est jamais neutre. La pensée traverse une sorte de prisme déformant. 

La pensée avant de se rapprocher  asymptotiquement du vrai, doit traverser de nombreuses couches d’imaginaires, d’idéologies, de biais. Il faut la travailler, la gratter, quelquefois la renverser paradoxalement avant de faire sortir le diamant symbolique du vrai. J’ajoute que ce diamant n’est jamais pur, toujours il y a à faire, à travailler dessus . La tache n’est jamais terminée. 

Mais c’est vrai qu‘il est difficile de concilier ces deux choses extraordinaires: 

-La vérité existe en tant qu’objectif du savoir et nous devons tendre vers elle. La vérité est une conquête jamais finie , un processus qui consiste a tendre vers… 

-Le savoir est toujours relatif à une époque et à  un certain stade de développement de la société. Il n’y a pas de savoir hors de la tète des gens, donc le savoir est un produit. Ce n’est pas quelque chose qui préexiste à la recherche et aux outils, ce n’est pas ce qui est dans la Caverne de Platon. 

Mais le savoir est peut être caché derrière les mots, derrière ce qui se donne à entendre, derrière ce qui se donne à voir. 

D’ou l’importance du travail critique de décodage. 

Et cette troisième chose extraordinaire que je rajoute pour les besoins de l’action cette fois:

-Seule la vérité est efficace 

Pour clôturer sur une pirouette pas si banale qu’il y parait : 

Pas besoin d’espérer pour entreprendre.

BRUNO BERTEZ Le Vendredi 11 Janvier 2013

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Voici ci-dessous en illustration une synthèse qui éclaire très bien mon audace quant à l’interprétation des dérives fascistes et leurs liens avec le socialisme: 

  • Refus du libéralisme
  • Mépris de l’individu
  • Tout pouvoir de l’état qui sait tout
  • Négation des antagonismes sociaux 

Les définitions actuelles du fascisme exonèrent le socialisme, hors il n’y a pas de fascisme sans doctrine socialiste à la base c’est à dire négation de l’individu.


Fascisme et totalitarisme

Mouvement fondé en 1919 par Mussolini (Fasci Italiani di combattimento = Faisceaux italiens de combat), le fascisme n’est pas seulement un mouvement politique, c’est aussi une philosophie de l’État dont le principal théoricien est Giovanni Gentile. Les fascistes prennent le pouvoir en Italie en 1922.

1. Les origines de la pensée politique fasciste

Le fascisme a deux sources :

  1. Les doctrines socialistes (critique du libéralisme politique et économique)
  2. La notion d’État chez Hegel (idéaliste allemand du XIXe siècle)

1.1 La critique du libéralisme

a. Le libéralisme politique (exemple, la théorie de Locke)

La thèse fondamentale du libéralisme est que l’individu est au fondement des relations sociales. En conséquence, la puissance de l’État est limitée par les droits individuels.

La critique socialiste du libéralisme politique repose sur le constat que l’individu isolé n’existe pas et que la société est première par rapport à l’individu. Il s’ensuit que l’individualisme radical est nécessairement utopique.

b. Le libéralisme économique (exemples Adam Smith et Ricardo)

La thèse fondamentale du libéralisme économique est que l’organisation de la production et des échanges est une affaire individuelle et que le libre échange et la libre concurrence doivent déboucher sur un ordre social équilibré et juste.

La critique socialiste du libéralisme économique repose sur le constat que le libéralisme conduit toujours à des sociétés inégalitaires. Le libéralisme en effet ne tient pas compte du fait que la liberté et l’égalité formelles ne suffisent pas si l’égalité des chances n’estpas instaurée et maintenue. Les initiatives individuelles doivent donc être contrôlées pour assurer le bien-être commun.

Les fascistes, comme les socialistes, refusent en théorie l’individualisme politique et économique. C’est en cela que le fascisme se présente comme une doctrine «sociale». Mais contrairement aux socialistes, les fascistes refusent le principe de la lutte des classes et, en niant la réalité des conflits d’intérêts, ils assimilent l’individu à la collectivité.

Cependant, dans la pratique, le contrôle économique et politique instauré sous les régimes fascistes contribueront à renforcer les grands monopoles économiques et à favoriser une élite politique.

1.2 La notion hégélienne d’État

Elle remonte à la philosophie politique de Kant (XVIIIe siècle). Kant pensait qu’à cause de la faiblesse des hommes, il y aurait toujours un écart entre les exigences morales et leur application. Il faut donc « aider » les individus à être moraux et libres (il n’y a de vraie liberté, selon Kant, que dans la moralité). D’où la célèbre formule de Kant : « L’homme est un animal qui a besoin d’un maître ». Ce maître, c’est l’État. Ainsi, pour Kant, il n’y a de liberté individuelle que grâce à l’État.

Hegel reprend cette idée que l’État est nécessaire parce que ce n’est que dans et par l’État que l’individu est vraiment libre. Mais il va plus loin que Kant en développant une véritable métaphysique de l’État. L’État serait selon lui la réalisation de la liberté dans l’Histoire. Donc l’État n’est plus comme pour Kant un simple moyen d’être libre. Il est la liberté. L’État devient une fin en soi. Ainsi, pour Hegel, l’État est le seul être volontaire et libre. L’individu ne se réalise que dans la mesure où il participe à la volonté et à la liberté de l’État. Conséquences :

  1. L’État hégélien n’est pas un simple pouvoir institutionnel, c’est une réalité spirituelle
  2. La volonté individuelle n’existe pas. C’est une abstraction qui ne se réalise que dans les collectivités (la famille, l’état).

Remarquons cependant que Hegel distinguait l’État comme réalité spirituelle des états historiques qui n’en étaient que des manifestations imparfaites. Il permet de ce fait une certaine critique politique. Les fascistes reprennent cette conception de l’état à ceci près qu’ils abolissent la distinction État spirituel /état historique. L’État fasciste est l’État spirituel. Idéal et réalité étant confondus, toute critique est rendue impossible, d’où le totalitarisme et le nationalisme exacerbé caractéristiques du fascisme.

2. La doctrine fasciste de l’État

2.1 La conception fasciste de l’État

L’état libéral était le garant des droits individuels. Pour les fascistes, au contraire, l’individu n’a ni volonté, ni liberté, ni pouvoir, et par conséquent, il n’a aucun droit. Seul l’État est une personne spirituelle douée de volonté, de liberté et de puissance. La devise fasciste est

« Tout dans l’État, rien contre l’État » (Mussolini).

NB : La différence entre le fascisme et le nazisme est que, pour Mussolini, l’État était une communauté culturelle, alors que pour Hitler, c’est aussi une communauté raciale.

2.2 Conséquences socio-politiques

La conception fasciste de l’état a pour conséquence le refus de tout ce qui est susceptible de diviser ce tout qu’est l’État: le totalitarisme (ou Etat-total)

a- Sur le plan politique:

  • Un parti unique strictement hiérarchisé
  • Un chef unique, incarnation de l’État qui concentre tous les pouvoirs
  • Pas de délibération
  • Pas d’opposition

b- Sur le plan social:

  • Interdiction de toute association, sauf le parti unique
  • Abolition de toutes les libertés individuelles (de pensée, d’expression…):
    « La liberté est la liberté de tout un peuple acceptant la règle de l’État qu’il a intériorisé. » (Mussolini)
  • Endoctrinement systématique. Devise = « Croire-Obéir-Combattre »

L’endoctrinement est la conséquence directe de la définition fasciste de la liberté. L’intériorisation de la règle de l’État se fait par « l’éducation », entendre l’endoctrinement, des individus. Mussolini voulait changer la société en modelant un nouveau type d’être humain.

3. Les contradictions du fascisme

3.1 Contradictions théoriques

Doctrine de l’ordre

Mais au nom de l’État, tout est permis (absence d’état de droit, retour à la violence)

Identification de l’individu à l’État

Mais on est prêt à sacrifier tous les individus pour la sauvegarde de l’État

Critique de l’individualisme

Mais culte de la personnalité du Chef (le guide, le Duce) qui « incarne » cette réalité spirituelle qu’est l’État

Toute puissance de l’État

Mais retour au pouvoir personnel, non étatique

3.2 Contradictions pratiques

Sous prétexte de vouloir instaurer un nouvel ordre social et une nouvelle justice sociale, le fascisme a conduit aux pires atrocités. La délibération étant proscrite du fonctionnement normal du processus politique de prise de décision, toute décision doit être imposée par la contrainte, c’est-à-dire soit la propagande et l’endoctrinement, soit la violence pure et simple, qui deviennent des moyens normaux d’action politique.

Conclusion : Le fascisme est une aberration intellectuelle (doctrine contradictoire) et un scandale pratique (régime politique insoutenable).

http://www.ac-grenoble.fr/PhiloSophie/logphil/notions/etatsoc/esp_prof/synthese/totalita.htm

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8 réponses »

  1. Excellent !

    Pour que la notion d’ultra-riches soit bien comprise, ou pas trop réduite à sa caricature, il me semble qu’il faut parler en pourcentage de la population, d’une part, et en diversité de la richesse d’autre part : richesse économique exorbitante ou richesse politique/sociale exorbitante, permettant de s’extraire des contraintes communes et du respect de l’égalité des citoyens par le biais de la kleptocratie permise par les privations de liberté successives.

  2. Mélenchon est un bonimenteur, c’est un marchand avec comme fonds de commerce l’outrance verbale et les slogans pour les oreilles mais pas pour les cerveaux…il joue le rôle de l’opium du peuple de gauche.

    • Quatremer est un imbécile qui ferait mieux de réfléchir au lieu de passer les plats et prendre sous la dictée. Les europhobes sont heureux et dans le meilleur des mondes. Pourquoi?

      Parce qu’ils sont hedgés:

      -Ils jouissent de l’euro, tout comme les europhiles

      mais en meme temps

      -ils sont prets à jouir de sa disparition alors que les Quatremer et consorts souffriraient, perdraient leur sinecure et leur costume de laquais.

  3. Illustration du progrès des libertés individuelle vu par la gauche, cette gauche progressiste qui soutient actuellement la loi sur le mariage homo, la PMA : à la fin des années 70, cette même élite bien-pensante défendait, au nom de la liberté, de l’égalité et contre les réactionnaires, la pédophilie. Libération, le Nouvel Obs, Le Monde, le PS : tels sont les actuels défenseurs des lois prométhèennes sur la négation de l’altérité via l’homoparentalité. En 1977, c’étaient déjà les mêmes qui signaient des pétitions pour soutenir la pédophilie…au nom de la liberté et du progrès. On ne change pas une équipe qui gagne !
    Cf lien ci-dessous.
    http://24heuresactu.com/2013/01/02/quand-libe-le-monde-et-la-goche-morale-defendaient-la-pedophilie/

    • @Mineral

      Terrible post que celui vous mettez en ligne.

      Si les textes sont authentiques, je dis bien si ils sont authentiques, voila qui éclaire la campagne actuelle. La campagne que dis je, la guerre qui est déclarée.

      Derrière le mariage pour tous, il y aurait les enfants pour tous dans les jardineries libre service; les procréations assistées pour tous et bien sur la pornographie/pédophilie pour tous, à la maison, bien au chaud et à l’abri de regards de la société.

      On comprend que ces gens achètent le capital et l’influence de journaux nationaux, on comprend que le Maroc, conscient du problème, modifie ses législations. On comprend moins bien, à moins que … On peut esperer qu’à coté des problèmes de société et des problèmes culturels, l’Institut du Monde Arabe, l’IMA va se préoccupper de ces questions. Il en va de l’honneur de certains pays gangrénés et vulnérables aux nouveaux droits.

      Mais au fait , plus besoin d’aller au Maroc , à Marrakech ou ailleurs partouser avec les dignitaires du Royaume avec les risques que cela comporte….

      • L’association mariage homosexuel / pédophilie me semble tirée par les cheveux, pour ne pas dire hystérique, mais le débat est tellement biaisé (de part et d’autre) qu’on a quitté le monde de la raison.

        Ceci dit, sur le fond, oui, c’est bien ce qui s’est dit dans la belle gogoche (déjà) bien-pensante. Une des références cités dans l’article. Attention, ça décoiffe!

        ( Jacques Dugué s’explique. Libération 21.01.1979 )
        http://www.bafweb.com/Lib19790126.html

        Un article de Libé 2001 sur Libé 1980… coeur sensible s’abstenir.
        http://www.liberation.fr/evenement/0101365058-libe-en-echo-d-un-vertige-commun

        Avec cette auto-absolution magnifique, symptomatique:
        « Et Libération de cette époque n’est rien d’autre que l’écho particulier du vertige commun.  »

        Bref, c’est pas d’hier qu’ils essaient de changer l’Homme et sa moralité.

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