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Islamo-Gauchisme : Burkini – la gauche et son effondrement narcissique !

Burkini: la gauche et son effondrement narcissique

Photo published for #Burkini : les musulmans modérés nous menacent d’attentats

Par Eric Verhaeghe  Jusqu’ici tout va bien 27 aOUT 2016

L’affaire de la burkini constitue d’ores et déjà un marqueur passionnant de la société française, dont nous ne sommes pas prêts de faire le tour. Les esprits les plus caustiques s’amuseront d’ailleurs de voir que le fer est principalement porté aujourd’hui par la Ligue des Droits de l’Homme (j’y reviendrai dans un prochain billet) qui fut longtemps le repère des “bouffeurs de curé”, et qui devient aujourd’hui le lobby officiel de la cause islamiste. Il faudra bien se demander pourquoi ceux qui ont dénoncé le catholicisme au nom de la liberté d’opinion font aujourd’hui l’apologie de l’Islam au nom de cette même liberté…

La question est piquante: pourquoi ceux qui détestent l’Eglise catholique se montrent-ils si conciliants pour une autre religion monothéiste, bien plus autoritaire et intolérante? Il faut se détester au plus haut point pour préférer à une religion qui a façonné le paysage européen une religion rivale qui réserve aux Chrétiens le statut de “dhimmi”. Et il faut se détester encore plus, quand on se prétend défenseur des Droits de l’Homme, pour faire le lit d’une doctrine politique dont le premier geste consistera à bannir ces mêmes droits.

L’occasion était trop belle pour ne pas décrypter ici ce qui me semble être le signe le plus évident de l’effondrement narcissique qui frappe la gauche.

La Burkini, une affaire d’amour propre

Reprenons d’abord au calme l’affaire de la burkini dans sa signification collective. Une part minoritaire (mais de plus en plus importante) des musulmans de France considère qu’elle doit manifester son appartenance religieuse par le port de tenues vestimentaires spécifiques. Elle manifeste ainsi, comme certains membres de la communauté juive d’ailleurs, son ambiguïté vis-à-vis de la société française, en réclamant son intégration mais en revendiquant en même temps la reconnaissance d’une place spécifique, “à part” d’un certain nombre de nos valeurs.

À la différence de certaines sensibilités de la communauté juive, le port de la burkini émane d’une fraction musulmane dont le projet religieux est aussi un projet politique global où la démocratie se plie à des principes contraires à l’esprit républicain: fin de la mixité, infériorisation de la femme, homophobie, interdits religieux non compatibles avec la laïcité.

En elle-même, la burkini est un signal faible et même secondaire de ce phénomène, mais c’est, somme toute, un symbole bien choisi par les amis de la République. Depuis l’invention du tourisme balnéaire, la tenue vestimentaire pour l’accès à la plage constitue un enjeu sociétal doté d’une histoire symbolique.

photographie de presse de l'agence Meurisse, source Gallica / Bibliothèque Nationale de France
photographie de presse de l’agence Meurisse, source Gallica / Bibliothèque Nationale de France

Entre l’invention du bikini et ses différentes variantes jusqu’à la pratique du naturisme, l’histoire de la plage est aussi l’histoire de la libération de la femme et du corps. Ce que nous propose la burkini, c’est un retour en arrière dans cette histoire, une validation implicite d’un modèle de société où la femme ne peut montrer son corps quand l’homme le peut, c’est-à-dire un modèle fondé sur une inégalité des sexes bien plus violente que celle que nous connaissions avant les années 70.

La question que nous pose la burkini peut donc se résumer à une seule formulation: acceptons-nous aujourd’hui de reconnaître comme membres à part entière de notre cité ceux qui contestent ouvertement les combats qui ont fait la place de la femme et du corps dans notre société? Incidemment, la burkini nous demande de nous prononcer sur l’importance que nous accordons à la contestation de cette part de nous-mêmes. En ce sens, elle interroge notre amour-propre, c’est-à-dire la fierté que nous avons de notre identité collective.

Le “vivre ensemble” et la haine de soi

Une part importante de la gauche considère qu’au nom duvivre ensemble il faut accorder à la burkini le même statut qu’à n’importe quelle autre tenue de plage.

Les raisons pour lesquelles la gauche préconise cette tolérance sont parfois contradictoires. Pour les uns, la burkini est une sorte de modernité dans l’Islam qu’il faut encourager. Pour d’autres, elle est intolérable mais son interdiction est pire que son autorisation. Pour d’autres encore, elle existe à peine et importe si peu qu’elle n’est pas un problème. Toute la galerie des bonnes raisons de ne pas interdire existe donc, avec des raisonnements qui peuvent s’exclure ou se contredire.

Toutefois, les adeptes du “vivre ensemble” ont un point commun qui sublime leurs contradictions: ils n’aiment pas dire non à l’autre. Que l’autre (c’est-à-dire celui qui, radicalement, n’est pas “nous”, peu ou prou assimilable à un chrétien d’origine européenne) explique que la burkini n’est pas une tenue qui infériorise la femme et tout va bien: au nom du “vivre ensemble”, il faut gober sans mot dire cette imposture, ce mensonge éhonté, et faire place à la burkini.

Et c’est ici que l’adepte du “vivre ensemble” dévoile la haine de sa propre identité. Car dans le même temps où il est de bon ton de caresser dans le sens du poil (si l’on me permet ce mauvais jeu de mots) les islamistes qui expliquent que la meilleure promotion de l’égalité entre les sexes, c’est l’interdiction de la mixité et l’infériorisation de la femme, il ne faut jamais manquer une occasion contraire de vilipender l’affirmation de nos valeurs sous l’accusation générique “d’extrême droite”.

Ainsi, dire que nous sommes heureux d’avoir de belles femmes en bikini sur nos plages, c’est évidemment machiste, sexiste, à la limite de l’appel au viol. C’est la France rancie qui parle, celles des vieux fachos libidineux. Et le “vivre ensemble” ne trouvera jamais de mots assez durs pour dénoncer cette affirmation réactionnaire de ce que nous sommes. En revanche, qu’une poignée de barbus intervienne dans les médias pour expliquer que le fascisme et le colonialisme règnent en France parce que la femme y a des droits, et le “Vivre ensemble” se lève comme un seul homme pour applaudir à cette résurgence de la lutte pour l’émancipation des peuples.

C’est en ce sens que le “vivre ensemble” est une émanation de la haine de soi. Il repose sur une économie interne très bien structurée: tout ce que fait l’autre est bien (même inférioriser la femme), parce que tout ce que je fais (même assurer l’égalité aux femmes) est mal. Je n’aime l’autre que parce que je me déteste moi-même. Et dès que j’entends, en moi, une petite voix me dire qu’il faut que je défende mes valeurs, je m’interdis de l’écouter parce qu’elle est sans doute la voix du fascisme en moi, de cette affirmation de mes valeurs qui n’est qu’une résurgence du colonialisme, du racisme, de la méchanceté naturelle du blanc.

Un exemple de la haine de soi: Pouria Amirshahi

Un bel exemple de cette économie systémique de la haine de soi est fourni par le discours de Pouria Amirshahi, député socialiste des Français de l’étranger, ancien leader du syndicalisme étudiant élu avec moins de 15% des voix dans sa circonscription. Cet imposteur de la démocratie, qui est tout de même bien content de percevoir de confortables émoluments grâce à des fonctions où l’investiture de son parti a beaucoup plus compté que le choix des électeurs, a prononcé un vibrant discours en juin 2016 que voici que voilà:

On retiendra quelques passages qui illustrent bien la notion de haine de soi:

le débat public est désormais pourri par l’obsession de l’identité nationale, brandie comme une pureté abstraite – autrefois talisman de l’extrême droite que les apprentis sorciers de droite ont cultivé ces quinze dernières années et que l’exécutif actuel avait relayé avec son projet heureusement empêché de déchéance de nationalité.

Quand on fait de l’identité la clé de voûte de son programme politique, l’histoire a montré que ça finit toujours très mal. J’entends d’ailleurs déjà ceux qui sont passés à la deuxième étape, à Béziers ou ailleurs, parlant désormais de guerre civile. Permettez-moi de dire que nous sommes nombreux à militer pour des idées plus nobles.

Quelques formulations sont ici très précieuses et très riches d’enseignement: l’identité nationale, c’est un “talisman”, et ses défenseurs des “apprentis sorciers” qui prônent “la guerre civile”. L’identité nationale ne fait pas partie des “idées nobles”.

En creux, nous entendons ici un discours bien connu: affirmer son identité, c’est un acte de guerre, populiste, un appel à la violence, alors que les gens animés par des idées nobles sont ouverts à l’autre et sont des gens de paix. Daladier et Chamberlain ne disaient pas autre chose à la sortie de l’entrevue de Munich en 1938. Leur lâcheté ne nous a évidemment pas évité la guerre.

Mais je voudrais souligner ici comment les partisans du “vivre ensemble” assimilent systématiquement l’affirmation identitaire ordinaire à une acte de violence qui déstructure leur fonctionnement psychique.

L’historien de gauche bien-pensant Michel Wievorka, dans un article publié par Slate, le site de Jacques Attali ne dit pas autre chose: la lutte contre la burkini relèverait, selon lui, de la panique morale et de l’hystérie qui débouche sur la violence. Chacun appréciera à sa manière le volume de séances psychanalytiques dont Michel Wievorka a besoin pour comprendre l’étrange assimilation qu’il fait entre l’affirmation de soi et l’état de panique, mais elle constitue une bonne introduction à mon propos suivant: le “vivre ensemble” n’est que l’expression d’un effondrement narcissique.

Panique et affirmation identitaire

Pour comprendre l’idée du “vivre ensemble” comme conséquence de notre effondrement narcissique collectif, je voudrais rebondir ici les propos de Michel Wievorka et sur sa croyance selon laquelle l’affirmation identitaire relève de la panique. Il me semble utile de décoder son message, qui signifie en réalité que, dans son esprit, affirmer son identité et sa volonté, dire à l’autre ce qu’on accepte de lui et ce qu’on refuse, ouvre forcément la voie à un état de panique. Disons même que, dans son esprit, celui qui affirme ce qu’il est vit forcément un état de panique, car il n’y a rien de plus angoissant (disons même qu’il s’agit de l’angoisse suprême) que d’être soi.

Le “vivre ensemble” et son corpus de non-dits nous renvoient donc systématiquement à une étrange posture que le psychanalyste et philosophe Jacques Lacan aurait présenté comme la peur panique de la castration: porter son identité, c’est assumer unobjet phallique“. Cela suppose de ne pas être castré, de se vivre soi-même comme autorisé à être ce que l’on est.

Les lecteurs peu férus de psychanalyse me pardonneront cette incursion dans un champ relativement étranger à la politique, mais il faut comprendre ici que le débat sur la burkini, qui est aussi un débat (même s’il ne dit pas son nom) sur le rapport au corps et au désir de l’autre, n’est pas compréhensible s’il ne s’intéresse pas à cette question fondamentale de savoir pourquoi on put se détester soi-même au moins d’accepter de l’autre tout ce que nous nous sommes interdits à nous-mêmes.

Le “vivre ensemble”, conséquence de l’effondrement narcissique

Chez un très grand nombre d’intellectuels bien-pensants, l’éducation a fait son oeuvre. L’angoisse de la castration a structuré une doctrine politique qui domine de fait la société française. Elle est fondée sur la grande peur de l’affirmation identitaire que nous connaissons sous toutes ses formes. Pour être admis dans les cercles de la bien-pensance, il faut aimer l’Europe et aimer le “vivre ensemble”. Toute vision contraire est assimilée à un populisme violent et ramène toujours à cet état de panique dans laquelle entrent tous ceux qui se détestent lorsqu’ils doivent dire qu’ils s’aiment tels qu’ils sont.

Ceux-là ont la croyance naïve selon laquelle, pour reprendre les propos d’Amirshahi, l’identité nationale est un talisman qui mène à la violence, c’est-à-dire un objet magique qui donne suffisamment de force pour détruire les autres. Je laisse aux psychanalystes le soin d’approfondir cette question à sa juste mesure. Je note juste que, dans l’esprit d’Amirshahi, l’identité nationale est bien un objet magique qui change la personnalité et produit l’angoisse de ne plus pouvoir contrôler sa force.

On retiendra seulement les éléments de fait qui expliquent ce qu’est notre effondrement narcissique: affirmer notre identité procède de la violence fasciste. Cette idée générique regroupe tout le mal que l’Occident, et singulièrement la France, ont pu commettre par le passé au nom de leur fierté nationale: le colonialisme, la guerre, l’antisémitisme, etc.

Bien entendu, un examen sérieux de l’histoire nationale montre que cette corrélation ne tient pas, et les adeptes du Vivre Ensemble devraient se souvenir qu’un grand nombre de forfaitures commises à ces époques ne sont pas le fait des “identitaires” mais plutôt de courants de pensée dont la gauche est issue. Il n’en reste pas moins que le meilleur argument du Vivre Ensemble repose sur la conviction superstitieuse selon laquelle le talisman de l’amour de soi débouche toujours sur la violence exercée sur les autres.

S’affirmer, c’est donc l’angoisse. Se détester, c’est la sécurité.

La douce illusion du vivre ensemble

Dans cet effondrement narcissique qui laisse croire que la meilleure façon de ne plus être angoissé par soi-même est de se haïr, de se détester au point de vouloir tout ce que l’autre veut et d’abdiquer tout ce que l’on croit, il existe une immense illusion qui nous jouera des tours et que j’appelle la nouvelle trahison des clercs. Car c’est une illusion de croire que les islamistes qui détestent la démocratie libérale et ses valeurs de liberté et d’égalité manifesteront la moindre reconnaissance vis-à-vis de tous les petits lèche-culs qui tortillent du popotin en leur disant aujourd’hui: “Mais oui, bons maîtres, vous avez raison et nous sommes coupables”.

L’ordre politique qui sous-tend la burkini et les autres signaux faibles envoyés par le monde islamique est déjà défini. Il a été pratiqué dans l’El-Andalous, c’est-à-dire dans l’Espagne musulmane, il y a six siècles. Les principes en étaient clairs: les chrétiens (catégorie incluant les athées ou les agnostiques d’aujourd’hui) étaient des “dhimmi”, c’est-à-dire une minorité dépourvue de droits politiques et autorisée à pratiquer sa religion en échange d’un impôt spécial. Les Wievorka, Amirshahi, et autres admirateurs de la force chez l’autre pourront donc courber l’échine tant qu’ils voudront devant leurs futurs maîtres, ils ne les empêcheront pas de balayer notre démocratie pour établir un ordre où nos femmes auront le droit de ne pas porter le voile à condition de payer un impôt plus élevé que les autres.

Car la grande croyance de celui qui a peur est d’imaginer que la peur lui évite le danger.

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5 réponses »

  1. Désormais, le pli est pris, ce sont les musulmans qui piloteront la FRANCE et plus vite quel’on peut le penser. Regardez JUPPE et sa grande compréhension à BORDEAUX avec les musulmans.
    Il veut prétendre au poste de PRESIDENT probablement pour accélérer l’opération.
    Bien à vous.

  2. Pendant longtemps, la propagande gauchiste a façonné les idées de la société en laissant croire tout le monde qu’ils étaient des progressistes et les gens de droite uniquement des conservateurs tournés vers le passé et incapable de modernité.
    J’ai toujours refusé ce clivage en me proclamant progressiste de droite et affirmant que le progressisme de gauche était une escroquerie.
    Il est aujourd’hui clair que la position tenue par la gauche est un retour en arrière pour le droit des femmes et ce qui est amusant, c’est que beaucoup de gauchistes invoquent la liberté des femmes à choisir alors que la femme musulmane n’a aucun pouvoir et n’est donc pas libre de faire ce qu’elle veut.
    Comme vous le dites dans l’article, la gauche est proche de son effondrement. Elle s’est sabordée en voulant inclure dans son paradis vivrensembliste les musulmans qui ne veulent pas des socialistes puisque pour eux, droite ou gauche, ce sont des chrétiens, donc des ennemis.
    Les seuls exemples de sociétés musulmanes ou l’on a pu voir une progression des droits de l’homme sont les régimes qui ont diminué l’importance du rôle de l’Islam, la Turquie d’Atatürk ou des régimes musulmans postcoloniaux.
    Cette société d’illusion ou l’arnaque intellectuelle est permanente, puisqu’il suffit de s’attribuer des vertus qui sont à l’opposé de notre vraie nature pour devenir une référence ; la ligue des droits de l’homme, dirigée par des communistes, les mêmes qui ont massacré 100 millions d’hommes dans le monde avec une barbarie rarement égalée nous fait constamment la leçon. Mais aujourd’hui en choisissant l’Islam, elle a montré son vrai visage, celle d’un lobby politique d’influence gauchiste sans rapport avec les droits de l’homme mais qui veut le refaire à son image.
    Il me tarde de voir votre article concernant ces escrocs.

  3. Les « membres » du conseil d’état….
    http://www.cairn.info/revue-pouvoirs-2007-4-page-89.htm
    ceux qui le composent

    En premier lieu, la majorité des membres ont une formation commune : 246 sont diplômés de l’ena, soit 82 %. Cette proportion relativise d’autant les vertus de brassage du tour extérieur : on compte en effet 32 énarques parmi les 73 « tours extérieurs politiques » et 20 énarques sur les 24 « tours extérieurs ta ». Aussi n’est-il pas rare que des membres recrutés au tour extérieur retrouvent au Palais-Royal d’anciens camarades de promotion ; de surcroît, un certain nombre d’énarques du « tour extérieur politique » – administrateurs civils pour la plupart – ont, quelques années avant leur nomination, effectué leur mobilité au Conseil. Mais si le tour extérieur ne permet pas de réellement diversifier les profils, il a le mérite de rendre, dans une certaine mesure, réversible le classement de fin d’étude de l’ena……

    René Cassin, Marceau Long, Renaud Denoix de Saint Marc… Voici quelques noms qui viennent à l’esprit lorsque l’on évoque les membres du Conseil d’État. Mais au-delà de ces figures emblématiques, on s’aperçoit que les personnes formant aujourd’hui le premier des grands corps sont souvent mal connues.

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Ren%C3%A9_Cassin
    René Cassin une des figures emblématiques…

    Ceci expliquant cela

    La haine de soi est un long travail de sape idéologique en amont..aussi.

    Le conseil d’etat donne raison aux islamistes mais pas la grande majorité des français
    Bel effort de vouloir faire l’analyse de la haine de soi qui habitent la gauche
    Ce sont les mêmes que ceux dont Chamberlain désignait en rentrant de Munich « Quels cons »!

  4. Décidément, on n’en est pas encore à admettre – vu les considérations sociologiques, morales, éthiques etc – que tout cela est politique. Politique, cela suppose – et c’est vrai que lorsque l’on voit et entend Hollande, on a du mal à y croire – cela veut dire une stratégie à long terme en vue de parvenir à un objectif
    Je veux dire par là que toutes les déclarations, dissertations, considérations sur la légitimité ou pas des revendications vestimentaires ou pas des musulmans ne servent qu’à détourner les esprits du problème de fond.
    Hollande l’a déclaré (à Tunis) et Juppé sera d’accord, et bien d’autres : :l’islam est compatible avec la République.
    Eh ben demandons aux Français s’ils sont d’accord et à quelles conditions.
    Je me souviens d’une réflexion à propos d’une pièce de théâtre de Guitry jouée, récemment, par quelque comédien; C’était à peu près : c’est pas mal mais le problème, c’est Guitry; Et là, le problème, manifestement, c’est la République. . .

  5. Yes, le probléme c’est la république,!!! Qui a une religion quoiqu’on en dise :celle du Grand orient et de toutes les loges athées matérialistes et droit de l’hommiste
    Les » Fréres » gouvernent, les élus sont en grande majorité Francs-macons dans les deux camps
    Je ne vais pas verser dans le complot judeo maconnique mais les dégats commis au nom de la fraternité liberté et de l’egalité me semblent si considérable qu ‘il faut quand même remonter à l’origine
    Les racines du mal sont multiples et complexes mais l’idéologie maconnique à largement contribué à extirper par la force les valeurs de la France Chrétienne et de notre identité culturelle
    Je pense qu »au départ le projet est disons de » bonne foi » et relevant d’un certain idéal
    D’ailleurs beaucoup de maçons sont tout a fait respectables ..mais désormais c’est une machine de guerre et pas un signe n’a été donné par le Grand Orient concernant l’envahissement_migratoire et culturel que nous subissons
    D’ou viennent les lois concernant l’école et misent en oeuvre par Najat?
    Ah si les » fréres » mettaient autant d’ardeur a interdire les voiles -burkini et autres emblémes de l’islam que celle qui les a porté à arracher dans les écoles les crucifix nous n’en serions pas la.

    Quant au coté lacanien de votre analyse, la haine de soi certes, mais aussi l’hystérie le symptome des féministes « L’hystérique est une esclave qui cherche un maître sur qui régner »
    L’islam est un objet fantasmatique parfait :les victimes deviennent des maitres – bourreaux..Tout -Va-Bien il y a corrélation
    Elles vont se prendre un joli choc des civilisations de la tête.Lorsque que le réel les cognera.

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