C’est confirmé: des agents du renseignement américain ont divulgué les emails de la campagne Clinton, pas la Russie

Des initiés tentent de sauver l’Amérique d’une présidence d’Hillary
Infowars, Paul Joseph Watson et Alex Jones, 02/11/2016
Il est maintenant clair, venant de nombreuses sources, que le piratage Podesta ayant conduit Wikileaks à publier des dizaines de milliers d’emails de la campagne Clinton, ainsi que d’autres piratages ciblant le Parti démocrate, ont été le travail d’agents du renseignement américain tentant de sauver l’Amérique d’une présidence Clinton.
La campagne Clinton a plusieurs fois insinué que des agents russes étaient responsables de la divulgation des emails, mais la réalité est bien différente.
Les hackers étaient des individus préoccupés qui étaient alarmés par la corruption rampante d’Hillary Clinton et par la mauvaise gestion des documents classifiés dès 2009, lorsque les responsables de l’Administration nationale des Archives et des Registres (NARA) ont pris connaissance des violations de procédures de tenue de dossiers au Département d’Etat sous la Secrétaire Clinton.
Les sources qui ont parlé en privé à Alex Jones, mais qui ne veulent pas être nommées, ont confirmé que les agents du gouvernement et du renseignement ont travaillé en tandem pour fournir à l’organisation de Julian Assange les emails Podesta.
Cette [version] est soutenue par l’ancien ambassadeur britannique Craig Murray, qui a été informé par des personnes internes à la sécurité que la fuite d’emails « vient de l’intérieur des cercles officiels de Washington DC. »
Lire la suite : http://www.infowars.com/confirmed-us-intel-operatives-leaked-clinton-campaign-emails-not-russia/
Source: https://twitter.com/PrisonPlanet/status/793841161982980096
Confirmed: US Intel Operatives Leaked Clinton Campaign Emails, Not Russia – https://t.co/yHvsfd9RMp pic.twitter.com/2UTdgWGr8T
— Paul Joseph Watson (@PrisonPlanet) 2 novembre 2016
Julian Assange Ends The Suspense: “The Source Of Hacked Emails Is Not Russia”https://t.co/TavTyHVDgl#HillaryIndictmentpic.twitter.com/ZkaKfa8XQT
— Ian56 (@Ian56789) 3 novembre 2016
USA PRÉSIDENTIELLE : RÉVÉLATIONS EXPLOSIVES, LES VÉTÉRANS MONTENT AU FRONT
Source : Le Nouveau Journal de Jackturf Le 3 Novemvre 2016
Le lanceur d’alerte Steve Pieczenik a été sous-secrétaire d’État adjoint sous Henry Kissinger, Cyrus Vance et James Bakerest. Il est expert en politique étrangère, gestion de crises internationales, et en guerre psychologique. Il a également servi sous les administrations présidentielles en tant que secrétaire adjoint pour Gerald Ford, Jimmy Carter, Ronald Reagan, et la Maison Blanche de George HW Bush.Déclarations chocs du lanceur d’alerte Steve Pieczenik : Un coup d’Etat civil est en cours aux Etat-Unis !
La vidéo de Pieczenik est sortie hier à peine et totalise pourtant déjà plus de 650 000 vues. Les informations qui sont présentées sont choquantes (et à la fois pas totalement nouvelles pour ceux qui suivent les informations non relayées par les médias de masse). Ce qui est vraiment nouveau, c’est le fait que des agences de renseignement US auraient collaboré avec Wikileaks pour mettre à mal la campagne présidentielle de Clinton et la mettre enfin à sa place: en prison. C’est également ce qu’évoquait le lanceur d’alerte de la NSA William Binney il y a quelques jours au sujet du piratage du DNC.
Clinton accuse, comme d’habitude les russes mais on constate que les coups qui lui sont portés proviennent bien de l’intérieur. Et qui d’autre que Wikileaks aurait pu révéler ces informations au monde entier? Nous avons aussi l’ex directeur adjoint du FBI James Kallström, qui confirme que la famille Clinton donne dans le “crime organisé” et que la fondation Clinton est un cloaque, sans parler de documents impliquant les Clinton qui sont soudainement déclassifiés par le FBI à quelques jours des élections. Tout cela ne peut pas être le fruit du hasard.La question qui se pose désormais est : n’est-ce pas trop tard ? Toutes ces révélations seront-elles suffisantes pour la faire perdre les élections? (la première étape indispensable) et surtout, le système de vote américain n’est-il pas trop corrompu pour que cela fasse une quelconque différence? Cela semble être particulièrement le cas des votes électroniques qui permettent toutes les dérives. D’ailleurs, ce n’est pas nouveau puisqu’en 2006, un programmeur informatique de la NSA témoignait déjà sous serment quand au fait qu’on lui avait demandé de développer un programme quasiment indétectable pour truquer des élections.Si Clinton est élue, il faudrait passer par une procédure de destitution plus contraignante et incertaine. Si réellement des agences de renseignements ont décidé d’outrepasser le circuit judiciaire (visiblement corrompu et peu enclin à traîner Clinton dans la boue) et qu’elles sont prêtes à aller jusqu’à faire un contre-coup d’Etat civil via la toile, ce serait vraiment une manœuvre aussi inédite qu’audacieuse. Cela est-il seulement possible?Attendons de voir la suite des événements qui s’annoncent particulièrement mouvementés. Hillary Clinton va-t-elle pouvoir mettre à profit les feux d’artifices qu’elle a déjà commandé ?https://actucourses.blogspot.fr/2016/11/usa-presidentielle-revelations.html?view=classic
Le journaliste d’investigation Bret Baier vient de révéler que selon ses sources, le serveur privé de Clinton a été piraté par au moins cinq hackers travaillant pour des services de renseignement étrangers.
En juillet, le directeur du FBI James Comey avait déclaré que son service ne pouvait pas dire avec certitude si le serveur avait été piraté ou pas.
Les autorités américaines pensent maintenant qu’il existe 99% de chances qu’au moins cinq agences de renseignement ont pu avoir accès aux emails secret défense et confidentiels de l’Etat, hébergés sur le serveur privé d’Hillary Clinton, rapportent deux sources différentes proche des enquêteurs du FBI – et nous pensons qu’il s’agit d’un train de fuites continu que les enquêteurs eux-mêmes, frustrés de la tournure politique qu’a pris l’enquête, transmettent aux médias.
Suite à ces révélation, Michael McCaul, le Président de la Commission de Sécurité intérieure de la Chambre des représentants a décrit la gestion du serveur de mail de Clinton quand elle était Secrétaire d’Etat de “trahison.”
“Elle a donné accès [à nos informations] à nos ennemis,” a déclaré McCaul sur “Fox & Friends” ce matin. “Nos adversaires possèdent ces informations hyper sensibles. … A mon avis, franchement, c’est de la trahison.”
McCaul a ajouté que James Comey lui a personnellement dit que des puissances étrangères ont probablement hacké le serveur.
Ces informations sont confirmées par un document obtenu par Judicial Watch suite au procès qu’il a intenté – et gagné – contre le Département de la justice au nom de la loi sur la liberté de l’information (FOIA).
Selon le document :
Un agent du FBI “était assigné à la protection de William Clinton. En raison de ses compétences personnelles en informatique, il lui fut demandé d’examiner et de réparer des problèmes de réseau à la fondation Clinton… [Il] a assisté la fondation Clinton dans un cas concernant un vol d’informations dans les systèmes informatiques de la fondation Clinton.”
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Dans son témoignage, rendu public mercredi 2 par le FBI, l’agent déclare que son assistance bénévole a commencé à la fondation, puis a été étendue pour inclure « un autre serveur situé dans la maison des Clinton ». [L’agent] “a été contacté par Justin Cooper en janvier 2011 pour l’aider avec la sécurité d’un serveur de mail situé dans la résidence des Clinton à Chappaqua, New York.” Cooper est un collaborateur de Douglas Band, l’assistant personnel de Clinton.
L’agent “a ensuite contacté Bryan Pagliano pour recommander d’ajouter des filtres de sortie IP sur le server.” Pagliano, un membre de l’équipe de campagne de Clinton devenu assistant au Département d’Etat, a demandé la protection du 5e amendement, et a refusé de répondre aux questions dans l’enquête du Congrès…
Enfin..
En novembre 2010, la Sécurité fédérale a été informée de l’existence du serveur privé de Clinton, car ce mois là, l’assistant ingénieur réseau Pagliano a transmis une note aux Services secret indiquant qu’au moins 10 tentatives de hack ont échoué sur le serveur qu’utilisait Clinton pour conduire les Affaires de l’Etat.
Pagliano précise dans sa note que les hackers utilisaient le login “Huma”, le prénom de la proche collaboratrice de Clinton, selon les emails que Judicial Watch a obtenu par son procès.
Conclusion
Paradoxalement, c’est parce que le FBI et le Département d’Etat ont été corrompus par les Clinton et ont tenté d’étouffer les scandales, que la frustration est monté parmi les serviteurs de l’Etat qui placent encore le respect de la loi au dessus de la politique, et qu’une pluie d’informations, à une semaine de l’élection, parviennent aux médias, et qu’une poignée d’entre eux, les rares encore honnêtes, les publient.
© Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
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