1984

1984 : The Economist : Obama a fait régresser la démocratie américaine, selon l’index 2016 et comble d’ironie appelle les Américains à la révolte !

The Economist : Obama a fait régresser la démocratie américaine, selon l’index 2016

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« 1984 » de George Orwell est arrivé en tête des ventes sur Amazon, après que Kellyanne Conway, la conseillère de Trump, a utilisé le terme «faits alternatifs » au cours d’une interview. Une déclaration qui n’a pas été sans rappeler l’univers de « 1984 », le recours à un langage spécifique pour masquer la vérité, et le «ministère de la Vérité.» «1984» a été écrit par Orwell en 1949.

By Rosaly, www.dreuz.info 1er Février 2017

La vengeance des minables.

L’avalanche d’insultes, de menaces de mort, de mises en garde, de pétitions, de manifestations anti-Trump prolifèrent aux quatre coins de la planète.

A croire que les électeurs américains ont élu un monstre tyrannique qui va plonger le monde dans l’apocalypse et détruire l’humanité.

Autant de hargne, de haine, de mépris envers un seul homme, qui a l’unique tort d’aimer son pays et souhaite protéger ses citoyens des affres du terrorisme islamique, c’est du jamais vu.

Donald Trump est devenu l’homme à abattre, celui par qui le scandale arrive.

L’establishment gauchiste ferait mieux de regarder la poutre qui est dans son œil et lui obstrue gravement la vue, plutôt que la paille dans l’œil de Donald Trump.

Ce n’est pas à cause de Donald Trump que la démocratie recule aux Etats-Unis et le reste du monde, selon les analystes du journal The Economist.

The Economist a publié son rapport annuel, le «Democracy Index 2016», sur l’état de la démocratie dans le monde, élaboré par l’Intelligence Unit du groupe éditorial.

Constat : l’Amérique, pour la première fois, n’est plus une «démocratie pleine et entière», mais «une démocratie imparfaite». Et les analystes s’accordent pour déclarer que Donald Trump, traité d’anti-démocrate par ses détracteurs, n’est pas à blâmer pour le déclin de la démocratie aux USA.

L’étude se fonde sur les valeurs de cinq critères de base : système électoral et pluralisme, libertés civiles, fonctionnement du gouvernement, niveau de participation politique, diversification des cultures politiques.

Chaque nation est classée dans une des quatre catégories bien définies :

  • Démocratie pleine et entière
  • Démocratie imparfaite
  • Régime hybride
  • Régime autoritaire

Le rapport s’accompagne d’une analyse de l’évolution de la démocratie et des transformations sociales en cours.

Le titre choisi cette année par The Economist pour son rapport est singulier : «Revenge of Deplorables» ou la «revanche des minables», le terme a été utilisé par Hillary Clinton pour insulter les électeurs de Trump lors de la campagne électorale.

C’est une référence à la révolte populaire en cours contre les élites, perçues comme coupées du monde réel et incapables de représenter les intérêts des peuples.

Les supporters de Trump sont des minables, mes supporters sont des gens formidables : Arabie saoudite, Qatar, Brunei, Emirats arabes unis

Et pour la première fois, le résultat surprend même les analystes : l’Amérique n’est plus une «démocratie pleine et entière», elle régresse au stade de «démocratie imparfaite» et surtout, ce déclassement n’est pas imputable à Donald Trump mais à Barack Obama, l’idole des élites occidentales, qui crachent leur venir sans discontinuer sur le diable Donald Trump, l’ennemi de la démocratie, le fasciste, le nazi, le tyran.

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La victoire de Trump, comme l’admettent les analystes de l’Economist, est la réponse des citoyens suite à la régression de la démocratie survenue au cours des années Obama. La réaction populaire, exprimée par l’élection de Trump, peut être vue comme une riposte, et non comme une cause à la carence de démocratie contemporaine.

Entre 2006 et 2016, le niveau de la démocratie a globalement régressé, notamment en Europe et aux USA.

Divers facteurs expliquent la diminution de la démocratie en Occident :

  • Méfiance envers les institutions politiques,
  • incapacité des gouvernements à apporter des réponses aux citoyens,
  • rôle de plus en plus marquant des technocraties non élues,
  • déclin de la participation politique,
  • restrictions des libertés civiles.

Les réponses à l’effondrement de la démocratie ont été le Brexit, l’élection de Trump et l’émergence de mouvements souverainistes dans toute l’Europe contre les élites.

Mais au lieu d’essayer de comprendre les causes de cette réaction, des peuples contre l’establishment politique, nombreuses furent les élites à délégitimer les résultats électoraux, dénigrant les valeurs de ceux qui leur apportèrent leur soutien. Et ainsi, à leurs yeux, le Brexit et Trump sont devenus l’expression d’émotions viscérales d’un nationalisme brut, et ceux qui votèrent en leur faveur furent qualifiés d’analphabètes politiques ou pires encore, de fanatiques et de xénophobes aux mains de démagogues, bref, «de minables» terme utilisé par Clinton pour montrer son mépris.

L’élection de Trump ne représente pas la crise de la démocratie, mais sa réponse. Celle des citoyens aux élites, qui ont diminué les espaces de démocratie. Les analystes de l’Economist sont clairs : Trump n’es pas à blâmer pour la chute de la confiance démocratique qui a précédé son élection, bien au contraire, il en a été le bénéficiaire.

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The Economist n’a jamais manifesté une sympathie quelconque envers la droite et les partis souverainistes : il représente depuis toujours les intérêts des élites commerciales et financières occidentales. Dès lors, on ne peut que se réjouir de ses conclusions, car si elles surprennent, elles marquent également un aveu d’échec de toute une classe dirigeante, non seulement aux USA, mais aussi en Europe.

Il est dès lors naturel de se poser la question suivante :

Pourquoi, ces gens, qui descendent dans les rues aujourd’hui contre Trump, avec certainement la bénédiction et le soutien financier de Georges Soros– ce gauchiste diabolique qui a voué sa fortune et sa vie à la destruction d’Etats souverains– et s’autoproclame ironiquement «sentinelle démocratique»– pourquoi ces gens, qu’ils soient journalistes radicaux-chic, milliardaires indignés d’Hollywood, défenseurs extrémistes d’une Europe qui nie la souveraineté aux peuples– pourquoi sont-ils demeurés étrangement silencieux ces dernières années, alors que l’érosion de la démocratie se poursuivait aux USA sous le règne du très «démocrate» Obama et dans l’Europe des élites technocrates ?

Etrange Non ?

Aujourd’hui, l’obsession qui prédomine dans l’Establishment, c’est l’idée fixe d’annuler l’élection de Donald Trump, peu importe les moyens. Sera-t-il assassiné, renversé par un coup d’Etat militaire, destitué ? Car il ne faut pas lui laisser la moindre chance de tenir ses promesses aux électeurs. Imaginez l’impact que cela aurait sur les peuples, si enfin un chef d’Etat respectait ses promesses électorales ! Les élites dirigeantes seraient balayées et leur échec irréversible.

Délégitimer Trump, le salir, le noircir, l’entraver dans tout ce qu’il entreprend par le matraquage de l’opinion publique de fausses informations suscitant la crainte, par les calomnies, les insultes des médias islamo-gauchistes, voilà de quoi occuper à temps plein tous les ennemis de la démocratie et des peuples.

Steve Bannon, stratège du président, a fait ce commentaire judicieux dans une interview pour le New York Times :

«Après leur défaite humiliante, les médias feraient mieux de se taire ; ils ne comprennent rien au pays, ni pourquoi Donald Trump a été élu. Leur intégrité est zéro, leur intelligence zéro, et ils ne se foulent vraiment pas

Il sera difficile de lui donner tort.

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Le maire musulman de Londres y est allé de sa voix.

Il a demandé l’annulation de la visite de Donald Trump au Royaume-Uni :

«Je veux être clair, a dit le maire, ce décret d’interdiction du sol américain aux musulmans est honteux. Aussi longtemps que ce décret sera appliqué, nous ne devrions pas dérouler le tapis rouge à Donald Trump.»

Bien entendu, il ment– il n’existe aucune interdiction du sol américain aux musulmans et il le sait.

Par contre, les prêcheurs de haine musulmans qui incitent au meurtre des homosexuels, glorifient l’assassin d’un opposant à la loi du blasphème au Pakistan et prêchent le jihad violent contre l’Occident, eux sont les bienvenus au royaume de Sa Majesté. Et le maire de Londres ne trouve pas cela honteux…

De même, quand le Gouvernement britannique a interdit l’entrée en Grande-Bretagne à trois évêques d’Irak et de Syrie, pays où les chrétiens sont cruellement persécutés, le maire de Londres ne s’est nullement offusqué.

Mais, qu’un président essaye de protéger ses citoyens des djihadistes et terroristes musulmans, c’est cruel, c’est dépasser la ligne rouge, pour Sadiq Khan.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

Source : «Declassata la democrazia USA ma la colpa non è du Trump.»Gli occhi della guerra (traduit et adapté par Rosaly)

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http://www.dreuz.info/2017/02/01/the-economist-obama-a-fait-regresser-la-democratie-americaine-selon-lindex-2016/

Coup d’État démocrate aux USA : Obama coryphée de l’opposition illégale à Trump

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Dans le monde entier, l’opposition à Donald Trump lancée aux USA dès la campagne des primaires prend une forme extrême, sectaire, et surtout illégale. Barack Obama s’en fait le coryphée. L’ancien président démocrate mène un coup d’État à froid contre les institutions américaines.
 
Ils n’ont pu empêcher Donald Trump ni d’être choisi pour candidat républicain, ni d’être élu, ni d’entrer à la maison Blanche. A chaque étage de son ascension, leur obstruction s’est faite plus violente et plus bruyante : commencée par des clips d’acteurs à la mode, elle s’étend dans des protestations géantes, casseurs inclus. L’objectif est d’obtenir « l’impeachment » de Trump pour inadéquation au poste qu’il occupe, et en attendant de l’empêcher d’appliquer le programme pour lequel il a été élu. Tout fait ventre dans ce dessein, l’appui des médias, des organisations radicales, des people, et des anciens ministres. C’est un véritable coup d’État démocrate mené contre le vote démocratique, avec pour chef le président sortant et sorti, Barack Obama.
 

Trump protège les USA : sa décision n’est pas illégale

 
Le dernier prétexte choisi est le décret (aux USA, executive order, procédure expéditive suivie par le président pour régler rapidement un problème urgent) pris par Trump pour refuser l’entrée aux USA des ressortissants de sept pays du Proche-Orient. La procédure est légale, est-elle légitime ? Trump la justifie en arguant que la situation en matière d’immigration laissée par Obama est « un désordre total », ce qui est parfaitement exact, et qu’il y a urgence à fermer les frontières en raison du risque d’infiltration de terroristes islamistes. L’Europe peut-elle lui donner des leçons, comme l’ont fait Angela Merkel et François Hollande, elle qui n’a pas su empêcher d’entrer, parmi les réfugiés, des terroristes qui ont effectivement frappé en Allemagne, en Belgique, en France ? Poser la question, c’est y répondre.
 
Alors, l’executive order de Trump a-t-il quelque chose d’extraordinaire, contrevient-il à la constitution et aux usages américains ? Non. Sept présidents des USA en ont pris de semblables, Ronald Reagan étant le dernier. Ajoutons bien sûr qu’étant limité dans le temps à 90 jours et ne visant nullement tous les musulmans, mais expressément le risque terroriste islamique, ce décret ne s’oppose en rien aux droits de l’homme tels que l’ONU les définit.
 

Coup d’État démocrate sous un mauvais prétexte moral

 
D’ailleurs, la fureur démocrate d’aujourd’hui, si pointilleuse sur l’obligation morale de ne pas « discriminer », ne proteste nullement contre l’interdiction faite aux sportifs et artistes israéliens de se produire dans seize pays arabes. Ou contre l’obligation faite aux non musulmans d’éviter les villes de Médine et de La Mecque. On doit donc voir dans l’actuelle levée de boucliers moins une authentique révolte éthique qu’un coup politique, et même un coup d’État, car l’opposition brutale qui s’y manifeste a une forte saveur illégale.
 
Passons sur les ordinaires condamnations de stars toujours assoiffées de faire parler d’elles, passons sur l’indécente sortie d’une Madeleine Allbright, sans doute l’un des secrétaires d’État les plus bellicistes qui aient déshonoré les USA, et qui maintenant prétend se convertir à l’islam pour protester contre le décret de Trump et arrivons tout de suite aux choses sérieuses.
 

Contre Trump, le ministre de la justice a le droit de piétiner le droit

 
Je veux parler de Sally Yates, l’attorney général des USA, id est le ministre de la justice, que Barack Obama a laissé derrière lui en poste en attendant que celui qu’a nommé Trump soit entériné par le Sénat. L’usage veut naturellement qu’il expédie les affaires courantes, et qu’en cas d’acte à passer, il contresigne le texte émis par la Maison Blanche. Sally Yates a préféré refuser le décret de Trump. Ce fait est sans précédent sauf dans le cas de Nixon qui était sous le coup d’une action en justice qu’il prétendait terminer de son propre chef : la situation n’ayant aujourd’hui rien de comparable, Sally Yates n’avait nul droit de s’opposer au décret, elle commet au sens propre une forfaiture pour faire obstruction au président Trump. Celui-ci l’a immédiatement et légitimement remerciée, mais ce fait illustre le peu de scrupules de l’opposition démocrate, sa volonté de mettre des bâtons dans les roues au pouvoir légitime par tous les moyens.
 

Obama coryphée des pleureuses et chef de bande démocrate

 
Mais le pire de la bande est sans doute Barack Obama, qui s’est institué en quelque sorte coryphée du chœur des pleureuses, garant de l’éthique démocrate – et qui s’essuie en même temps les pieds sur les institutions démocratiques des USA. Il a fait savoir par son porte-parole non seulement qu’il s’opposait au décret pris par son successeur, mais encore qu’il soutenait les marches de protestation massives et souvent violentes qui se sont levées à l’appel d’associations radicales partout en Amérique et en Grande Bretagne.
 
Or, Barack Obama est très mal placé, c’est le moins qu’on puisse dire, pour condamner la procédure des executive orders, lui qui l’a utilisée à plusieurs reprises sur des sujets très sensibles, telle l’immigration clandestine, et cela quand il était minoritaire tant à la Chambre des représentants qu’au Sénat (alors que Trump, lui, s’y trouve largement majoritaire) et alors qu’il n’y avait nulle urgence. De plus, le président sorti est tenu à un certain devoir de réserve que tous ses prédécesseurs ont respecté, et cela d’autant plus que sa politique et son parti ont été désavoués par les électeurs des USA à travers la déroute d’Hillary Clinton. Cet ensemble d’actes extraordinaires et contraire aux usages institutionnels américains peut s’assimiler à un coup d’État A moins qu’on ne nous explique sur quelle majorité secrète Obama et l’opposition démocrate s’appuient.

Pauline Mille

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Barack O. est redevenu l’agit-prop qu’il a été, formé par son maître radical, Saul Alinsky.

L’ancien président Barack O.– c’est du jamais vu– vient de prendre la parole pour inciter les Américains au soulèvement après avoir attaqué le Président des Etats-Unis.

Lundi, il a encouragé, par l’intermédiaire de son porte-parole, les Américains à publiquement protester contre la décision du président Donald Trump d’interdire aux citoyens de sept pays musulmans, pendant 90 jours, l’accès aux Etats-Unis.

Il a déclaré : «… Obama désapprouve fondamentalement la discrimination d’individus en raison de leur foi ou de leur religion.»

O. sait que 48 pays musulmans ne sont pas touchés par l’interdiction, soit 92% des musulmans du monde. Il sait que ni les musulmans anglais, canadiens ou belges ont été interdits d’entrée sur le sol américain.

O. le sait, et il a menti.

Il a amené une décision sécuritaire sur le terrain de l’islamophobie et du racisme. C’est une spécialité de l’agit-prop.

Qu’un média anti-Trump comme le Washington Post fasse cela est assez dégoûtant, mais sa puissance de nuisance est limitée. Venant du président sortant, son devoir de dire la vérité est aussi essentiel que son influence est immense, et il ne devrait pas s’engager dans le chemin des Fake News que tous nous détestons, et dont les conséquences sont imprévisibles– ou prévisibles selon la façon dont on veut le voir.

Aucun président depuis 1908 n’avait critiqué les actions de son prédécesseur, seul un idéologue pouvait rompre cette tradition de respect pour le poste et pour l’unité du peuple américaine.

Personne, même à gauche, ne conteste que les divisions raciales étaient bien moindres lorsque O. est arrivé au pouvoir en 2008 qu’à sa sortie huit ans plus tard, alors que, métis lui-même, il était dans la meilleure position pour ressouder et panser les anciennes mais réelles blessures du racisme. Il ne l’a pas fait car un activiste de gauche a besoin d’une base meurtrie, discriminée, haïe, défavorisée, pour avancer ses idées, et si elle ne l’est pas assez, il la fabriquera.

O. avait lui-même interdit aux Irakiens d’entrer aux Etats-Unis, lorsque les services de sécurités attrapèrent deux jihadistes d’al-Qaïda qui avaient reçu des visas de réfugiés, et personne n’avait contesté sa décision.

«Obama sera la voix de la dissidence…» a déclaré Douglas Brinkley, un professeur d’histoire à la Rice University. «Il est évident que Barack Obama ne pouvait pas rester silencieux sur cette interdiction d’immigrer.»

Et Obama n’est pas resté silencieux. La machine Obama – Soros a commencé son travail de « dissidence » : George Soros finance les manifestations «spontanées», Obama félicite les manifestants et conçoit les prochaines émeutes.

«Obama est enchanté par le niveau d’engagement des communautés partout dans le pays,» a déclaré son porte-parole à propos des manifestations du week-end dernier dans les aéroports, ajoutant «Les citoyens exerçant leur droit constitutionnel à s’assembler, s’organiser, et faire en sorte que leur voix soit entendue par leurs élus, c’est exactement ce que nous espérons voir de la part des Américains lorsque nos valeurs sont en jeu.»

Les réactions

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  • En réponse, des anarchistes de Seattle ont défilé dans les rues, et une activiste à leur tête, institutrice dans une maternelle, a été filmée en train d’appeler à tuer le Président, et à exiger que «les blancs quittent le pouvoir pour le donner aux noirs».

«Vous les blancs, donnez-nous votre saloperie d’argent, votre saloperie de maison, vos saloperies de propriétés, nous voulons tout le bordel […] et nous devons commencer à tuer des gens. Pour commencer, nous devons commencer à tuer le président, la Maison-Blanche. La Maison-Blanche [le président] doit crever. La Maison-Blanche, votre putain de Maison-Blanche, vos putain de présidents [blancs], ils doivent se tirer ! Fuck la Maison-Blanche.»

  • A Chicago, les musulmans ont défilé en chantant : «mort à Israël, mort à l’Amérique, libérez la Palestine !»
  • Enfin, la procureur générale par intérim du Département d’Etat –l’équivalent du ministre de la Justice– nommée par Obama en 2015, a désobéi aux ordres du Président (un acte d’une gravité sans précédent, mais qu’un politicien de gauche peut faire sans craindre les réactions de la presse, parce que toute action d’une personne de gauche est présupposée dictée par le bien). Elle a donné instruction au département de la Justice de ne pas défendre l’interdiction de voyage décrétée par Trump. Et tout laisse croire, vu son profil de second couteau, qu’elle a agi après en avoir reçu la demande– ou l’ordre– de Barack O. lui-même.

Le Président Trump l’a immédiatement licenciée– du jamais vu depuis Nixon qui par contre l’avait fait dans des conditions illégitimes autour du Watergate, et certains médias plus malhonnêtes que d’autres se sont empressés de faire l’amalgame.

Trump a appuyé sa décision en expliquant que la procureur générale Sally Yates a trahi son poste et le peuple américain, et il a nommé Dana Boente en remplacement, qui a tout de suite fait son devoir de ministre par intérim.

Les analystes les plus attentifs, constatant que 57% des Américains approuvent la décision de Trump (1), et que seulement 33% y sont hostiles, ont compris que les manifestations des derniers jours renforcent la présidence de Trump au lieu de l’affaiblir, car elles sont largement regardées comme une opposition systématique à tout ce que décide Trump– alors qu’il applique fidèlement le programme pour lequel il a été élu– et commencent à perdre toute crédibilité.

Les quatre ans qui s’annoncent promettent, de ce côté de l’Atlantique, d’être Rock n’ Roll ! Je m’en réjouis d’avance.

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© Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

Sources : https://t.co/Yyh9BLTu5m

(1) rasmussenreports.com

 http://www.dreuz.info/2017/01/31/obama-appelle-les-americains-a-la-revolte/

EN BANDE SON : 

2 réponses »

  1. Dans mon livre Die molussische Katakombe (La catacombe de Molussie), le principe de la dictature s’énonce ainsi : « si tu veux un esclave fidèle, offre-lui un sous-esclave ! »
    Gunther Anders

  2. Concernant « 1984 », beaucoup de gens le citent de plus en plus fréquemment mais on oublie que son roman se base sur un régime ayant existé, le communisme soviétique, le ministère de la vérité fait référence au journal communiste soviétique  » Pravda » qui signifie en russe  » Vérité » qui diffusait tous les mensonges du système.
    La Pravda existe toujours, ce n’est plus vraiment le même journal mais il est toujours aussi communiste et aussi menteur…Et bien sûr anti-Poutine comme d’autres journaux russes car il y a une vrai pluralité journalistique en Russie, contrairement à ce que disent nos médias.
    Soljenitsyne, un des plus grands génie de l’humanité, avait dit que l’Union Européenne, issue du mondialisme, était une copie idéologique de l’URSS ( sauf que l’on remplace le communisme par la mondialisation), cela n’est pas très rassurant.

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