Art de la guerre monétaire et économique

Migrants, islamisme : la Suède entre politique de l’autruche et syndrome de Stockholm

« On a déclaré l’intifada […] et on va tuer les Juifs. »

Ce n’est pas Gaza mais bien les rues suédoises de Malmö qui, en ce mois de décembre 2017, s’embrasent au rythme de chants haineux glorifiant la bataille contre les Juifs à Khaybar, en 628. Si les peines prononcées pour l’incendie de la synagogue de Gothenburg la même nuit outrepasseront les minimums légaux, il n’en demeure pas moins que deux des trois condamnés sont des réfugiés, infligeant un démenti cinglant à la légende rose de l’immigration en Suède.

Aucun pays, pas même l’Allemagne d’Angela Merkel, n’aura en effet incarné jusqu’à une telle caricature l’enfer multiculturaliste d’une Europe post-nationale, tiraillée entre haine de soi et aveuglement.

Et aucun n’aura été aussi généreux : avec plus de 600.000 migrants accueillis ces cinq dernières années, la Suède dépasse l’Allemagne en ratio par habitants, dans un élan de générosité qui risque de se transformer en puits sans fond, puisque les immigrés connaissent un taux d’emploi de seulement 58 %, contre 82 % pour les autochtones, selon l’économiste Tino Sanandaji, nourrissant une criminalité rampante.

En effet, le taux d’homicides par balle flirte avec les records européens et est principalement le fait d’hommes immigrés ou d’origine immigrée. Quant aux violences sexuelles, la définition très extensive qu’en fait le droit suédois ne suffit pas à expliquer leur augmentation sur les dix dernières années (+35 % pour les viols) ou la crainte qu’éprouvent, désormais, bien des Suédoises à l’idée de fréquenter les piscines publiques ou les festivals – celui de Bråvalla a, d’ailleurs, été purement et simplement annulé.

Mais l’ampleur du désastre migratoire n’a d’égale que celle de l’omerta qui l’entoure. Du boniment gouvernemental aux campagnes de communication empreintes d’une mièvrerie confondante, qualifiant par exemple le ramadan de « fête suédoise », la Suède semble désormais murée dans un déni qui confine au syndrome de Stockholm.

Pire : loin d’être une « superpuissance humanitaire », comme essayait de s’en convaincre le ministre Margot Wallström, le pays est désormais ravalé au rang de repoussoir des États-Unis où le président Trump se plaît à en commenter les déboires, au Danemark, où Anders Fogh Rasmussen avouait considérer son frère scandinave comme « l’exemple de ce qu’il ne faut pas faire ».

Si les succès électoraux des Démocrates de Suède pourraient bien voir le pays redresser la barre dès septembre, le temps presse. Avec 17 % de sa population née à l’étranger et 11 % musulmane en 2050, la Suède semble définitivement promise au « multikulti » au sujet duquel les Allemands commencent tout juste à déchanter.

http://www.bvoltaire.fr/migrants-islamisme-la-suede-entre-politique-de-lautruche-et-syndrome-de-stockholm/?mc_cid=191c79cbdb&mc_eid=b338f8bb5e

Cette fois Gefira a publié un rapport sur la Suède, un état occidental typique bien développé, membre de l’Union européenne. Le rapport comprend des calculs indépendants, en utilisant un logiciel démographique dédié Cerberus 2.0. Le rapport est basé sur les données provenant des bureaux officiels des statistiques.

Les conclusions de Gefira basées sur les données officielles fournies par Statistics Sweden SCB révèlent ce qui suit:

  1. le taux de fécondité des Suédois blancs indigènes est beaucoup plus faible (1,6) que le taux de fécondité global du pays (1,9);
  2. le système parental suédois ne parvient pas à fournir plus de bébés;
  3. le nombre d’enfants portant un nom islamique augmente rapidement. Depuis 2010, il a augmenté de plus de 30%, de sorte qu’environ 8 à 10% des nouveau-nés en Suède portent désormais un nom islamique.
  4. la population suédoise blanche indigène sera une minorité dans un maximum de 40 ans. La même source montre que 22% des nouveau-nés ont une origine non-occidentale.

Pour compenser le faible taux de natalité, le gouvernement poursuit une politique de repeuplement systématique. C’est pourquoi on peut prétendre que la communauté suédoise va croître en nombre à une vitesse modérée dans un avenir prévisible. Les statisticiens du SCB ne sont pas parvenus à cette conclusion sur la base des chiffres suédois sur la procréation, ni sur les tendances migratoires mondiales. Cette croissance reste et sera le résultat de l’importation de femmes très fertiles dans les pays à faible et moyen IDH (Indice de développement humain).

L’avenir de la population suédoise est sombre. Sur la base des taux officiels de fécondité et de mortalité, Cerberus 2.0, logiciel conçu pour les calculs démographiques, a calculé le nombre de naissances et de décès pour chaque groupe d’âge à partir de 1970. Le nombre de Suédois blancs a augmenté jusqu’en 1996 dans une ligne plus ou moins droite. En 2017, il y avait encore 8 millions de personnes et d’ici à 2060, il y aura 6,6 millions de Suédois. Si les autorités ne sont pas en mesure d’inverser la tendance et d’augmenter les taux de fécondité des femmes suédoises, la population passera à 5 millions d’ici la fin du siècle. Alors que les calculs prédisent qu’il restera 8 millions d’indigènes maintenant, les données officielles actuelles montrent qu’il y a encore moins de Suédois avec deux parents nés en Suède.

En raison de la poursuite de l’afflux d’immigrants, la population actuelle est de 10 millions d’habitants. Selon Statistics Sweden, il sera de 14 millions d’ici la fin de ce siècle. Les autorités suédoises ne considèrent que les étrangers de première et deuxième générations comme des étrangers. Après une génération, une communauté pakistanaise tentaculaire transférée à Malmö sera considérée comme une croissance suédoise naturelle.

Une autre approche consiste à examiner la différence entre la population calculée et les chiffres officiels. Si Cerberus 2.0 prévoit 7 millions de personnes en 2050 et que Statistics Sweden en attend 12 millions, la différence est due aux migrants, que ce soit la première, la deuxième ou la cinquième génération.

La prévision faite par les autorités suédoises est plutôt un plan ou un plan pour l’avenir qu’une prédiction. En comparant la projection faite par Cerberus 2.0 et celle faite par les planificateurs d’état, le rapport de Gefira s’attend à ce que le suédois soit une minorité d’ici 2066, à la fin de ce siècle seulement un tiers de la population sera d’origine suédoise, ce qui signifie presque une re-population totale.

https://www.zerohedge.com/news/2018-07-27/sweden-will-remain-sweden-name-only

ok++++++++++++++++++++++++++++++++++++

3 réponses »

  1. En France ??
    75% des Naissances de nouveaux nés dans les maternités de l’ile de France sont porteurs des gènes de la Drépanocytose, maladie génétique spécifique aux populations d’Afrique et du Moyen-orient, et c’est entre 35% et 50% en province ( 50% dans les grandes villes de province ),
    Je pense que c’est suffisamment parlant ne trouvez vous pas ???
    Et ce sont « Des Faits Concrets » !!!
    Prenez le bus en banlieue et vous serez vite fixé sur la Vraie Réalité du « Grand Remplacement »…


    https://polldaddy.com/js/rating/rating.js

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