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Le Billet du LUPUS – Affaire Polanski : Révisionnisme à tous les étages, on assassine une deuxième fois Sharon Tate !

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Le Billet du LUPUS – Affaire Polanski : Révisionnisme à tous les étages, on assassine une deuxième fois Sharon Tate !

La Sortie du médiocre dernier film de Quentin Tarantino « il était une fois Hollywood » est le prétexte sur fond de réactivation de l’Affaire Polanski à une réhabilitation en règle de feu Charles Manson musicien raté et frustré et commanditaire de l’assassinat de masse qui frappa l’entourage et la femme de Roman Polanski, Sharon Tate en 1969.

La rhétorique en place qui tend à faire de Polanski le pédophile qu’il n’est pas et à dédouaner Charles Manson des atrocités commises dans la maison de Celio Drive un sinistre jour de 1969 et cela pour la seule raison que Polanski a le tord d’être juif, doué et d’avoir travailler en tant que génial cinéaste sur l’origine du mal dans son Film « Rosemary’s baby », cette rhétorique dis je consiste à justifier après coup le meurtre de Sharon Tate sa femme au nom de la Pédophilie non avérée de Roman Polanski.

Comprenez bien la manœuvre, elle est implacable parce que toujours la mème dès qu’il s’agit de célébrités d’origine juive : Polanski est juif, donc forcement mauvais et dépravé, donc forcement pédophile et sataniste en puissance, donc forcement coupable dans toute affaire le concernant. L’assassinat en 1969 par Charles Manson de Sharon Tate alors enceinte n’est plus alors l’œuvre du Diable elle devient l’œuvre de Dieu qui ne saurait tolérer dans le ventre de Sharon Tate la naissance de l’Antéchrist . La preuve par l’absurde avec la mise en accusation de Polanski en 1977 pour le viol orchestré et habilement mis en scène d’une jeune fille de 13 ans. 

Au final la narrative vendu au public consiste à faire de Polanski un démon, de voir dans sa filmographie l’oeuvre du Diable tandis qu’en parallèle l’on associe Charles Manson  à la main vengeresse de Dieu sans oublier de tenter de faire de ce « connard » prétentieux et abject un musicien prodige alors qu’il était avant tout un musicien sans talent.

Face à ce contexte et donc à la désinformation systématique qui sévit dès qu’on évoque le nom de Polanski et face au tombereau de « merde » qui voudrait enterrer depuis « RoseMary ‘s Baby » l’œuvre sulfureuse du génial cinéaste il nous est apparu important en ces temps de révisionnisme absolu et au travers  d’un article issu de son livre témoignage que nous a proposé notre ami Anders,  de rétablir aussi maudite soit elle la part de vérité du Maître Roman Polanski et tant mieux si cela emmerde les Biens comme les Mal Pensants, de toute façon à l’usage comme à l’usure ce sont les mêmes.     

LUPUS

Dakota building, 72 NewYork. Here Polanski filmed Rosemary’s Baby; John Lennon was also murdered on its doorstep in 1980. Alisteir Crowley, the founder of the Church of Satan, lived in this place.

Polanski : autopsie d’un meurtre médiatique orchestré Par Anders

August’67 – Sharon visits Roman Polanski in NYC, where he’s working on Rosemary’s Baby.

Ouverture du film de 1968 Rosemary’s Baby. Le bâtiment Dakota à New York était la maison de John Lennon et où il a été tué.

 « La maison de Roman Polanski dont l’adresse est : Cielo Drive…fut habitée par Michèle Morgan entre 1942 et 1943. Elle y resta une semaine, elle était envahie par des angoisses monstrueuses…

Elle fut obligée de s’enfuir…je l’ai lu dans ses mémoires.

C’est dans cette maison que, quelques années plus tard, Manson et sa bande d’assassins vont accomplir leurs carnages en exécutant d’une façon abominable Sharon Tate, l’épouse de Roman Polanski et ses amis.

Cet épisode monstrueux marqua sans doute la fin d’une époque insouciante : Celle de ceux que l’on nommait à l’époque les “Flower people”: les hippies, Manson en faisait partie.

Depuis, cette histoire contribue à alimenter des rumeurs immondes au sujet de la personnalité du cinéaste.

Il dut quitter les Etats-Unis en s’enfuyant, comme fut obligé aussi de le faire Charlie Chaplin pour une histoire de viol.

Je note que curieusement cette histoire a resurgit, il n’y a pas si longtemps, ce qui le contraignit à rester en Suisse, la justice Américaine voulait le faire extrader 30 ans après pour qu’il accomplisse la peine de prison à laquelle il a été condamné.

Mais personne n’a relevé que, comme par hasard, cette action judiciaire se produisit juste après la sortie de son film, « the Ghost Writer », qui dénonce la très proche proximité entre la CIA et l’épouse de l’ex premier ministre, Tony Blair.

J’ai rencontré Polanski à plusieurs occasions, il m’a semblé plus proche d’un homme d’affaire que d’un « illuminé » satanique.

De plus je sais qu’il faut souvent faire faire le ménage dans les hôtels avant de rentrer dans sa chambre pour faire sortir les jeunes femmes en mal de rôles lorsque l’on est célèbre un classique aussi…

Polanski, , Rosemary. et les autres :

L’ enfant rescapé du ghetto, celui qui a su échapper aux camps. Celui qui est devenu un grand cinéaste, …Celui qui rencontre Sharon Tate, ces deux-là qui s’aiment et « font » ensemble le Bal des vampires.

Roman, le roman de Roman et de Sharon

Pris dans les feux entre Rome et ceux de la Babylone Hollywoodienne .Arrêt sur image

Polanski : Son plus grand péché : Rosemary’s Baby 

Tout le talent de Polanski fut de ne jamais donner la résolution de l’énigme : Rosemary est–elle folle comme le suggère son entourage, si bienveillant à son égard ? Ou est–elle la victime d’une secte avec laquelle, son mari comédien au chômage, aurait passé un pacte : que leur enfant devienne celui de Satan, afin qu’il puisse réaliser ces rêves de gloire.

A aucun moment, le cinéaste nous permet de conclure à l’une ou l’autre des hypothèses.

Dans cette scène, elle passe une porte et pénètre dans un endroit indéfini…apparence familière mais contours indéchiffrables.

A-t-elle basculé ou est–elle passé quelque part dans un lieu où elle peut rencontrer cette dimension-là ?

Celle du Mal.

Du bal des ordures : Tarantino : Once upon Hollywood :

Tarantino » le gang des pastiches. ».a lui tout seul .son job :fossoyeur reprendre en les pastichant tous les Maîtres du cinéma

Les tourner en dérision ..pour mieux les enterrer ..

Il était une fois … Bollywood…. désormais emprunte a Sergio Leone le titre du magnifique: » Il était une fois l’Amérique « ..un film grandiose sur l’Amérique et ses démons.

Tarantino fait une OPA sur les classiques permanente , il se nourrit de leurs substances pour mieux détourner les regards du cœur de la mécanique générale de destruction et de propagande US.

Je ne doute pas qu’il détourne le tragique épisode du meurtre de Sharon Tate pour le réécrire et donner un sens qui convient mieux a la narrative de la doxa « c’est leur faute leur très grande fautes » Faire rejaillir le sang sur ceux que l’on a saigné..un classique de l’immonde.

Pour revenir à la benne à ordures et aux déversoirs des fumiers :

Je vous livre un condensé de l’immonde

A propos de Polanski sous couvert de Tarantino :

https://www.egaliteetreconciliation.fr/Il-Etait-Une-Fois-n-importe-quoi-a-Hollywood-56026.html

Tarantino enterre…. Egalité et Réconciliation les pseudos rebelles antisystèmes mais vrais antisémites couvrent l’homme et le cinéaste des cendres qu’il doit porter lui l’échappé des camps : Le juif ….A l’aide d’une rhétorique perverse que je vous ….. laisse…. » apprécier et exposé plus haut par Le LUPUS

Au final : c’est Manson la victime Polanski le coupable

Et peut-être le commanditaire du meurtre de sa femme. hein pourquoi se gêner….?

Bollywood et les antisémites enfin réconciliés : au nom de la doxa : Suss a celui qui osa toucher à une jeune fille que présenta sa maman actrice au chômage (un don en quelque sorte) au cinéaste.

Bollywood et le site antisémite qui sert si bien le système pour mieux museler les chercheurs de vérité qui eux regarde Ailleurs mieux vaut donner un juif en pâture aux moutons décervelés que donner à penser : Le même combat.

Conspiration : Une question : Qui est le monstre un musicien raté ou un cinéaste de génie et surtout un homme qui a su renaître des cendres celles des siens et de celles de sa race  ?

Polanski ou comment on achève un cinéaste au nom d’une vérité encore une fois travestie… »

ANDERS

EN BANDE SON :

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