Le rapport des consultants Z/Yen Group montre que Londres a perdu son avantage sur New York dans le classement des centres financiers.
Ce n’est pas un sprint mais un marathon dont le vainqueur dépendra de la solution au problème du «trop grand pour faire faillite», écrit John Plender, dans le Financial Times.
Les intentions fiscales du Royaume-Uni et de l’Europe continentale sont plus hostiles que les américaines. Il est toutefois difficile de croire que les 1336 pages de la réforme de la finance américaine (Dodd Bill) ne produisent pas de dégâts collatéraux.
New York frappera la finance de nouvelles règles, privilégiant l’interdiction à la taxation. Londres utilisera plutôt l’arme fiscale. Difficile de dire le résultat final, mais une chose est sur ni Francfort (13e) ni Paris (20e) ne les menacent…
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