A Chaud!!!!!

« La fabrication de l’ennemi, ou comment tuer avec sa conscience (…) – Transversaux Par Bruno Bertez

« La fabrication de l’ennemi, ou comment tuer avec sa conscience (…) – Transversaux Par Bruno Bertez

   Le conflit syrien est un conflit programmé, comme l’était le conflit avec l’Irak de Saddam Hussein. On en voyait les signes dans la préparation des esprits par les médias. Le poison a été distillé, étapes par étapes, selon une progression établie par les services de propagande des gouvernements. 

Le bonheur des Syriens, n’est la préoccupation de personne, nous sommes dans le Monopoly, la géostratégie des acheminements de gaz, de pétrole et dans l’accès à différents points stratégiques de la région. 

Ce qui frappe c’est la clarification en cours du 2great divide2, de la coupure du monde en deux, comme au temps de la guerre froide. 

La désinformation touche un sommet. 

Nous vous conseillons de lire cet ouvrage, nous l’avons déjà commenté, c’est un must même s’il est un peu fouillis et touffus. 

http://www.diploweb.com/La-fabrication-de-l-ennemi-ou.html

BRUNO BERTEZ Le Mercredi 28 Aout 2013

llustrations et mise en page by THE WOLF

EN BANDE SON:  

A PROPOS: 

Nous nous en voudrions de ne pas insister sur ce qui est au centre des mystifications de notre époque: la désinformation.

La désinformation n’est pas simple mensonge, tromperie, falsification, non, à notre époque c’est beaucoup plus que cela, c’est la reprogrammation des hommes. Ce n’est pas au niveau de leur conscience que se joue la désinformation, c’est au niveau des couches plus profondes de votre esprit, de votre psyché. C’est une sorte de fabrication d’une nouvelle personne, d’un nouveau sujet qui, jour après jour est en cours.

Vous vous étonnez quelquefois, vous vous dites , mais comment se fait- il que les gens ne réagissent pas, comment se fait-il que «cela passe »? La réponse est dans la désinformation en profondeur, vous en arrivez à douter de vous, de ce que vous pensez lorsque vous vous écartez du consensus ou du politiquement correct. Vous êtes reprogrammé pour ne pas en croire vos yeux, votre intelligence. Même si quelque part, au fond de vous, vous savez, ailleurs, vous doutez, donc vous n’agissez pas, vous ne vous rebellez pas, vous courbez la tête.

Ils veulent éradiquer les religions, surtout la vôtre bien entendu, celle des autres est respectable et vous êtes même passible de condamnations si vous les contestez ou si vous trouvez que l’on va trop loin dans la complaisance. Pourquoi? Parce qu' »ILS «ne veulent pas de concurrent qui gênerait votre décervelage. Le politiquement correct est une religion, une théologie que l’on n’a pas le droit de contester, voilà la vérité: Cette théologie est devenue une religion d’Etat.

Nous sommes dans de fausses démocraties, il n’y a pas de citoyens, il n’y a que des sujets, des cibles des pratiques de la désinformation, de l’acculturation.

Dans ce registre nous vous conseillons à nouveau la lecture de ce monument de Bruno Lussato sur la désinformation.

Le titre est « Virus, huit leçons sur la désinformation », édition SYRTES 2007.

 Vous en sortirez transformé, un peu plus libre, un peu moins aliéné, moins étranger à vous-même.

23 réponses »

  1. Je ne sais pas si c’est un sommet ou un abîme… et on a l’impression que le fond ne sera jamais atteint tellement les nouveaux moyens de communication multiplient les possibles…

    Je rappelle le nom de l’auteur : Pierre CONESA, « La fabrication de l’ennemi » ou comment tuer avec sa conscience pour soi.
    En complément de l’article du Blog a lupus et du diploweb, une interview de l’auteur présenté ainsi dans le Point
    « Pierre Conesa, ancien de la Délégation aux affaires stratégiques du ministère de la Défense et de la CEIS (Compagnie européenne d’intelligence stratégique), est un penseur original sur les affaires militaires. Ce professeur à Sciences-Po revient dans son dernier ouvrage (1) sur ce qu’il appelle la « fabrication de l’ennemi », c’est-à-dire la manière dont les États se représentent la figure fort utile, pour la politique intérieure, de l’adversaire combattu les armes à la main.  » (http://www.lepoint.fr/editos-du-point/jean-guisnel/comment-les-democraties-fabriquent-leurs-ennemis-13-09-2011-1372758_53.php)

  2. Mercredi 28 Aout 2013- Complément

    Nous nous en voudrions de ne pas insister sur ce qui est au centre des mystifications de notre époque: la désinformation.
    La désinformation n’est pas simple mensonge, tromperie, falsification, non, à notre époque c’est beaucoup plus que cela, c’est la reprogrammation des hommes. Ce n’est pas au niveau de leur conscience que se joue la désinformation, c’est au niveau des couches plus profondes de votre esprit, de votre psyché. C’est une sorte de fabrication d’une nouvelle personne, d’un nouveau sujet qui, jour après jour est en cours.

    Vous vous étonnez quelquefois, vous vous dites , mais comment se fait- il que les gens ne réagissent pas, comment se fait-il que «cela passe »? La réponse est dans la désinformation en profondeur, vous en arrivez à douter de vous, de ce que vous pensez lorsque vous vous écartez du consensus ou du politiquement correct. Vous êtes reprogrammé pour ne pas en croire vos yeux, votre intelligence. Même si quelque part, au fond de vous, vous savez, ailleurs, vous doutez, donc vous n’agissez pas, vous ne vous rebellez pas, vous courbez la tête.
    Ils veulent éradiquer les religions, surtout la vôtre bien entendu, celle des autres est respectable et vous êtes même passible de condamnations si vous les contestez ou si vous trouvez que l’on va trop loin dans la complaisance. Pourquoi? Parce qu' »ILS «ne veulent pas de concurrent qui gênerait votre décervelage. Le politiquement correct est une religion, une théologie que l’on n’a pas le droit de contester, voilà la vérité: Cette théologie est devenue une religion d’Etat.
    Nous sommes dans de fausses démocraties, il n’y a pas de citoyens, il n’y a que des sujets, des cibles des pratiques de la désinformation, de l’acculturation.
    Dans ce registre nous vous conseillons à nouveau la lecture de ce monument de Bruno Lussato sur la désinformation.
    Le titre est « Virus, huit leçons sur la désinformation », édition SYRTES 2007.

    Vous en sortirez transformé, un peu plus libre, un peu moins aliéné, moins étranger à vous-même.

    • Oui, hélas… Et c’est vertigineux car les contre-pouvoirs sont faibles et les ferments de liberté peu nombreux. Peut-être qu’à ce titre, le passage en force de la loi sur le MPTous aura à son insu servit le réveil de certains et semé des ferments de liberté ?

      Une seule question sémantique, il s’agit d’une entreprise de déculturation et non pas d’acculturation 😉 mais le contre-sens est fréquent.
      Bonne journee

      • @Pierre

        Je vous remercie: Vous me forcez à préciser afin que précisément, il n’ y ait pas de contresens.

        Ce que je vise, ce n’est pas la « déculturation » qui est destruction de la culture d’origine, mais « l’acculturation » conçue comme apprentissage(involontaire) d’une nouvelle culture.

        Je prends un terme très fort, car ce que j’avais en tète au moment ou j’écrivais,, c’est la religion du politiquement correct et le très beau concept de Renaud Camus, le « remplacisme ».

        http://youtu.be/NwI4Wzv0ZH0

        Aller plus loin dans mes associations d’idées me conduirait par exemple à des concepts sulfureux , politiquement condamnés , comme le métissage. Vous avez remarqué qu’il y a des mots que l’on n’a plus le droit d’employer, comme l’avait prévu Orwell.

        Mes associations d’idées me conduisent à considérer que le « remplacisme » est plus vaste que ce que décrit Renaud Camus et l’acculturation, terme que j’utilise , est bien ce que voulais épingler.

        Le « remplacisme », remplacement d’un peuple par un autre, peut se faire simplement par transformation du peuple existant, par destruction de sa culture, déculturation et imposition d’une nouvelle culture, acculturation.

        • Merci et OK pour votre maîtrise du mot. Pourtant, j’insiste dans deux directions : je ne parlerais pas d’acculturation pour des gens décervelés et si création d’une nouvelle culture il peut y avoir pour acculturation de ceux qui auraient échapper à la première phase de l’entreprise, il ne faut pas mettre la charrue avant les boeufs.

          Acculturer à quoi ? Quelle culture quand précisément les opérations de manipulation visent à totalement saper la culture existante (rattachée à un peuple, une histoire, une géographie). Le politiquement correct est une infra-pensée pas une culture. Quelle est la culture des remplacistes ? Ils n’en veulent surtout pas !! Raconter en boucle les mêmes sornettes n’est pas une culture, l’embrigadement n’est pas une culture, la robotisation de nos cerveaux n’est pas une culture. Ou pas encore…

          Avant d’acculturer des personnes qui auraient échapper à cet embrigadement et qui débarqueraient de la lune (acculturation=processus d’assimilation de la culture locale par des personnes venant d’ailleurs), il faut d’abord détruire la culture pré-existante.

          L’étymologie et notamment le ad- qui marque une dynamique vers, impose qu’il préexiste cette culture avant d’acculturer de nouvelles personnes.
          Donc c’est 1) déculturation de masse 2) supposition que ce décervelage puisse donner lieu à culture, et de facto oui, même si je ne vois pas très bien laquelle en dehors de 1984 ou Globalia histoire de faire marcher le temps 😉 3) acculturation des petits derniers ou de ceux qui auraient vécu en ermites ou de ceux qui seraient particulièrement des « esprits forts » (enfin, les régimes communistes avaient trouvé des moyens moins longs pour ce faire)

          • @Pierre

            Il faudrait être radical et prendre les choses à la racine.

            La culture est, comprend, repose sur des processus de symbolisation, représentation des choses, des concepts etc par des signes.

            Dans la névrose, cette symbolisation est défaillante, biaisée, comme un rayon de lumière qui traverse une lamelle ou un prisme. Dans la psychose, la symbolisation est aberrante totalement inappropriée.
            La propagande simple équivaut dans mon raisonnement à une névrose, simple déformation.
            La désinformation profonde au sens que je retiens, celui de Orwell ou de Lussato, équivaut à une psychose, elle fait de vous un étranger, quelqu’un d’autre, aliéné.

            Ce que je vise en parlant, d’acculturation est un processus encore plus radical, plus profond , plus fondamental qui s’adresse aux couches constitutives primaires de ce qui fait que nous sommes ce que nous sommes: Pour parler comme Lussato , je vise la programmation , reprogrammation de notre « ordinateur*.

            « Ils » commencent par disjoindre le réel avec ses symboles, ses signes, ils disent qu’il n’y a plus de référent , tout est relatif, tout est suspendu dans les airs, cela leur permet de détruire nos certitudes, notre culture-déculturation-, puis ils imposent par la répétition , par la force de la loi , par la propagande, un recollement entre le signe, le symbole et le réel , un recollement qui leur convient , qui sert leur projet . -acculturation-.

            Leur projet qui est faire de nous d’authentiques serfs. Serfs absolus, encore plus que ce que vise Hayek. Serfs non plus dans nos activités seulement, mais dans notre tète.

            Merci de m’avoir donné le plaisir de ce développement.

            • Merci à vous aussi. Hélas, je partage absolument tout. Pas pour le partage, qui m’honore, mais pour la réalité de la situation analysée.

            • Pour cela (« Leur projet qui est faire de nous d’authentiques serfs. Serfs absolus, encore plus que ce que vise Hayek. Serfs non plus dans nos activités seulement, mais dans notre tète ».), le bouquin La Grève d’Ayn Rand, est à lire, relire, offrir etc.

        • Par ailleurs, votre remarque sur la religion me paraît intéressante pour… résister à la déculturation et au remplacisme.
          Incroyable état où nous sommes rendus… La religion (chrétienne) comme potentiel vecteur de liberté et non comme opium du peuple !! Je parle bien de religion et non pas de foi. Je parle bien ici des masses et non pas des individus à la foi lumineuse et libératrice.
          La Bible et particulièrement les Évangiles insistent suffisamment sur le couple liberté-responsabilité pour devenir le samizdat du futur… impressionnant. et impressionnant retour en arrière de… deux ou trois millénaires.

  3. Bien sur que c’était programmé. Une fois de plus on joue les apprentis sorciers en armant des islamistes contre un régime en place qui nous dérange (qui dérange qui en réalité ?). Et puis comme « nos « rebelles se prennent une raclée on doit aller leur donner un coût de main ( dans l’intérêt de qui en fait ?). Je vois des intérêts géostratégiques à cette guerre pour certains mais pas de motivation économique pour nous ( à la différence du Mali). C’est une guerre qu’on mène pour d’autres.

    Et la France était en avant avec l’agent Fabius dans le rôle joué par Collin Powell en 2003. J’ai honte. Hollande va finir par déclencher une guerre mondiale si sa popularité ne dépend que de ça.

  4. Bonjour,

    En complément du livre de Bruno Lussato (que je suis en train de lire suite à vos conseils), je vous recommande également celui des chercheurs italiens Marco Della Luna et Paolo Cioni, intitulé Neuro-esclaves paru récemment aux éditions Macro-Editions, et qui est sous-titré “Apprenez à défendre votre liberté mentale – techniques et psychopathologies de la manipulation politique, économique et religieuse.”
    (http://www.enquete-debat.fr/archives/loligarchie-nous-inculque-la-resignation-15577)
    C’est franchement épais mais c’est passionnant et assez éclairant.

    Bonne journée

  5. Bonjour,

    Article très intéressant.Il convient de souligner que les mémes méthodes sont utilisés pour programmer des ennemis intérieurs

  6. je pense que leur technique de manipulation est beaucoup plus simple. Elle consiste dans un premier temps a faire de l’individu un consommateur a qui ont suggere des besoins. Ensuite il suffit de faire converger ses besoins vers pour que le consommateur s’indentifi a l’objet convoité et que l’objet convoité lui renvoie une satisfaction immédiate. Mais l’objet convoité a un role second celui de classifier l’individu en fonction de l’objet acquis. La structure mentale fini par s’abutuer rapidement a se besoin de satisfaction inconsciente qui allié objet convoité a statut social et indirectement a individualisme de classe. Celui qui ne parviens pas a obtenir l’objet convoité se voi inconsciement exlue. L’outils de commercialisation d’objet peut par la suite être utilisé pour commercialiser des idées, pour cela il faut juste apporté de la satisfaction a l’individu et la manipulations mentale peut commencer. L’individu devient dépendents de la satisfaction imlmédiate et allergique a la satisfaction demandant du temps et du travail. L’individu préferre rigoler toute la journée plutot que de passer son temps a essayer de comprendre, se qui demande généralement un trés grand efforts intellectuel. Donc petit a petit la masse de consommateur devient dépendants de la satisfaction immédiate au dépends du travail intellectuel. Il suffit par la suite de médiatisé la distraction et de complexifier l’intellectualisation, augmenter la confusion en est le meillieur moyen, puisque qu’il faut fournir encore plus de travail intellectuel lorsque les choses sont confusent. A cela rajouté une petite dose d’insécurité afin de faire monter le tension pschique, chomege, guerre et j’en passe. Et le besoin de satisfaction immédiate cherchera refuge vers se qui lui procure de la détente, a savoir rigoler de n’importe quelles stupidités. Le travail est ainsi accompli. Pour se qui est de la culture de masse, rien de plus facile, puisqu’il suffit de ne fournir qu’une seule informations en la présentant comme étant la plus satisfaisante et garantissant aux consommateur la plus garante de la satisfaction immédiate. Ont fait la guere parce que sinon c’est pire, ont mais au chomage parce que sinon c’est pire, ont sauve les banques parce que sinon c’est pire. Le sinon c’est pire et la cerise sur le gateau. Le besoin de satisfaction immédiate devient la meilleur solution, mais qui de ses individu décervellé et capable d’y comprendre quelleque chose. Le travail de lobotomisation a deja eu lieu.

    • @lOGIQUE

      J’espère trouver un peu de temps pour prendre en compte votre commentaire: Il a le mérite de mettre le doigt sur quelque chose d’important, la consommation, la publicité dans le processus.

      Le dépassement des besoins, la libération infinie des désirs constituent des éléments clefs de la transformation de l’homme et … de sa soumission.

      Grace au dépassement des besoins et la libération de l’infini des désirs, on sort du réel et on entre dans le monde de la Valeur conçue comme simple rapport entre l’offre et la demande et donc détachée , disjointe du réel . Une chose  » vaut » ce que le désir qu’elle suscite conduit à payer.

      Donc il suffit de manipuler, voire de créer le désir.

      Je prends un exemple. la sureté, la sécurité. Besoin naturel.
      Ce besoin est mis en scène, enflé, par les médias, les politiques, les marchands, ils créent un désir de sécurité qui dépasse le besoin réel, ils créent une névrose ou psychose quelquefois, sécuritaire … et la sécurité ainsi n’a plus de prix, on accepte tout.

      La NSA, les drones , le mensonge, l’opacité etc
      .
      En transformant le besoin en désir, il n’y a plus de limite, plus de prix.

      • « En transformant le besoin en désir, il n’y a plus de limite, plus de prix. »

        Et en transformant le désir en besoin, il y a une demande infini a n’importe qu’elle prix indépendament de la qualité sous-jacente. J’achete des actions pour E^tre encore plus riche pour gagner plus et pouvoir jouir de mon nouveau statut de financier, même si je ne connais rien a la finance. J’achete de l’immo a n’importe quel prix parce que l’immo c’est le nouveau désir du pauvre ou cela permet de gagner quellque réduction d’impot.

        Transformer une chose en une autre implique de l’anbivalence psychique. C’est cette ambivalence qui a elle seul permet le disfonctionnement de nos faculté cognitives.

        Mélanger le réel et le virtuel, pronostique, projection et autre statistiques a le même objectif, créer la confusion.

        M’enfin j’arréte là, c’est un sujet complexe. Et je suis ravi que cela vous ait interpelé. Je pense que cela devrait pouvoir vous servir dans vos prochaine analyse.

        • Dans les deux cas de transformation, besoin->désir ou désir->besoin,il faut surtout que manque le besoin de liberté et qu’aucune réflexion philosophique, aucune recherche spirituelle n’ait de sens pour les personnes visées.

          Par ailleurs, il me semble que le réel et le virtuel sont toujours mélangés depuis les origines de la vie humaine, les personnes n’ayant aucune capacité d’anticipation étant celles dont les facultés cognitives sont les moins utilisées.

          On peut toujours parler d’approches offre/demande…

          • Mais il y a une différence fondamentale entre projection et anticipation. Le projection étant lié au désir que ses voeux soient exocés, tandis que l’anticipation est plutot lié a l’inquiétude dui est contraire au désir. Le réel étant bien souvent beaucoup plus inquiétant que n’est le désir. Le désir peut facilement devenir une parade au réel, une virtualité du réel, un possible auquel ont se racroche afin d’echapper a l’angoisse de la réalité.

            La projection, c’est l’idéal. Est l’idéal n’est qu’une virtualisation du réel. Lorsque l’ont crois que l’idéal peut se transformer en réel, c’est le réel qui devient virtuel.

            C’est vrai que ne parler que du désir et du besoin, c’est masqué l’inquiétude et l’angoisse qu’il sont censé détruire. la sur consommation n’est rien d’autre qu’une alternative a l’inquiétente angoisse du réel, le désir vise a obtenir plus de satisfaction.

            Voila le genre de propagande :
            Avec un Ipad derniére génération, vous etes un individu moderne et surperbranché, même si vous êtent illétré et complétement délirant et incapable de vous payer un resto 🙂 🙂 🙂 .

  7. On peut faire une belle analogie avec toutes les techniques de hack sur un système (informatique) donné.
    Il s’agit de rendre confus le système, dans un certain sens, pour mieux l’analyser et le contrôler à son insu.

    L’approche initiale est de percevoir une faille et dans le cas d’un être humain ou plus généralement une communauté, une brêche se forme en permanence puis se reconstitue par régulation. C’est là où est le point d’influence et là où une pression externe est succeptible d’être utilisé par un « ennemi ».
    Je parle en autres de nos désirs, des sens de pacification, de la stratégie du moindre effort, de la peur, etc.

Répondre à H.Annuler la réponse.