Ukraine : Une américaine nommé ministre des Finances!
L’Ukraine s’est dotée mardi d’un nouveau gouvernement incluant une Américaine, un Géorgien et un Lituanien à des postes clés.
L’Ukraine s’est dotée mardi d’un nouveau gouvernement incluant trois étrangers à des postes clés, le ministère des Finances revenant à l’Américaine Natalie Jaresko, et ceux de l’Economie et de la Santé, respectivement au Lituanien Aivaras Abromavicius et au Géorgien Aleksander Kvitachvili.
La nouvelle ministre des Finances, Natalie Jaresko, est une Américaine d’origine ukrainienne qui a travaillé pour le département d’Etat américain et dirige actuellement le Fonds d’investissement ukrainien basé à Kiev Horizon Capital, ainsi qu’un autre fonds ukrainien, le Western NIS Enterprise Fund (WNISEF) depuis 2001. En 1992-1995, Jaresko a été le premier chef de la Section économique de l’ambassade américaine en Ukraine.
Horizon Capital, où elle a occupé divers postes depuis 1995, a été créé et est financé par le Congrès américain via l’agence américaine pour le développement international (USAID).
Le Lituanien Aivaras Abromavicius, co-dirigeant d’un fonds d’investissement suédois East Capital et vice-président de l’une des plus grandes associations d’investisseurs de Russie, l’Association pour la protection des investisseurs, liée notamment à la Deutsche Bank, devient ministre de l’Economie.
Le Géorgien Alexander Kvitachvili, ex-ministre de la Santé, du Travail et des Affaires sociales du gouvernement de Géorgie du président Mikhail Saakashvili de 2008 et 2010, hérite du ministère de la Santé.
Le président Porochenko a indiqué leur avoir octroyé la citoyenneté ukrainienne mardi matin, juste avant leur nomination.
Sources : RT / AFP / Le Journal du Siècle
http://lejournaldusiecle.com/2014/12/03/ukraine-une-americaine-nomme-ministre-des-finances/
Ukraine : l’OTAN déploiera des troupes dès 2015
Les premières troupes « très réactives » de l’Otan, censées pouvoir être déployées en quelques jours en cas de crise, seront opérationnelles dès début 2015, a indiqué aujourd’hui le secrétaire général de l’OTAN Jens Stoltenberg.Ce plan, baptisé « Readiness Action Plan » (RAP), vise à permettre à l’OTAN de déployer très rapidement – « en quelques jours » – une force dite « fer de lance » (spearhead force) qui pourra compter jusqu’à 4 000 hommes sur terre, en mer et dans les airs, d’ici 2016.En attendant, « une force intérimaire avec un niveau très élevé de réactivité » constitué notamment par l’Allemagne, la Norvège et les Pays-Bas sera « opérationnelle au début de l’année prochaine », a déclaré Jens Stoltenberg lors d’une conférence de presse à la veille d’une réunion des ministres des Affaires étrangères de l’Otan à Bruxelles.
« Ceci fera qu’on sera encore plus prêts à dissuader et à nous défendre contre les crises qui peuvent émerger à nos frontières », a-t-il poursuivi.
L’ambassadeur américain auprès de l’Otan, Douglas Lute, a pour sa part évoqué « un bataillon test » (« test bat ») qui servira de « prototype » dès début 2015. Un bataillon qui pourra compter entre 300 et 1 200 hommes. Certaines unités de la force intérimaire devraient pouvoir réagir en « deux à cinq jours », selon une source diplomatique.
« Dans le courant de l’année, ce bataillon test devra faire en sorte de pouvoir être prêt en quelques jours », a également indiqué M. Lute.
« Il faut tester la logistique, les structures de commandement » et déterminer comment cette force intérimaire recevra ses ordres du général américain qui commande les forces alliées en Europe, Philip Breedlove, a-t-il expliqué.
Les chefs d’Etat et de de gouvernement des 28 avaient approuvé début septembre, lors d’un sommet au pays de Galles, un plan d’action pour muscler leur défense collective en réponse à l’attitude « agressive » de la Russie, mais aussi pour parer aux menaces djihadistes au sud, alors que la Turquie, membre de l’Otan, partage une frontière avec l’Irak et la Syrie.
Sources : AFP / RTBF / Le Journal du Siècle
http://lejournaldusiecle.com/2014/12/01/ukraine-lotan-deploiera-des-troupes-des-2015/
Qui fournit l’armée ukrainienne ?
Alors que la Russie est accusée d’armer les insurgés du Donbass, l’Occident poursuit silencieusement depuis plusieurs mois son aide militaire à Kiev, dont l’arsenal guerrier a été dilapidé au cours des vingt dernières années. Tour d’horizon du profil et des alliés militaires de l’Ukraine.
L’ami lituanien
Après avoir promis une aide militaire à l’Ukraine, la Lituanie pourrait aller jusqu’à lui fournir concrètement des armes. « Nous sommes tombés d’accord sur des livraisons de certains éléments d’armements destinés aux forces armées ukrainiennes », a déclaré le président ukrainien Petro Porochenko à l’issue de sa rencontre avec la présidente lituanienne Dalia Grybauskaite, lundi 24 novembre, à Kiev.
Cette même Dalia Grybauskaite qui, une semaine auparavant, qualifiait la Russie d’« État terroriste ». Aucune information n’a circulé, toutefois, sur le type et la quantité d’équipements dont il est question. Si le président ukrainien préfère s’abstenir de commentaires, la chef d’État lituanienne continue de marteler que ce thème « n’a pas à être débattu publiquement ». En fait, Vilnius n’en est pas à son premier contrat d’aide militaire à l’Ukraine. En août, le pays avait fourni à Kiev des casques, des gilets pare-balles et des boucliers balistiques souples. Plus récemment, en septembre, le ministère ukrainien de la défense a reçu six tonnes d’aide humanitaire en provenance de Lituanie, dont 4600 rations sèches, des médicaments et du matériel médical. Deux tracteurs blindés auraient également été livrés pour la construction de fortifications.
Les amis d’amis
Et la Lituanie ne constitue pas une exception. Au cours des six derniers mois de conflit dans l’Est ukrainien, plusieurs pays de l’UE et membres de l’OTAN ont affiché leur soutien au gouvernement du pays. En avril, la France a ainsi fourni un millier de gilets pare-balles à l’Ukraine, tandis que la Norvège lui emboîtait le pas, deux mois plus tard, en envoyant plus de 60 tonnes d’aide humanitaire, dont 77,5 mille rations de combat. En août, ce fut au tour de la Grande-Bretagne de fournir aux forces armées ukrainiennes 180 lots d’équipements de défense (gilets pare-balles et casques), puis de l’Espagne (300 casques et 500 gilets) et de la Slovaquie, qui a envoyé plus de 2,5 tonnes d’aide humanitaire aux gardes-frontières ukrainiens. Enfin, en octobre, le Danemark a fourni à Kiev 15 systèmes GPS de type 695 Atlantic.
Le parrain américain
Mais l’aide européenne n’est qu’un maigre coup de pouce, comparée au soutien américain. Washington a en effet débloqué une aide militaire de 320 millions de dollars à Kiev, dont 118 millions dédiés à l’équipement et à la formation des gardes-frontières, de la garde nationale et des soldats, ainsi qu’à l’achat d’armes non létales, 20 millions censés assurer la mise en place de réformes nationales et trois autres millions perçus par les réfugiés ayant quitté les zones de conflit du Donbass (le rapport complet est disponible sur le site de l’administration présidentielle américaine). Une aide qui vient ainsi s’ajouter au prêt d’un milliard de dollars attribué en mai à Kiev par les États-Unis.
Et la liste est encore longue. Fin mars, la république ukrainienne a reçu, sous forme d’aide humanitaire, 330 000 rations de combat. Sur le plan militaire, Washington a fourni à la partie ukrainienne des casques, des gilets pare-balles, des lunettes de vision nocturne et d’autres équipements. Un groupe d’experts militaires américains s’est même rendu en Ukraine en juin afin d’« évaluer et élaborer des programmes de coordination entre les forces armées ».
Quant à la partie immergée de l’iceberg, des informations apparaissent régulièrement sur Internet montrant que le volume d’aide américaine, déjà important, le serait en réalité davantage. Fin novembre, le groupe de hackers connu sous le nom de Cyber-Berkut a publié sur son site web un certain nombre de documents, soi-disant interceptés depuis le téléphone cellulaire d’un des membres de la délégation du vice-président américain Joe Biden, alors en visite en Ukraine. On y apprend que le gouvernement ukrainien s’attendrait à recevoir des armes de la part des Américains, notamment 400 fusils de snipers, 2000 fusils d’assaut, 720 grenades et près de 200 mortiers. La Maison Blanche continuerait toutefois de refuser de livrer à Kiev des armes létales à Kiev.
http://www.lecourrierderussie.com/2014/12/fournit-armee-ukrainienne/
Pourquoi se gêner ???
De toutes façons tout ce qui n’est pas Américain/Financier n’est qu’un bon sauvage a qui on va apprendre a mourir pour les intérêts US, pardon je voulais dire pour la démocratie.
Quelques brouettes de papier toilette sur lequel est imprimé $ et ces bons sauvages se prosternent.
C’est a vomir et c’est inquiétant car ILS ne se donnent même plus la peine de l’apparence, du faire semblant.
C ‘est un signe de ce que la fin du jeu approche a grands pas et je me demande OU aller avec les miens.
ça va etre un massacre pour les prorusse quelle scandale