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Dégradation d’un cran la notation des obligations d’état de la France; « l’ Uberisation »
La crise de la dette en Europe a été provoquée de toutes pièces, elle a été faite à la main, par le secteur bancaire. Elle s’analyse rétrospectivement comme un chantage opéré par le biais des marchés pour obtenir que la BCE accepte de fournir toutes les liquidités nécessaires au déblocage de la situation des banques à cette époque. Le chantage a fonctionné, les banques ont tordu le bras à la fois à la BCE qui ne demandait qu’à être violée et également aux Pays du Nord. Le secteur bancaire a été le cheval de Troie en Europe qui a permis aux anglo-saxons d’imposer leurs vues monétaires malgré l’opposition Allemande.
Maintenant que la BCE a cédé et que les pays du Nord sont matés, vous remarquerez que la question du surendettement européen est devenue secondaire, tout le monde s’en fiche; pourtant les ratios de dettes ne cessent de grimper. La politique d’austérité est terminée, les réformes sont bidons et néanmoins, cela marche. Il suffit de regarder la dette de l’Italie dont la situation réelle ne cesse de se détériorer. Les marchés tiennent. Cela est bien la preuve qu’il s’agissait de forcer la main pour obtenir les liquidités infinies à taux zéro et que la question de la solvabilité réelle, tout le monde s’en fiche.
La question des reformes que l’on a réussi à faire passer derrière et à la faveur du thème de l’endettement, n’ a rien à voir avec tout cela, elle constitue le masque utilisé par le Système pour diminuer le coût du travail, briser les rentes anciennes et ainsi faire progresser la part des entreprises dans le GDP; en clair augmenter le taux d’exploitation. L’objectif des réformes sous le nom de « restauration de la compétitivité », c’est l’augmentation de la part des profits dans la valeur ajoutée. Opération en cours par exemple grâce à la loi Macron.
Vous noterez que la restauration de cette compétitivité, laquelle se fait sur le dos des salariés du privé, des petites entreprises et sur le dos des soit disant professions protégées, cette restauration s’arrête aux portes du secteur public. Alors que le secteur public représente le bloc, d’inefficacité le plus gros dans le système Français. Mais ce secteur public est sacré car il est le socle de l’électorat de la fausse gauche. L’excès de frais généraux de la Nation Française est là, dans son secteur public excessif, dans ses dépenses publiques inflatées, mais chut, il ne faut pas en parler.
Au passage nous en profitons pour attirer votre attention sur le phénomène que nous nommons l’UBERISATION; c’est un phénomène qui consiste à prendre appui sur la vague de réduction des coûts en laminant les professions traditionnelles (hôteliers, taxis, etc ) en s’attribuant une partie de la rente que ces professions captaient auparavant. C’est une sorte de prolétarisation de certaines professions, une destruction de leur capital et de leur fond de commerce.
Les Macron de chez Rothschild et Goldman réunis adorent l’Uberisation. L’Uberisation ne fait que commencer. Il y a encore beaucoup de petit capital à détruire, beaucoup de petits fonds de commerce à ruiner. L’Uberisation s’analyse également comme comme une auto-exploitation, auto-gestion, chère à nos « amis » de la CFDT; elle permet à certains de casser les coûts en offrant leur temps de travail à des prix en dessous du SMIC.
Nous, nous réclamons l’Uberisation sans limite de la fonction publique, pourquoi les uns seraient-ils menacés et les autres épargnés?
« Moody’s Investors a dégradé d’un cran la notation des obligations d’Etat de la France, passant de ‘Aa1’ à ‘Aa2’.
La perspective de notation de Moody’s sur la note français est ‘stable’. Cette décision est motivée par la « faiblesse persistante dans les perspectives de croissance » de l’économie française à moyen terme. Couplé aux contraintes politiques et institutionnelles, la dette française est un « fardeau important ». Corrélé à cette dégradation de la note souveraine long terme de la France, Moody’s a aussi annoncé sa décision d’abaisser la note de la Société de Prise de Participation de l’Etat (SPPE) à ‘Aa2’. La note à court terme de la SPPE est confirmée à ‘P-1’. Depuis Bercy, Michel Sapin se veut rassurant quant à la qualité de la signature de la France et la capacité du pays à tenir ses engagements.
LENTE REPRISE MAIS SOLVABILITÉ ÉLEVÉE
Moody’s considère que la reprise française est lente et devrait le rester au regard des reprises observées lors des précédentes décennies. « Dans le même temps, la solvabilité de la France reste très élevée », dit Moody’s. Le pays ne manque pas d’atouts importants… Selon l’agence de notation, la France bénéficie d’une grande économie, riche et bien diversifié avec un niveau de revenu par habitant élevé. D’autre part, les tendances démographiques y sont favorables par rapport à d’autres économies développées. La base d’investisseurs est forte alors que le coût du financement est bas. Moody’s assure une perspective de notation ‘stable’ pour le pays en raison d’une part, de ses efforts pour stabiliser les finances publiques et d’autre part, les initiatives récemment déployées pour arrêter l’érosion de la compétitivité économique. »
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Catégories :Douce France, Droit, propriété, propriété intellectuelle, Etats-Unis, Europe, Géopolitique Friction, L'Etat dans tous ses états, ses impots et Nous, L'Etat dans tous ses états, Le retour de Dickens et Zola, Les Tribulations de la Kleptocratie, Marché Obligataire, Mon Banquier est Central, Moody's, Propagande et Manipulation, Répression Financière, Risques géopolitiques, sociaux, environnementaux et sanitaires
Bonjour,
« L’Uberisation ne fait que commencer. »
Bienvenue dans l’après…
L’Uberisation fait partie intégrante d’une évolution magistrale qui n’est plus à démontrer.
Alors que les langages parlés/écrits structurent notre évolution, l’interactivité (que la Radio/TV n’a toujours pas compris en 2015 ! ) prend des formes insolites et les lois du renseignement, si chères à nos politologues, se font écrabouiller comme une lettre dans un composteur. (Ne parlons pas de la démocratie, ni de la république, ces concepts obsolètes hors d’état de nuire…)
Derrière le bruit des actualités, il y a le silence bien plus assourdissant de l’optimisation du code. Les maths ne sont pas des formules à breveter… Est-ce si dure à saisir ? les machines ont-elles un propriétaire ?… Bienvenu dans le monde des objets interconnectés, où la maîtrise du code continue sa suite logique dans l’évolution informatique d’aujourd’hui.
Et alors ? Anne, ma sœur Anne, ne voit-tu rien venir ? L’Uberisation ne fait que commencer… et nous sommes encore au point zéro de l’évolution informatique en France… ne parlons pas du juridique, il est out.
Moody dégrade, Sapin, le déconnecté, rassure.
Au plaisir de vous suivre, en silence…
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l’Uberisation va avoir certains effets positifs:exemple les tarifs exorbitants de la SNCF ou d’AIR FRANCE.Blablacar est en train de tuer la Sncf qui n’a rien vu venir.L’état est déja en train de réagir et d’essayer de fiscaliser systématiquement toutes ces transactions
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Je suis pour l’efficacité et contre toutes les rentes, y compris la rente du sol.
Ceci étant posé la question que j’évoque est celle de la sélectivité: pourquoi détruire certains groupes sociaux plutôt que d’autres? Réponse: parce qu’ils n’ont pas de poids politique. Nous sommes dans le corporatisme et le clientélisme, pas dans la recherche du bien commun.
Pourquoi l’Uberisation s’arrête -t-elle aux portes de certaines professions et activités qui ont un statut qui les protège ? Le remodelage de la valeur ajoutée ne peut être effIcace que si tout est concerné, si seule, la moitié du système est concernée, ce n’est plus de la recherche d’efficacité, c’est une politique des revenus qui ne dit pas son nom. La libéralisation/destruction des formes rigides qui s’opposent au progrès et à l’adaptation doit être un principe général à la fois pour des raisons morales et pour des raisons d’efficacité.
Les plus gros monopoles rigides sont d’ordre politique. Et les monopoles politiques, administratifs médiatiques et financiers ont fait alliance avec les marginaux et les inadaptés pour faire suer le burnous des classes moyennes.
Pour que des réformes soient acceptées, il faut qu’elles soient perçues comme des nécessités objectives qui s’imposent à tous y compris aux politiciens, il faut que les politiciens en soient les médiateurs, et non les ordonnateurs.
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« Nous sommes dans le corporatisme et le clientélisme, pas dans la recherche du bien commun. »:c’est le fond du problème,mais le problème vient de la population,pas des politiques.Pour quelques euros de plus,la majorité est prete a faire quelques entorses au bien commun.
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mouais
je ne sais plus quel communiste voulait relancer son pays en faisant en sorte que chaque foyer ait un reacteur nucleaire à la maison (chine?). bientot on va construire des reacteurs nucléaires avec des imprimantes 3d? et se les louer avec blablacar?
l’utilisation du terme uberisation démontre surtout qu’il n’ya rien d’economiquement valable pour justifier une croissance: notamment car cela existe deja et que donc il s’agit d’un terme employé par des bouffons (et que donc je ne leur confierais pas mon argent): c’est de la désintermediation
(et c’est aussi le developpement de l’economie informelle)
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moi je suis pour la rente du sol
ce n’est pas une uberisation/désintermédiation telle qu’elle est gérée (a dessein faut 1an au gvt pour statuer et 100 decisions de tribunaux incultes pour prendre une decision, l’intervention de lobby TAFTA bruxelles)
c’est une africanisation de l’économie (juridique / economique / improductive) selon laquelle pour parapharser ayn Rand il eut été impossible d’ériger la skyline de nyc
cette application est algorythmiquement nullissime
uber ne vaut que par son nom c’est tout ce que ca vaut
y a que du vent
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c’est pareil que 3615 taxi sauf que c’est sur telephone
ce qui est interessant est le comportement des politiques:
strategies du choc
la casse
le chaos, répudiation de la parole donnée sans contrepartie (à ceux qui ont acheté leur(s) plaque(s) de taxi >100ke, )
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Quand on achète une plaque de taxi ou de toute autre profession protégée, il serait sage de se souvenir que celui qui protège votre profession peut tout à fait reprendre cette protection notamment si çà peut détourner l’attention ou grapiller quelques voix électorales… Le Maître n’est pas tendre avec ses sbires, ces derniers ont choisi la servitude, qu’ils assument au lieu de gémir ou de faire des colères.
Quant à Uber, s’ils roulent sur les taxis, il y a une raison bien au-delà de « c’est 3615 taxi sur téléphone » : la qualité de service d’Uber contre la quantité de sévices des taxis, ces derniers se sont bien foutus du monde, ils paient l’addition désormais.
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je n’ai pas dit le contraire
hypersocialisme=>taxi groupe G7 Rousselet mitterand pasqua…
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1 Vendez-les toutes si vous en avez directement; 2 dénouez tous vos placements qui en sont bourrés:assurances-vie,etc;tout va s’écrouler!Lire sut tantampotestantamaude.erlande.com: « Affamez le dinosaure financier »-une trentaine de conseils d »actions à mettre en oeuvre selon possibilités et au choix.
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oui mais il faut aussi gagner du fric generé de la richesse pour le LT
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un autre baratin : les fintech, crowdfunding (encore de l’africanisation grameen bank)
voici deux articles:
il y en a un c’est du baratin dépassé (puisqu’avec blockchain cela n’a aucune chance de se produire lol), l’autre est l’avenir
c’est facile ;-)))
http://www.latribune.fr/entreprises-finance/la-revolution-numerique-oblige-les-banques-a-reinventer-le-metier-de-conseiller-506454.html
http://www.zerohedge.com/news/2015-09-20/going-back-what-works-gold-money-again-thanks-utah
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