Souverainiste Européen : antimondialiste raisonnable, antiislamiste raisonné, anticapitaliste financier mais pas trop et antisocialiste fabien mais pas assez….Libertarien par Idéal mais Etatiste par pragmatisme ! Cours Forrest cours !
"Nous vivons une époque nietzschéenne marqué du sceau de la volonté de puissance dans un monde qui ne veut croire qu’au messianisme religieux et marxiste !"
"Le Présent éclaire notre Passé pour mieux construire notre Futur !"
"Le sexe, la drogue et le rock and roll sont au jeune fou ce que les textes, le grog et les patates chaudes sont au vieux Sage"
" Mieux vaut une fin terrifiante qu’une terreur sans fin "
"Vous ne pouvez pas donner la force au faible en affaiblissant le fort… Vous ne pouvez pas aider le pauvre en ruinant le riche"
"Ce qui ne peut perdurer finira forcément par cesser"
"Celui qui a péché par la Dette doit périr dans la Dèche"
« L’Ultraliberalisme et le Néokeynésianisme sont les deux faces d’une même pièce : Une sorte d’immense farce tragico-comique »
By Brunobertezautresmondes, brunobertez.comseptembre 15, 2016
Les prix et revenus dans la manufacture ont été érodés, ceux des services ont continué de progresser, mêm si c’est de façon ralentie. La correction de 2015 va dans la bonne direction, mais elle semble bégayante.
L’Insee vient de publier les chiffres de l’emploi salarié au deuxième trimestre 2016 et ils confirment davantage l’effondrement de l’industrie française. Si la production et le chiffre d’affaires du secteur ont déjà pris leur coup, l’emploi ne s’en sort pas mieux avec plus de 33 000 postes détruits sur un an quand les autres en créent.
9 500 emplois détruits en 3 mois
Le chiffre d’affaires et la production de l’industrie française ont chuté en mai et en juin. Le repli au 2e trimestre 2016 du nombre d’emplois salariés dans le secteur semble n’en être qu’une suite logique d’après ce tableau de l’Insee :
À première vue, le tableau est scindé en deux parties, où la partie supérieure représentée par l’industrie est dans le rouge et le reste dans le vert. Dans les détails, les chiffres sont encore plus noirs : tout le premier trimestre 2016 se solde par des pertes d’emplois, à l’exception de l’industrie agroalimentaire qui en a créés 1 800 au premier trimestre, puis 1 100 au deuxième.
Pour ces mêmes périodes, l’industrie dans son ensemble a détruit respectivement 6 500 et 9 500 postes. Sur un an, elle en a supprimés 33 100, principalement dans l’industrie manufacturière (29 700). Pas mieux pour la construction qui en a perdus 4 700 au premier semestre et 17 300 sur un an. Un bien meilleur vent souffle en revanche dans le secteur tertiaire marchand.
Les secteurs marchands à la rescousse
Voici un graphique de l’Insee concernant l’évolution de l’emploi dans les secteurs marchands :
Dans l’ensemble, les secteurs principalement marchands ont créé 21 500 emplois au 1er trimestre 2016, 29 500 au 2e trimestre et 121 300 sur un an. Ces résultats seraient encore meilleurs s’ils n’intégraient pas les destructions « massives » de postes dans la construction et le secteur industriel.
En effet, le tertiaire marchand a offert sur un an 171 800 postes (+ 1,5%), dont 35 600 (+ 6,5%) dans l’intérim. Une performance qui atténue sans pouvoir cacher le déclin de l’industrie française depuis plusieurs trimestres. C’est à se demander si une désindustrialisation globale de l’industrie française est en cours ou si l’on y assiste indifféremment. Quoi qu’il en soit, tous les indicateurs semblent contrecarrer la fameuse promesse d’inversion de la courbe du chômage.
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