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Fausse info : « la Russie a aidé Trump a gagner » : c’était un mensonge du Washington Post !

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James Clapper, le directeur du renseignement intérieur doute fortement ce lundi de la véracité du «scoop» du Washington Post, dont Le Monde et FranceTVinfo ont fait leurs choux gras du week end, que la CIA possède les preuves que le gouvernement russe a piraté les élections américaines au bénéfice de Donald Trump, rapporte Reuters.

Le communiqué de Clapper, publié par l’Office du Directeur du renseignement national (ODNI), conteste avec véhémence que la CIA aurait fourni de telles informations, et déclare que les sources douteuses qui ont permis les accusations du Washington Post sont «un mensonge total»

L’ODNI, qui opère dans le cadre du pouvoir exécutif, est l’organe de surveillance de la CIA ainsi que de dix-sept autres agences de renseignement américain. Sa mission consiste à agréger et analyser les renseignements et les données internationales afin de déterminer et superviser les relations étrangères et les activités de sécurité intérieure.

Voici le communiqué de l’ODNI publié par Reuters:

«Notre surveillance de la communauté du renseignement américain ne confirme pas l’existence d’une déclaration de la CIA que des cyber attaques russes ont été destinées à aider le président élu républicain Donald Trump a gagner l’élection 2016, ont déclaré trois officiels ce lundi.

L’Office ne conteste pas l’analyse de la CIA qu’il existe des opérations de piratage de la part des Russes, mais en l’absence de preuve que Moscou avait l’intention de propulser Trump devant son opposant démocrate Hillary Clinton, nous ne pouvons pas confirmer cette idée.

Dimanche, lors d’une interview donnée à Chris Wallace sur Fox News, Donald Trump a qualifié de «ridicule» l’accusation faite par le Washington Post et reprise par l’ensemble des médias qui implique la Russie dans les cyber attaques qui ont révélé que Hillary Clinton avait reçu à l’avance les questions d’un débat, ainsi que de nombreuses autres informations très embarrassantes pour la candidate et le camp démocrate.

«ODNI ne dit pas que la CIA se trompe, mais qu’elle ne peut pas démontrer l’intention [des Russes],» a déclaré un des officiels Américains.

La semaine dernière, Obama s’est ridiculisé en exigeant qu’une enquête soit conduite sur le piratage russe avant son départ.

Rappelons que Wikileaks existe depuis 10 ans, et qu’Obama n’a jamais exigé ni enquête ni renforcement des mesures de sécurité informatique. Que lorsque le FBI a révélé que des agents étrangers ont certainement piraté le serveur privé d’Hillary Clinton lorsqu’elle était Secrétaire d’Etat, il n’a pas non plus demandé d’enquête pour établir l’ampleur du piratage, et que si les Russes ont pu pirater les serveurs du Comité national démocrate et de John Podesta le directeur de campagne de Clinton, c’est bien en raison de la nonchalance du Président Obama à assurer la sécurité de son pays que cela s’est produit.

Washington Post : à ajouter à la liste des sites de fausse info. Un de plus, auquel il est juste d’ajouter Le Monde, L’Express, FrancetvInfo, Radio Canada et RFI qui allègrement ont diffusé la fausse info.

 © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

Source : reuters.com

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http://www.dreuz.info/2016/12/13/fausse-info-la-russie-a-aide-trump-a-gagne-cetait-un-mensonge-du-washington-post/

6 réponses »

  1. Je n’ai pas trop compris mais ce que j’ai compris c’est que d’après le juge Napolitano, les Russes n’ont rien à voir la dedans.

  2. L’EMPIRE CONTRE ATTAQUE:

    La contre-révolution est à l’action, cela avait commencé doucement par la contestation par l’écolo-progressiste Stein, puis ensuite sur le fait que Clinton aurait remporté plus de votes que Trump et que donc, le principe du comptage des grands électeurs était finalement une entorse à la supreme logique démocratique.

    Voilà maintenant la CIA à la charge contre Trump qui se serait appuyé sur la Russie scélérate pour etre élu… La 5 ème colonne est aux abois et les globalistes de la City ,à l’appuis de leur 6 ème colonne US, savaient que les petits marquis de l’impérialisme ne lacheraient rien… Ils sont en guerre fratricide. Les alliés globalistes et internationalistes d’hier ont rompus les épousailles et la vaisselle commence à voler dans la Barack… On s’échange des maux doux avant d’en venir au gore?.

    La guerre de communication vise d’abord à creer une scission plus franche dans la population indigène. Pro-Trump, vous devenez au mieux des pigeons plombés par une élection truquée et au pire des dissidents (traitres à la patrie) de l’américanisme labellisé et franchisé par nos néo-cons impériaux et moraux.

    L’étoile noire, Barack Obama, joue l’entre-deux de la nomination, en menacant directement Poutine sur ce que nous allons bientot voir comme sanctions divines mais aussi de ce que l’on ne verra surement pas dans nos Pravdas… Ce que l’on constate surtout c’est que la Force a quitté Obama et sa petite troupe de saltim-banques et que le coté obscure de cette affaire sent plutot la rumeur téléguidée. Poutine aurait lui meme cyber-attaqué les USA dans un cyber-café en sirotant une cyber-vodka?. On le savait maitre Yoda des parties d’échec géopolitiques, on le découvre maintenant R2D2 de la fibre optique… quel talent!.

    Plus sérieusement, convaincre les votants démocrates/républicains pro-establishment d’une conspiration ourdie de l’extérieur sert aussi un autre objectif/impératif: museler la presse alternative et tamiser l’information qui circule sur les réseaux sociaux. La Vérité ne peut sortir que des médias mainstream car c’est ainsi que l’on fabrique les réalités. Bien entendu, ils n’en resteront pas là puisque si Trump devait, malgré tous leurs efforts, etre intronisé, peut etre trouvera t-on un Brutus pour parachever le reve des clintonniens… On a tué des présidents pour moins que cela.

    En Europe, la presse-système accorde ses violons sur la symphonie que l’Amérique nous joue sur le pont oblique du Titanic-USA. Tandis que dans les cales on observe une dangereuse remontée des taux submergeant les dettes de gondoles du marché obligataire. Là, Yellen est à la barre, cherchant au loins derrière l’horizon, peut etre le gros glaçon perdu de la cyber-vodka du tsar Poutine qui pourrait frapper, ce coup-ci, la coque rouillée du rafiot .
    De l’autre coté de l’Atlantique, le costa-concordia euro-zonard cherche toujours le récif qui fait les belles histoires tragiques.

    Titanic, Costa Concordia… combien de canots de sauvetages?.

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