Art de la guerre monétaire et économique

Adama Traoré comme George Floyd ? La grande imposture des professionnels de l’antiracisme !

Adama Traoré comme George Floyd ? La grande imposture des professionnels de l’antiracisme !

Les USA sont-ils véritablement à feu et sang, à la suite de la mort controversée de George Floyd ? D’une certaine manière, oui, mais il est aussi étonnant de s’en étonner, tant la violence est l’ADN du continent nord-américain. En effet, c’est le seul État colonial au monde fondé sur ce qui ressemble tout de même fortement à un massacre généralisé, avec peut-être la Nouvelle-Zélande et l’Australie.

En Amérique latine, les Indiens ont certes été massacrés, mais demeurent encore majoritaires dans les pays concernés. Les Turcs n’ont pas été tendres avec les Grecs, mais ont laissé assez de survivants pour se faire ensuite renvoyer en leurs pénates. Idem pour la France, que ce soit au Maghreb et en Afrique noire.

Cette violence, on la retrouve évidemment à Hollywood. Par essence, le western est le genre cinématographique sanglant par excellence : Blancs entre eux, Blancs contre Indiens, les hommes tombent par dizaines. Et ce ne sont même plus des hommes qu’on tue, mais de simples silhouettes esthétisées jusqu’à l’outrance.

Cela vaut également pour le film policier. En France, un Jules Maigret est un policier dont la seule arme est une pipe, alors qu’aux USA, c’est Clint Eastwood, muni d’un revolver aux allures de canon. Ce sont ensuite des voyous glorifiés, tel Scarface, en 1932 par Howard Hawks, avec Paul Muni ; puis en 1983, par Brian de Palma, avec Al Pacino en racaille de luxe, film qui fut longtemps l’un des plus loués dans les vidéo-clubs de nos cités.

Avec la présence significative de l’extrême gauche américaine dans ces manifestations, d’autres s’étonnent encore que cette dernière puisse être si puissante au pays du capitalisme. C’est oublier que dans cette nation, l’une des plus syndiquées au monde, malgré son tropisme libéral, il y eut les émeutes de Berkeley, en 1965, bien avant Mai 68. Et qu’avant Action directe, il y eut aussi les Weathermen, groupe activiste luttant déjà contre le racisme et responsable d’une vingtaine d’attentats à la bombe.

Quant aux Black Panthers, n’ayant que faire du discours lénifiant d’un Martin Luther King, remarquons qu’ils ne se battaient pas à coups d’épées de bois face aux agents d’un FBI arborant un autre arsenal que de simple pistolets à bouchon.

Pour tout arranger, les USA n’ont toujours pas résolu leur problème racial, même si vantant un melting-pot pluriethnique sans avoir compris qu’une société multiraciale est, de fait, destinée à devenir multiraciste. Ce phénomène a été encore plus aggravé par l’extrême gauche universitaire ayant tendance à racialiser tous les problèmes tout en brandissant l’étendard de l’antiracisme. Pour résumer, un voyou noir qui se fait tuer par un policier blanc est ravalé au rang de Noir et son assassin à celui de Blanc, sans tenir compte des professions respectives de l’un et de l’autre. Belle avancée de l’esprit critique…

Et en France, comme toujours, nous sommes à la traîne des USA, du skateboard aux théories du genre, d’Elvis en Johnny. Jadis, les voyous des cités se rêvaient en rockers et maintenant en rappeurs, singeant les gangs new-yorkais à Sarcelles, et négligeant pourtant ce fait majeur autant qu’historique voulant que malgré le surcroît de mélanine, les Noirs de là-bas n’ont rien à voir avec ceux d’ici. Les premiers sont arrivés dans les wagons des colonisateurs blancs sans qu’on leur ait demandé leur avis. D’où leur statut d’Américains « historiques », alors que les seconds ne sont que des enfants d’immigrés arrivés en France de leur plein gré.

Bref, en ramenant tout à la seule couleur de la peau, les militants antiracistes empruntent exactement le même langage que ces « racistes » présumés et par eux tenus pour bêtes noires.

Il est donc parfaitement logique que tout cela s’exporte en nos contrées, même si un  se prenant pour Malcolm X n’est jamais que ce que Stéphane Pocrain, ancien patron de SOS Racisme, fut à James Brown, tandis que nos journalistes français se rêvent en électeurs de Barack Obama et en contempteurs de Donald Trump.

Il ne serait pas sot qu’un jour, les Français, quels qu’ils soient, cessent de vivre à l’heure d’une Amérique tour à tour cauchemardée et fantasmée.

Nicolas Gauthier

Maryland, USA : les visages pâles à genoux demandent pardon pour leur blancheur et renoncent à leur privilège blanc. Mais qui leur donnera le coup de race ? Satan, prend pitié de leur longue misère…

Des images étranges du Maryland montrent des centaines de blancs assis par terre récitant un sermon dans lequel ils s’excusent pour leur privilège blanc.

Dans une vidéo tournée mardi, des dizaines de blancs sont assis dans la rue, les mains levées vers le ciel devant une bibliothèque publique de Bethesda implorant le pardon des Noirs après la mort de George Floyd aux mains de la police.

Hundreds of white people get on the ground and renounce their white privilege.

 «Je vais utiliser ma voix de la manière la plus édifiante possible et je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour éduquer ma communauté», déclare une personne par le biais d’un haut-parleur, que tous les participants répètent de façon culte.

«J’aimerai mes voisins noirs comme mes blancs», déclare la personne par le haut-parleur.

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EN BANDE SON :

6 réponses »

  1. vu de loin cette histoire de violence à tous les étages, de communautarisme hétérogènes sont une leçon d’histoire.
    On nous a vendu le rêve américain, et voila ou il mène. Les inégalités du système engendrent des déséquilibres et une police violente est nécessaire à un semblent de cohésion ou à défaut de croissance. L’inspecteur Hary passe sont temps à enfreindre la loi, une autre série de héros bad cop, bad lieutenant.
    Notre économie occidentale à l’agonie, a basculé dans le cahos pour un virus ayant une létalité de 0.5%. La sociologie américaine à basculer pour un meurtre de trop parmi des milliers de bavures en 40 ans d’histoire de la police US.
    Nous avons (j’ai du mal à dire ils car je vote aussi) préparer le terrain de notre cahos économique en optimisant à l’extrême les profits au profits de quelques uns. Et un grain de sable à détraquer la machine. Un petit déclencher pour de gros effets C’est pour vouloir imiter le système capitaliste américain qu’on s’est mis dans cette position qui s’avère dépourvue de toute résilience.
    Sur le terrain de la gestion de force de l’ordre, il semble que l’on continu de chercher nos stratégies outre atlantiques.
    Le rôle de la police de protection et de répression en font un outil bien délicat à gérer le pouvoir n’a pas trop intérêt à se les mettre à dos et trump de s’en rendre compte.
    Depuis toujours aux US et de façon moins évidente et plus récente mais bien réelle chez nous, le pouvoir à souvent protégé ses forces de l’ordre pour des affaire soit de bavures soit pour couvrir des conséquences prévisibles d’ordres donné soit d’accidents. Si la société américaine explose, c’est parce qu’un groupe ethnique c’est senti suffisamment fort, suffisamment révolté ou désespéré ou frustré pour se fédérer et protester contre cette impunité. Le déclencheur a profité d’un terrain fertile pour maximiser son effet. Celui de la communauté noire gavée de rap et gangster star, Ils ne pillent pas pour de la nourriture mais des TV 4K. Prompte a des actes raciste. Pourtant statistiquement parlant les meurtre intra communautaire sont la règle.
    Mais le flic impassible filmé presque souriant à mis le feux au poudres. Mais sans l’inspecteur Hary, ce flic eut il put exister? Sans une justice complaisante eut il eut simplement le droit d’exercer après nombre de manquement caractérisé objet de nombreuse plainte et accusation?
    Je n’ai pas étudié de cas amada pour m’en faire un avis mais derrière ce qui est soit une injustice ou soit un détournement opportuniste de l’actualité, Il cette impunité héritée du traitement des GJ, des manif du 1er mai chamailleuses, mais aussi impunité des politiques c’est sur ce levier que se tend le ressort jusqu’à ce qu’il saute et ne nous parte dans la tronche.
    De l’histoire en direct dont il vaudrai mieux tirer qqs leçons Pour en sortir une justice efficasse serai nécessaire car comme il est souvent répété une violence légitime est indispensable à la protection du citoyen et difficile de faire le trie entre de la légitime violence (encore un film) et la crise psychotique en uniforme. Cela ne peut se faire sans moyens et volonté politique

  2. il y a un temps pour tout ces individus qui se plaignent de vivre et de subir les foudres de la police tout en ne respectant pas les lois du pays ou ils sont ont l’extrème chance que leur a donné la république dans sa grande magnanimité celle de refuser la nationalité Française et ainsi de se libérer de leur chaînes et de pouvoir aller retrouver leur racines pour prier pour le salut de leurs pères qui vendaient comme esclaves leur propre peuple. et si ils continuent a nous emmerder on les traitera a la 12.7

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