Collapsologie

Avilissement des Blancs : l’autochtonisme ou l’effacement ! Par Antonin Campana

Avilissement des Blancs : l’autochtonisme ou l’effacement !

Publié par Antonin Campana sur 14 Juin 2020, 12:55pm

Avilissement des Blancs : l’autochtonisme ou l’effacement !

« Vous êtes allés trop loin […]. Vous avez crée de toutes pièces au cœur de notre monde blanc un problème racial qui le détruira et c’est là votre but. Aucun de vous n’a la fierté de sa peau blanche et de ce qu’elle signifie. » — Jean Raspail, Le Camp des Saints (1973)

Macron : « Le racisme est une trahison de l’universalisme républicain » ! Ainsi, celui qui préside le régime en place établit-il très justement une relation entre le racisme et l’universalisme républicain. Il a tout à fait raison, à ceci près que le racisme n’est pas une trahison de l’universalisme républicain mais une conséquence de l’universalisme républicain. Le racisme découle du vivre-tous-ensemble comme le pue vient de la plaie.

Significativement, la déclaration de celui qui préside le régime intervient dans le contexte d’une puissante dénonciation allochtone du « suprémacisme blanc », des « policiers blancs » et des « Blancs » d’une manière générale. Mais, notons-le, Macron ne pointe en aucune façon ce racisme anti-blanc. Au contraire, il lui apporte un soutien quasi-officiel. Il aurait donc du dire, pour être plus conforme à son idée profonde, puisque c’est de cela qu’il s’agit exactement : « le racisme blanc est une trahison de l’universalisme républicain ».

En fait, les évènements en cours, dont les conséquences seront importantes, nous montrent une nouvelle fois que les sociétés multiraciales ne marchent pas. Or, problème, le régime postule que l’universalisme qui le fonde et le structure permet de faire vivre ensemble des hommes de toutes les couleurs. Alors, comment faire quand la théorie et les principes proclamés se heurtent aux faits, quand l’intégration est « en panne », que les replis sont « communautaires », que le racisme s’exprime dans toutes les directions possibles et que la guerre civile et raciale arrive à grands pas ? La République se serait-elle trompée ? Le droit universel qu’elle dit exprimer et qui fonde son ouverture au genre humain ne serait-il qu’un pur délire intellectuel ? La République ne serait-elle qu’une erreur tragique et son projet une monstruosité qui se terminera comme il a commencé : dans le sang ?  Cependant, puisque par essence la République ne peut être une erreur ni son projet une monstruosité, comment un républicain pourrait-il concilier l’utopie promise avec ce qu’elle a produit dans la réalité ?

Dans un premier temps, il est bien sûr possible de nier les faits. Par le passé, le régime ne s’en est d’ailleurs pas privé. Mais vient toujours un moment où le réel s’impose. Le mieux est alors, technique républicaine récurrente, héritée de la Révolution, le mieux est de désigner un bouc émissaire. La méthode est toujours la même : trouver un groupe, hier les aristocrates, aujourd’hui les Blancs, et l’avilir.

Le régime va donc construire un système d’avilissement fondé à la fois sur l’enseignement d’une histoire falsifiée (histoire de l’esclavage, du colonialisme, des heures-les-plus-sombres…), et sur une dénonciation récurrente du racisme blanc d’aujourd’hui (le racisme des autres groupes étant, quant à lui, soigneusement occulté). La persistance du racisme d’hier dans le racisme d’aujourd’hui prouve que le racisme est dans la nature biologique et culturelle des Blancs. Ce racisme, que dénonce celui qui préside le régime, explique les problèmes rencontrés par l’universalisme républicain. Si cet universalisme ne marche pas, c’est en effet qu’il a été « trahi ». Trahi par les Blancs, bien sûr. Comprenons bien : l’avilissement des Blancs sert principalement à expliquer le fiasco du projet universaliste, de manière à préserver celui-ci.

Cette stratégie d’avilissement calculé, doublée d’un enseignement du mépris aboutissant à la soumission ethnomasochiste des Blancs honteux (les bobos urbains, antifas et consorts), a été décidée il y a une quarantaine d’année (il faut hiérarchiser nos ennemis : ce système n’a pas été produit par les cervelles de moineaux indigénistes, qui ne font que le réciter). Le nouveau dogme-Système pose que par atavisme les Blancs (et pas seulement les « policiers blancs ») ne jouent pas le jeu du vivre ensemble, d’où les tensions raciales observées, d’où aussi la nécessité d’obliger les Blancs à reconsidérer leur histoire, leur culture, leurs comportements, leurs « silences », leur « suprémacisme » (lois mémorielles, repentance…), d’où la nécessité de contraindre les Blancs (lois antiracistes, associations antiracistes, justice racisée…), d’où enfin la nécessité de forcer les Blancs à laisser la place (discrimination positive).

Afin de préserver l’universalisme républicain, le régime a donc dépassé le stade du simple racisme : il a versé dans ce que nous avons nommé l’antijaphétisme (Glossaire). Tout cela traduit une volonté de déposséder définitivement les peuples blancs, de les remplacer sur leurs terres ancestrales, de les faire disparaître. Réduire un groupe racial ou un groupe d’identité au racisme, c’est-à-dire, dans notre société, au mal absolu, équivaut à réclamer sa destruction. Dans l’ancien Testament, les Hébreux réduisent les peuples cananéens à l’idolâtrie, le mal absolu dans la Bible. Cela justifiera à leurs yeux l’extermination des peuples cananéens, le vol de leur terre et de leurs biens, la mise en esclavage des survivants. « Les Blancs sont racistes » : l’acte d’accusation est terrible et demande soit l’acquittement avec réparation, soit l’enfermement moral avant effacement biologique et culturel. Mais ne doutons pas que le jugement a déjà été prononcé. Comme les Cananéens avant leur extermination, l’infériorité morale des Blancs a déjà été décrétée, ainsi d’ailleurs que leur placement sous surveillance (des ligues antiracistes et de la « Justice »). La fonction d’un système d’avilissement est de désamorcer les consciences pour rendre possible le génocide. Tous les systèmes d’avilissement ont toujours, en tous lieux et de tous temps, fonctionnés de la même manière et ont tous aboutis, tôt ou tard, à l’oppression et à l’extermination du groupe avili. Mieux vaut en être conscient.

Les Blancs, désunis, dissociés, divisés, sont le point faible des sociétés multiraciales. Il est donc « normal » que le Système les choisisse comme boucs émissaires de son naufrage. Il est tout aussi « normal » que les minorités embrayent derrière le Système pour tirer avantage de la situation. Ce qui n’est pas normal est la fidélité des Blancs au régime qui les détruit.

Y-a-t-il quelque chose qu’ils ne comprennent pas dans l’expression « universalisme républicain » ? Comment peut-on encore, en 2020, ne pas comprendre que la République ouvre par nature sur la multiracialité et le Grand Remplacement ? Et, pour ceux qui l’auraient compris, comment peut-on ne pas envisager alors la sécession ?

Cette explosion, depuis quelques jours, de racisme antiblanc assumé, d’antijapahétisme et de haine ne sera pas sans conséquences. Jusqu’à présent les races n’existaient pas. Aujourd’hui, définitivement, elles existent. On nous force à nous penser racialement puisqu’on nous désigne racialement. D’autre part, tant au niveau des symboles utilisés, des slogans ou de l’implication des relais oligarchiques, il se pourrait que nous soyons face à une révolution de couleur. L’objectif de l’affaire serait alors de faire franchir au Système une nouvelle étape : de ce point de vue aussi, il y aura sans doute un avant et un après. Enfin, les Autochtones blancs sont maintenant dos au mur. La pression va encore s’accentuer. A terme, ils devront soit s’organiser pour défendre leur droit à l’existence, soit, toujours fidèles à l’universalisme républicain, se laisser tranquillement exterminer. Décidément, ce sera l’autochtonisme ou l’effacement.

Nous vivons une époque extraordinaire !

Antonin Campana

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par: Mael Pellan  L’Incorrect,  12 juin 2020.

Le lent remplacement

 

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– On ne peut pas être conservateur et vivre dans une ville. Non ! Notamment en France ! Car une ville c’est l’éternel changement. Le lent remplacement. Regardez votre quartier : habité originellement par des artisans de telle ou telle corporation. Puis par les déracinés des campagnes voisines. Et aujourd’hui par des exotiques de toutes les smalas.

 

Une ville française, c’est ça de nos jours. Il n’y a aucune constance. Un habitant en remplace un autre. Une communauté vient à la suite d’une autre. Les quartiers changent d’identité tous les 20 ans. Et aujourd’hui, la gentrification des centre-villes et la babouchisation des périphéries accélèrent le processus.

Il y a pourtant des villes aux communautés enracinées. Ailleurs en Europe. Belfast, Derry, Glasgow, Sarajevo. Un catholique républicain irlandais qui naît à Ardoyne, dans le nord de Belfast, aura toutes les chances d’y rester toute sa vie et de voir ses enfants y rester. Et les enfants de ses enfants. Et toutes les personnes autour de lui seront des catholiques républicains. Il vivra pratiquement dans un cercle fermé. Depuis la dernière guerre, il était de coutume de voir cela comme un enfermement. Il fallait une société ouverte. Depuis quelques années, la communauté est redevenue la sécurité. La libération. Mais en France, rien de cela n’existe pour la population autochtone urbaine. L’urbain, c’est le renouvellement permanent. Comme ces immeubles qui durent quoi… 20, 30 ans ? Qu’on démolit pour en construire un autre à la place. Eh bien, c’est la même chose pour les Français des classes laborieuses urbaines.

On déconstruit leur corpus de valeurs et on les pousse vers la sortie. Que d’autres et d’autres valeurs prennent leurs places. Car s’il existe une communautarisation des villes en France, ce n’est plus qu’une communautarisation du face-à-face. Entre eux et nous. Et si « eux » sont de plus en plus soudés par les nationalismes ethnico-religieux (turcs) ou ethnico-commerciaux (chinois) de l’exil ou, tout simplement, l’Oumma (tous les autres), « nous » sommes de plus en plus éclatés. Lecteur urbain, regarde dans ton immeuble. Dans ce métro où tu te trouves. Qui te ressemble vraiment ? Entre les Maliens du 3e et le couple d’écolos no-déchets du troisième siège à droite, c’est un peu la cour des miracles dans la tour de Babel, non ? C’est pourtant devenu ta vie, ton environnement. Et, plus grave, celui de tes gosses. Tu pourras les emmener à l’église Saint-Pie X trente fois par jour si tu veux, ils n’échapperont pas au poids de leur environnement social. Et n’auront aucune racine.

Le conservatisme est une idéologie qui ne peut s’appliquer que dans un environnement conservé. Où il y a une permanence.

Car comment peut-on être enraciné, conserver ses traditions, ses valeurs quand personne ne te ressemble autour de toi ? On ne conserve et on ne transmet qu’au sein d’une communauté. Dans un endroit où l’on a son nom sur le monument aux morts, ses ancêtres au cimetière et ses enfants à l’école. Les milieux conservateurs ou identitaires ont admiré, parfois secrètement, la résistance des anti-aéroports de Notre-Dame-des-Landes.

Mais au-delà des punks poils aux pates de passage, la résistance a, avant tout, été incarnée par des locaux. La famille Fresneau par exemple, dont l’exploitation devait être remplacée par une piste d’aéroport, travaille la même ferme depuis cinq générations. En 2016, ils avaient déclaré : « Si c’est pas ici, c’est nulle part. Ou ce sera pour vivoter, nos racines sont là ! » Leurs racines bretonnes ont été plus fortes que les aéroports de la mondialisation. Ils ont gagné ! Contre l’anéantissement, le béton et les avions vers Bamako. A contrario, qui se battrait pour l’immeuble de la rue des mimosas construit en 1982 ? Situé maintenant entre Zara et la boutique de vapotage. Et dont la population change en moyenne tous les cinq ans.

Le conservatisme est une idéologie qui ne peut s’appliquer que dans un environnement conservé. Où il y a une permanence. Un temps long. Une profondeur historique. Une homogénéité. Des champs labourés depuis des millénaires. Et dans une ville, même à Montluçon, tout cela est devenu illusoire. Un combat désespéré. Le conservatisme en ville, c’est l’OAS à Alger en juillet 1962.

Regardez bien la vidéo de Zemmour se faisant agresser dans la rue. À Paris, mais on s’aperçoit que cette rue n’a plus rien d’une ville française. Avec ses sacs Franprix, le polémiste longe ces magasins de fringues fabriquées au Bangladesh comme un fantôme. Il est courbé. Avec un Mustapha collé au derrière. Pas une boucherie. Pas une boulangerie. Pas une église autour. Il a un manteau rouge et on ne voit que lui dans le gris.

Comme pour rappeler qu’il y a eu un peuple et des valeurs qui vivaient ici. Avant.

« Quant à nous, fils spirituels des Grecs, des Latins, des moines judéo-chrétiens et des Barbares de l’Est, peut-être, pour achever l’œuvre d’art, fallait-il entrouvrir notre porte […], ne serait-ce que pour équilibrer le matérialisme contemporain ? » — Jean Raspail

EN BANDE SON :

5 réponses »

  1. Au cœur en profondeur et très justement: le théâtre des opérations, l’état des lieux ,au scalpel ..chronique du grand effacement
    Touche le cœur.aussi .. a ne pas perdre la tête et se préparer a affronter .
     » On ne revient pas en arrière pour reconquérir le mythe; on le rencontre à nouveau quand le temps tremble jusqu’en ses bases, sous l’empire de l’extrême danger « .

  2. Gabriel RoBIN
    9 min ·
    #Tchetchene #Dijon Bienvenue à Grozny-sous-Bois ! Après les Congolais aux abords du concert de Fally Ipupa, voici la guerre entre Tchetchenes et Albanais et trafiquants des cités. Même Maurice Dantec n’avait pas prévu ça ‘)
    Le sport à la télé nous manque. Satané coronavirus qui nous aura privés de la Ligue des Champions, de l’Euro, du Top 14 de rugby, de la NBA, du Tour de France ou encore des Jeux Olympiques. Mais en France, si nous n’avons pas de pétrole, nous avons des idées et de la ressource humaine. Notre Tour de Babel multiculturelle a bien de quoi organiser de larges confrontations sportives internationales.
    Ainsi, la paisible ville de Dijon accueille en ce moment même une joute amicale opposant Tchétchènes et Albanais à des représentants du Maghreb et d’Afrique subsaharienne. Que se passe-t-il donc dans la paisible capitale bourguignonne de Dijon ? « La question, elle est vite répondue », serait-on tentés de dire. Nous assistons à une énième scène de fragmentation de la France, éparpillée façon puzzle entre ses diverses communautés issues de l’immigration. En l’espèce, trois jeunes dont deux Albanais et un Tchétchène de 16 ans auraient été lâchement agressés par une bande de trafiquant de drogue résidant dans une cité hors la France de Grésilles.
    De quoi décider les hommes du Caucase et leurs alliés des Balkans à mener une expédition punitive en plein cœur du quartier. Christophe Castaner va devoir oublier ces « émotions » qui outrepasseraient les règles juridiques, car il n’est plus ministre de l’Intérieur d’une République bien ordonnée mais petit sheriff d’un pays ressemblant à la ville de Charming, où les bikers de Sons Of Anarchy règlent leurs comptes avec tout ce que la Californie compte de groupes criminels ethniques. Après les émeutes causées par les « antiracistes » qui haïssent la France, unissant les antifas et les déconstructivistes à la petite semaine de Geoffroy Lagasnerie aux africano-décolonialistes descendants d’ethnies ayant pratiqué l’esclavagisme sans vergogne, voilà que le Mordor se déchire de l’intérieur.
    Peut-être que ces Tchétchènes et ces Albanais ont de bonne raison d’en vouloir aux bandes de voyous de la cité des Grésilles. C’est même probable tant on peut mesurer dans notre quotidien immédiat la violence gratuite dont ces gens savent faire preuve. Toutefois, il est terrible de voir la France devenir la proie des violences intra-communautaires les plus improbables, comme récemment avec les rixes entre Congolais aux abords du concert de Fally Ipupa. Songeons que l’immigration massive accouche de guerres picrocholines inédites, alors qu’on nous décrivait naguère le phénomène comme une « chance » pour la France de se « regénérer ». La religion elle-même n’est pas un ciment suffisant pour assurer la paix sur un même territoire, quand les différences culturelles, ethniques et historiques sont si marquées.
    La fameuse « oumma des croyants » se fissure ainsi face à la réalité des quartiers de l’immigration, et ce ne sont pas les appels au calme sur les réseaux sociaux des chefs de clan (citons l’influenceur d’origine tchétchène IbraTV) tentant d’atténuer la portée de ces images et de les réduire à un simple conflit contre des « racailles », qui nous feront penser le contraire. Que peut faire la police face à ces groupes surarmés ? À Dijon, les habitants des Grésilles se sont filmés armes automatiques au poing pour signifier qu’ils résisteraient aux Cosaques à têtes de bougnats – collier de barbe et chaînette en or en options – venus en nombre avec des barres de fer et des couteaux.
    Il est même fort possible, sinon probable que ces armes à feu aient été vendues à leurs ennemis du jour via des filières balkaniques ou caucasiennes… Nous sommes désormais les otages de communautés organisées ne reconnaissant pas les lois de la République, leur préférant les législations orales propres aux clans et parfois les textes religieux. Nous n’avons même pas besoin de ployer le genou, l’Etat l’a fait pour nous il y a déjà bien longtemps…
    Un peu comme François Rebsamen, maire socialiste de Dijon qui n’a rien trouvé de mieux à déclarer que de dire : « J’ai beaucoup d’affection, comme tous les Dijonnais, pour ce beau quartier des Grésilles, dans lequel on a beaucoup investi ». Beaucoup c’est peu dire pour un quartier qui a coûté la bagatelle de 135.000.000 d’euros ! Nous avons donc financé ce délire avec nos impôts, avec notre argent. Que dire d’autre à ces mafieux qui s’exhibent avec des kalachnikovs que le titre de notre dernier numéro : « Sauvez des vies, rentrez chez vous ! » Quand aux hommes comme Jean-Luc Mélenchon, plus émus par une banderole que par des conflits tribaux, ce sont purement et simplement des traitres … et de bien médiocres.

    https://lincorrect.org/grozny-sous-bois-techetchenes-lincorrect/

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