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Article du Jour : Douce France au Pays des Merveilles – Peut-on parler de néo-fascisme ? Par H

Peut-on parler de néo-fascisme ?

Après tout, l’attitude du pouvoir corrobore parfaitement cette déclaration de Mussolini :

« Tout pour l’état. Rien contre l’état. Rien en dehors de l’état ! ».

Un état tout puissant, omnipotent mais surtout impotent dans ses fonctions régaliennes et ce ne sont pas les déclarations du chef de l’état qui poussent à l’optimisme.

L’actuel premier ministre a été un des acteurs au ministère de la santé (https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Jean_Castex) de la désastreuse politique de santé dont nous voyons les effets au quotidien. On peut comprendre qu’il ne veuille se dédier. En a-t-il d’ailleurs la possibilité s’il en éprouve la volonté ? Il est si difficile d’échapper à son maître sauf à renier des postulats fondamentaux de son existence. Mais le résultat est là. Cette pandémie met à jour toutes les contradictions sur lesquelles ce pays s’est construit depuis 1945. Le catalogue des erreurs est impressionnant suite à la démagogie institutionnelle. Vu ce qui est mis à jour, je ne suis pas certain que le pays puisse désormais s’en sortir…

H

Voilà à quoi cela ressemble. Vous adoptez une ligne de conduite gouvernementale et vous “pensez juste” tout en politisant tout.

Le gouvernement et les entreprises dans le même lit pour façonner la société pour “son propre bien”.

C’est ce qu’est le fascisme. “Tout dans l’État, rien en dehors de l’État, rien contre l’État.”

Quand Mussolini a dit ça, il voulait dire que c’était positif.

“Totalitaire” était un complément. Et ne vous y trompez pas, les grandes entreprises AIMENT ça.

C’est rentable et sûr et cela protège votre position sur le marché et renforce l’oligopole.

Les grandes entreprises n’aiment pas les marchés libres. Elles aiment “moins de concurrence et un pouce sur la balance”.

Ils AIMENT le fascisme. Ce fascisme est toujours et partout un mouvement de jeunesse de la gauche. Ce n’est pas de droite, c’est de gauche. (Oui, je sais ce que dit wikipedia, c’est faux. Lisez votre histoire sur l’origine de ces partis. Ils sont tous issus de partis socialistes)

Maintenant, cela vient de San Francisco. Et c’est la partie que nous devons comprendre :

Ils pensaient être les gentils. Hitler, Staline, Mussolini, tous ils pensaient qu’il y avait la voie à suivre pour une société plus grande, une nation plus parfaite, la justice et le progrès.

Et les entreprises qui les ont aidés le pensaient aussi ; ils ne restent pas assis à tortiller leurs moustaches de façon sinistre en complotant la chute du monde.

C’est bien pire.

Ils croient honnêtement qu’ils sont les oints dont la grande sagesse et l’intellect leur donnent le droit et le devoir de dire aux masses ignorantes comment vivre.

Ils se sont convaincus que le fait d’appeler le fascisme “antifa” signifie qu’ils sont les gentils mais ne vous méprenez pas, il s’agit d’une tentative de vous dominer et elle montre maintenant son vrai visage

Ils croient, comme tous les despotes, qu’ils seront bénins.

L’histoire n’est pas favorable à cette présomption.

Il semble que nous soyons à la croisée des chemins.

Soit nous le voyons pour le jeu de pouvoir qu’il est et nous cherchons de nouveaux moyens d’obtenir des informations et de communiquer et nous reprenons nos données et notre parole, soit nous tombons sous le charme et nous nous perdons dans ce château de miroirs propagandiste.

Ami, mon pauvre ami, ne vois-tu rien venir ?

Comprends-tu enfin que la France est sous loi martiale ?

Petit à petit le mal fait son nid, le véran de Komodo fait siffler sa langue, plantant ses crocs infectés de ville en ville.

Le poison anesthésie la France jusqu’à l’euthanasie. Où devrais-je dire, jusqu’à l’état Nazi?

Inutile donc de créer des camps de la mort, les villes sont déjà destinées à cet usage.

Le « National Socialisme » servi par Himmler-Castex veut être saignant pour tous ceux qui ne lèveront pas le bras droit en hurlant « Heil Castex! »…Il le sera mais la montagne accouchant d’une souris finira par écraser son géniteur.

Je boirai le champagne (s’il en reste) lorsque la mesure saignante verra la sale caboche du Führer au bout d’une pique!

J’en appelle à la réincarnation du Docteur Guillotin!

Je suis prêt, et vous?

FRANC GAULOIS

EN BANDE SON :

1 réponse »

  1. Michel Rosenzweig
    ·
    Que dire de plus, que rajouter aujourd’hui face à ce régime sanitaire ridicule, idiot, abject, obscène qui persiste en dépit du bon sens?
    Qu’il n’y a plus d’épidémie et que cette pandémie est une très mauvaise farce planétaire et une imposture médico scientifique qui ne tue qu’une infime proportion des personnes atteintes.
    Que ces données et ces chiffres quotidiens assenés tous le jours au réveil dès qu’on ouvre un oeil sur son écran n’ont plus aucun sens et qu’ils ne sont tout simplement plus crédibles.
    Que ces cas ne sont pas des cas, mais des personnes qui sont testées avec un taux d’amplification exagérée et que la plupart ne sont pas malades, ni contagieuses, et qu’elles ne sont porteuses que de fragments d’ARN viral, mais que les sociopathes et les thanatophobes au pouvoir veulent absolument nous les faire passer pour de graves malades qui submergent les hôpitaux afin de justifier leur régime sanitaire délétère invraisemblable.
    Que le coronavirus n’est pas la maladie de la Covid-19 et que les autorités persistent à confondre sciemment les deux pour entretenir la peur et la panique.
    Que la démocratie parlementaire a été confisquée par des irresponsables, des cyniques, des pervers, des incompétents, des populicidaires liberticides au nom d’un impératif plus que douteux en persuadant une trop grande majorité de la population à coups de propagande médiatique, médicale, scientifique et politique que c’est pour sauver des vies, alors qu’en définitive, au final, il est fort probable que plus de vies auront été perdues.
    Que les pays qui s’en sortent le mieux sont ceux qui ont compris que l’immunité collective était le premier remède naturel à prescrire et à mettre en oeuvre sans ruiner la santé mentale et l’économie.
    Que le corps social dans son ensemble a été anesthésié, stupéfié, sidéré et que sa capacité réactive a été anéantie.
    Qu’il faudra un événement majeur bien plus grave que ce simulacre de pseudo danger mortel agité comme un épouvantail pour qu’une majorité se réveille un jour.
    Le covid-19 n’est que l’arbre d’une forêt cachée bien entretenue qu’un ouragan finira bien par abattre un jour, laissant le roi et sa cour totalement nus.
    ©Michel Rosenzweig

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