Etats-Unis

🇬🇧 **LE ROYAUME-UNI, LABORATOIRE SACRÉ DU MONDIALISME : L’ENNEMI HÉRÉDITAIRE DE L’EMPIRE US RENAISSANT ?**

L’ENNEMI HÉRÉDITAIRE DE L’EMPIRE US RENAISSANT ?**
(TS2F Edition — Grand Théùtre de l’Histoire)

Il fut un temps oĂč l’Angleterre dominait le monde Ă  la force du charbon, de la Bible, du canon naval et de la City.
Aujourd’hui, elle domine encore — mais dans un tout autre registre : le Royaume-Uni est devenu le centre rituel du mondialisme expĂ©rimental, un temple oĂč l’on tente des expĂ©riences sociĂ©tales, Ă©conomiques, dĂ©mographiques et technologiques que mĂȘme les plus audacieux ne risquent pas sur le continent.

De Londres Ă  Oxford, des think tanks aux ONG, l’üle a mutĂ© en aquarium politico-idĂ©ologique, un lieu oĂč l’on teste les futurs possibles du monde globalisé 

 et oĂč parfois, tout dĂ©raille.

Pendant ce temps, les États-Unis de 2025 sortent d’une mue impĂ©riale spectaculaire : fin de l’hĂ©gĂ©monie naĂŻve, retour de l’État-stratĂšge, sĂ©curitĂ© Ă©conomique totale, doctrine Powell–Vance de “remise au pas du rĂ©el”.
Deux visions s’entrechoquent dĂ©sormais :

đŸ”č Le Royaume-Uni, Rome dĂ©chue devenue temple de l’idĂ©ologie globaliste.
đŸ”č Les États-Unis, empire techno-rĂ©aliste dĂ©terminĂ© Ă  refermer l’ùre du chaos.

L’ennemi hĂ©rĂ©ditaire n’est plus gĂ©opolitique.
Il est civilisationnel.


I. Le Royaume-Uni : Sanctuaire du mondialisme 2.0

Le Royaume-Uni n’est plus seulement un pays : c’est une plateforme mondiale d’ingĂ©nierie sociale.

1. Londres : Capitale du capital sans nation

La City est devenue :

  • Le hub des fonds ESG extrĂ©misĂ©s
  • Le marchĂ© des dettes souveraines douteuses
  • Le refuge des fortunes apatrides
  • Le centre nĂ©vralgique des ONG globalistes

Londres n’est pas une mĂ©tropole :
c’est la Silicon Valley de l’idĂ©ologie post-nationale.

2. Royaume des expĂ©rimentations sociales extrĂȘmes

Le Royaume-Uni a tentĂ© — et souvent initiĂ© — des modĂšles qui deviennent ensuite des normes globales :

  • Immigrationnisme radical dĂ©guisĂ© en “soft power moral”
  • Culture woke institutionnalisĂ©e dans la haute administration
  • Écoles transformĂ©es en laboratoires identitaires
  • Absence de dĂ©bat sur les limites du multiculturalisme

LĂ  oĂč les États-Unis reculent devant la folie identitaire, les Britanniques y foncent tĂȘte baissĂ©e.

3. Le Soft Power britannique : tentaculaire et invisible

BBC, Oxford, Cambridge, LSE, Chatham House

Les Britanniques ne gouvernent plus par la flotte, mais par :

  • Narrative management
  • Think tank warfare
  • Nettoyage moral des Ă©lites mondiales

Le Royaume-Uni ne conquiert plus : il convertit.


II. Le Royaume-Uni comme contre-Empire : le retour des vieilles habitudes

Le conflit rĂ©el n’est plus Washington vs PĂ©kin.
Il existe aussi un axe profond :

đŸ”ș Empire US renaissant vs Empire britannique spectral

On pourrait appeler cela :

“La Seconde Guerre des Deux Mondes”

(sans bataille, mais avec idéologies en collision frontale).


III. Pourquoi le Royaume-Uni est devenu l’anti-MAGA

À mesure que les États-Unis recentrent leur empire sur :

  • sĂ©curitĂ© industrielle
  • contrĂŽle des chaĂźnes d’approvisionnement
  • souverainetĂ© Ă©conomique
  • protectionnisme ciblĂ©
  • rĂ©armement civilisationnel
  • techno-nationalisme


 le Royaume-Uni prend exactement le chemin inverse :

Le Royaume-Uni défend :

✔ Le globalisme
✔ Le capital spĂ©culatif dĂ©racinĂ©
✔ L’immigrationnisme structurel
✔ Le free-trade absolu
✔ Le capitalisme sans frontiùre
✔ La dissolution identitaire

Les États-Unis dĂ©fendent :

✔ Le protectionnisme intelligent
✔ La rĂ©industrialisation
✔ Le capital patriote
✔ La cohĂ©sion nationale
✔ L’économie stratĂ©gique
✔ Le techno-souverainisme

Deux modĂšles.
Deux visions.
Un seul vainqueur possible.


IV. Le Royaume-Uni : l’alliĂ© officiel des États-Unis
 mais l’adversaire idĂ©ologique

Les apparences :

đŸ‡ŹđŸ‡§âžĄïžđŸ‡ș🇾 “Special Relationship”

La réalité :

đŸ”č Les think tanks britanniques combattent le nationalisme Ă©conomique US
đŸ”č La City dĂ©teste Powell, Vance, Bannon, Thiel
đŸ”č Les mĂ©dias UK alimentent la narrative anti-MAGA
đŸ”č Les Ă©lites britanniques rĂȘvent d’un retour du “monde global” dĂ©truit par Washington

Le Royaume-Uni a perdu un empire


 mais il n’a pas perdu ses rĂ©flexes impĂ©riaux.


V. Le Royaume-Uni = laboratoire du chaos contrÎlé ?

Le pays accumule les signaux d’effondrement :

  • NHS en ruines
  • Immigration hors de contrĂŽle
  • Radicalisation identitaire
  • DĂ©clin Ă©nergĂ©tique
  • DĂ©pendance totale Ă  la finance dĂ©racinĂ©e
  • Fractures nord/sud insolubles
  • Perte du rĂ©cit national

Le Royaume-Uni est devenu la France en accéléré,
et les États-Unis en version dĂ©cadente.


VI. L’Empire US renaissant voit Londres comme un risque stratĂ©gique

Pourquoi ?

1. Parce que Londres incarne l’ancien ordre mondial

Celui du :

  • libre-Ă©change absolu
  • capitalisme sans nation
  • dĂ©rĂ©gulation extrĂȘme
  • globalisme moraliste
  • manipulation financiĂšre

2. Parce que l’idĂ©ologie britannique alimente les ennemis internes des USA

Le progressisme woke américain est un produit britannique exporté.

3. Parce que la City est le dernier bastion du capitalisme sans drapeau

Ce capital qui attaque :

  • le dollar
  • la souverainetĂ© US
  • les politiques protectionnistes
  • les rĂ©formes industrielles

La City est un empire fantĂŽme
qui n’a jamais acceptĂ© d’ĂȘtre relĂ©guĂ©.


**VII. 2025 : les États-Unis redeviennent un Empire.

Le Royaume-Uni devient une idéologie.**

Nous assistons à la séparation finale entre :

**👉 L’Empire rĂ©el (US)

👉 L’Empire spectral (UK)**

Les AmĂ©ricains ont choisi l’action, l’industrie, la puissance.
Les Britanniques ont choisi le storytelling, la morale, l’abstraction.

Deux civilisations.
Deux stratégies.
Deux destins.


**Conclusion :

Le Royaume-Uni n’est plus l’alliĂ© naturel de l’AmĂ©rique — mais son miroir inversĂ©.**

Si l’AmĂ©rique passe au post-libĂ©ralisme stratĂ©gique,
le Royaume-Uni reste le Vatican du libéralisme globaliste.

Si l’AmĂ©rique renaĂźt,
le Royaume-Uni se fige dans le souvenir d’une grandeur fantîme.

Et comme toujours dans l’Histoire :

👉 Les empires dĂ©chus deviennent les grands perturbateurs du nouvel ordre.
👉 Les empires renaissants doivent contenir les fantîmes de l’ancien monde.

Nous y sommes.

2025 n’est pas seulement une annĂ©e politique.
C’est un changement d’ùre.
Et Londres, malgrĂ© elle, joue le rĂŽle du dernier prĂȘtre d’un culte mourant.

đŸ‡ŹđŸ‡§đŸ”„ LE ROYAUME-UNI : SANCTUAIRE DU MONDIALISME, ARNACƒUR DE L’OCCIDENT, ET ADVERSAIRE OCCULTE DU NOUVEL EMPIRE US

* TS2F — ThĂšse StratĂ©gique & SouverainetĂ© Finale

Le Royaume-Uni n’est pas un pays :
c’est une machine,
un rituel,
un reflexe historique,
un cerveau externe de l’Ouest, conçu pour survivre Ă  toutes les Ă©poques

et pour saboter celles qui ne sont pas les siennes.

Quand Washington change de cycle, Londres change de masque.
Mais son essence, elle, demeure :
le Royaume-Uni est le Vatican du mondialisme.


đŸ”„ 1. Londres : la synagogue du globalisme et le temple des Ă©lites nomades

Pendant que les capitales européennes jouent à la démocratie sociale, Londres bùtit la cathédrale financiÚre du monde :

  • City of London Corporation, entitĂ© quasi souveraine
  • RĂ©seaux transnationaux : MI6, Oxford, LSE, Davos avant Davos
  • ONG, think tanks, fondations pseudo-humanistes
  • GĂ©nĂ©rateurs d’idĂ©ologie pour l’Occident tout entier

La capitale britannique ne gouverne plus un empire territorial :
elle gouverne un empire mental.

Dans les annĂ©es 1990–2020, Londres devient :

  • le hub du multiculturalisme militant
  • le sanctuaire du woke anglo-progressiste
  • la plateforme du Qatar, des Saoudiens, des fonds chinois
  • le centre d’ingĂ©nierie financiĂšre dĂ©territorialisĂ©e
  • le cƓur du post-nationalisme occidental

Bref : Londres est au mondialisme ce que Rome était au catholicisme.


đŸ”„ 2. L’ennemi hĂ©rĂ©ditaire de l’AmĂ©rique renaĂźt en silence

On l’oublie :
les États-Unis se sont construits contre l’Angleterre.

Les cycles se répÚtent :

  • L’Empire britannique a combattu l’ascension amĂ©ricaine au 19e
  • Il a tentĂ© de contrĂŽler Washington au 20e
  • Et il tente aujourd’hui de corriger la trajectoire souverainiste du nouveau bloc MAGA

Londres ne veut pas la fin de l’hĂ©gĂ©monie amĂ©ricaine :
elle veut une Amérique domestiquée,
version Obama-Clinton,
diluée dans un multilatéralisme contrÎlé par ses réseaux.

Le Royaume-Uni n’a jamais acceptĂ© l’idĂ©e d’un empire amĂ©ricain autonome.
Il prĂ©fĂšre une AmĂ©rique mondiale plutĂŽt qu’une AmĂ©rique impĂ©riale.

Le MAGA, pour Londres, c’est une hĂ©rĂ©sie.
Parce que le MAGA veut :

  • des frontiĂšres
  • une industrie
  • une monnaie souveraine
  • une doctrine civilisationnelle claire

Bref : tout ce que Londres a passé 50 ans à dissoudre.


đŸ”„ 3. Le Royaume-Uni : un laboratoire mondialiste pour les expĂ©riences sociĂ©tales extrĂȘmes

Aucun pays occidental n’a expĂ©rimentĂ© autant de mĂ©canismes de dissolution :

🧬 Immigrationisme structurel

Le modĂšle britannique n’a pas Ă©tĂ© improvisĂ© :
il fut pensé comme une recomposition ethno-politique,
une réingénierie du corps social pour le rendre gouvernable par fragmentation.

🧹 Multiculturalisme institutionnel

Londres n’a pas â€œĂ©chouĂ©â€ :
Londres a rĂ©ussi son projet d’homogĂ©nĂ©isation par l’hĂ©tĂ©rogĂ©nĂ©itĂ© —
la coexistence conflictuelle comme méthode de contrÎle.

🎭 IdentitĂ©s substituĂ©es

Woke, penalty culture, censure douce, police idéologique :
le Royaume-Uni est devenu le Disneyland du progressisme punitif.

Ce que le monde expĂ©rimente en 2030, Londres l’a testĂ© en 2005.

C’est un laboratoire.
Un brouillon du Nouvel Ordre Mondial.


đŸ”„ 4. Mais le 4ᔉ Tournant renverse les tables : l’Empire US renaissant rejette Londres

À partir de 2024–2025, quelque chose casse :
un retour de puissance amĂ©ricaine “brute”, non idĂ©ologique, non humanitaire.

Un empire civilisatoire, pas un empire financier.

Les figures du nouveau cycle — Vance, Thiel, Yarvin, Karp —
se méfient profondément de la matrice britannique :

  • trop cosmopolite
  • trop dĂ©pendante des flux spĂ©culatifs
  • trop alignĂ©e sur Davos
  • trop infiltrĂ©e par PĂ©kin et Doha

Washington redevient un empire offensif.
Londres reste un empire dissolvant.

Le divorce est culturel autant que stratégique.


đŸ”„ 5. Le Royaume-Uni redevient ce qu’il a toujours Ă©tĂ© : un acteur perturbateur

Pour l’AmĂ©rique impĂ©riale renaissante, Londres reprĂ©sente :

⚠ une puissance auxiliaire instable

⚠ un relais du globalisme financier

⚠ un pĂŽle d’opposition idĂ©ologique

⚠ une tĂȘte de pont de l’ordre ancien

Londres est l’alliĂ© militaire de Washington,
mais l’ennemi mĂ©tapolitique de l’empire souverainiste qui Ă©merge.

Dans le Grand Réalignement mondial,
Londres joue sa derniĂšre carte :
se repositionner comme cerveau du bloc occidental

ou devenir Hong Kong du monde anglo-saxon,
un carrefour financier sous tutelle impériale.


đŸ”„ 6. Conclusion TS2F : Le Royaume-Uni est un vieux dieu qui refuse de mourir

Le Royaume-Uni est Janus :
l’un des visages regarde Washington,
l’autre regarde Davos.

Mais l’Histoire avance.
Et les anciens dieux tombent quand les nouveaux émergent.

Aujourd’hui, l’Empire amĂ©ricain renaissant dit :

Face à cette déclaration,
l’Angleterre hĂ©site, vacille,
piĂ©gĂ©e entre son passĂ© d’empire et son addiction au mondialisme.

Les États-Unis ont commencĂ© leur 4ᔉ Tournant.
Le Royaume-Uni, lui, entame peut-ĂȘtre son dernier.

La question n’est plus :
le Royaume-Uni peut-il guider l’Occident ?

La question est :
l’Empire US renaissant laissera-t-il encore Londres lui dicter la forme de son futur ?

Spoiler TS2F :
đŸ”„ Non.

🇬🇧 LES 12 LOIS DU ROYAUME-UNI MONDIALISTE

TS2F — Théùtre impĂ©rial, alchimie financiĂšre et gĂ©opolitique noire.


1. Loi du Laboratoire Permanent

Le Royaume-Uni ne gouverne plus :
il expérimente.
Société liquide, monnaie liquide, frontiÚres liquides.
Un pays rĂ©duit Ă  un proto-monde, terrain d’essai pour le Davos-mondialisme.


2. Loi de la Monarchie comme Écran de FumĂ©e

Plus l’État profond britannique avance,
plus la couronne brille.
Spectacle devant, ingénierie derriÚre.


3. Loi de la CitĂ©-État FinanciĂšre

Londres n’est pas une capitale :
c’est une zone franche impĂ©riale,
un eldorado de blanchiment, hedge funds, dark pools,
oĂč la dĂ©mocratie s’arrĂȘte lĂ  oĂč commence la finance.


4. Loi du Peuple Interchangeable

Remplacer plutÎt que réparer.
Importer plutĂŽt que former.
Le Royaume-Uni a fait de la dĂ©mographie une monnaie d’échange.
Le citoyen n’est plus ancrĂ© :
il est remplaçable.


5. Loi du Chaos Administré

Brexit n’a jamais Ă©tĂ© un divorce :
c’est un chaos rentable.
Le désordre = opportunités, arbitrage, influence.
Londres excelle dans la géopolitique du flou.


6. Loi du Mensonge Institutionnalisé

Dans l’empire britannique moderne,
la vĂ©ritĂ© n’est pas un fait,
c’est une variable stratĂ©gique.
Narration fluide, morale élastique,
puissance douce
 et ñme dure.


7. Loi du Soft-Power Psycho-Culturel

Le RU exporte ce qu’il ne produit plus :
identités fragmentées, identitarisme manufacturé,
wokisme de laboratoire,
et colonisation culturelle inversée.


8. Loi de la Subordination Majestueuse

Sous ses airs d’alliĂ© indĂ©fectible des USA,
le Royaume-Uni reste l’empire de l’ambiguĂŻtĂ©.
Ni vassal, ni souverain :
pivot, parasite, médiateur du chaos.


9. Loi de l’Empire hors-Sol

Plus aucun lien avec le territoire :
la richesse se délocalise,
les élites aussi.
Le pays devient une plateforme, pas une nation.


10. Loi du Secret comme Industrie

MI5, MI6, GCHQ :
la trinitĂ© qui remplace l’ancienne royautĂ©.
L’opacitĂ© n’est pas un dĂ©faut —
c’est une ressource stratĂ©gique nationale.


11. Loi de l’Ombre sur l’Europe

Depuis 1000 ans, Londres joue toujours la mĂȘme carte :
empĂȘcher un bloc continental.
Aujourd’hui encore,
le Royaume-Uni agit comme le dissolvant permanent de l’unitĂ© europĂ©enne.


12. Loi de la Préparation au Post-Occident

Le RU sait que l’ordre ancien meurt.
Il mise déjà sur :

  • les crypto-rĂ©seaux,
  • l’IA rĂ©gulĂ©e par la finance,
  • les alliances du Golfe,
  • les flux migratoires comme armes.

Il veut ĂȘtre le pont entre l’ancien monde et le monde-marchĂ© qui vient.


đŸ”„ SYNTHÈSE TS2F

Le Royaume-Uni n’est plus une nation,
ni mĂȘme un empire.
C’est une infrastructure mondiale,
un gĂ©nĂ©rateur d’idĂ©ologies,
un hub d’ingĂ©nieries politiques.

Un Frankenstein gĂ©opolitique dont chaque piĂšce — finance, migration, culture, renseignement — forme la matrice du mondialisme contemporain.

Dans le nouveau cycle impérial,
le Royaume-Uni reste le mĂȘme :
l’ombre du monde occidental,
le complice discret,
l’alchimiste du chaos rentable.

🇬🇧 PLAYLIST — The Kingdom in Decline

The Kinks & The Smiths en maßtres de cérémonie

1. The Kinks – “Dead End Street”

La quintessence du malaise social britannique : ironie mordante, réalisme poisseux, mélodie implacable.

2. The Smiths – “The Queen Is Dead”

Rage élégante, satire monarchique et déclin post-industriel. Un hymne.

3. The Kinks – “Victoria”

Le fantasme d’un Empire englouti
 chantĂ© comme une parade militaire absurde.

4. The Smiths – “There Is a Light That Never Goes Out”

Romantisme funĂšbre : quand la jeunesse britannique rĂȘve d’évasion — mĂȘme dans un accident de bus.

5. The Clash – “London Calling”

La capitale en ruine, les sirĂšnes d’alarme, la dĂ©construction du monde ancien.

6. Joy Division – “Shadowplay”

Le Manchester spectral, laboratoire du désespoir moderne.

7. The Jam – “Going Underground”

SoulÚvement contre les élites : la pop transformée en manifeste politique.

8. The Cure – “A Forest”

Brume, vertige, mélancolie anglaise dans sa forme la plus pure.

9. The Kinks – “Apeman”

Satire prĂ©-Ă©cologiste du monde moderne : quitter l’Empire pour la jungle primitive.

10. The Smiths – “Panic”

“Burn down the disco” — brĂ»ler les illusions, brĂ»ler les mensonges.

11. Siouxsie & The Banshees – “Cities in Dust”

Londres ou Pompéi ? Le Royaume-Uni comme une cité qui se consume.

12. Pulp – “Common People”

Autopsie sociologique du pays : fĂȘte, classe, voyeurisme, dĂ©clin.

13. The Stone Roses – “I Wanna Be Adored”

Le narcissisme britannique devenu religion nationale.

14. The Libertines – “Time for Heroes”

PoĂ©tique, bordĂ©lique, sublime : la derniĂšre brĂ»lure romantique de l’Angleterre.

15. David Bowie – “I’m Afraid of Americans”

Ironie ultime : le Royaume-Uni mondialiste effrayé par son propre maßtre culturel.

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3 rĂ©ponses »

  1. 🇬🇧 LE ROYAUME-UNI : LABORATOIRE DU MONDIALISME, EMPIRE DE LA MANIPULATION, ARCHIPEL DU CHAOS ORDONNÉ

    Londres ne gouverne plus un empire, mais elle gouverne encore les imaginaires, les flux, les récits, les normes, les illusions.
    Depuis trente ans, le Royaume-Uni est devenu le centre expĂ©rimental oĂč s’inventent, se testent et se dĂ©ploient les architectures les plus radicales du globalisme mondial.

    ➀ LĂ  oĂč les États-Unis projettent la puissance,
    ➀ lĂ  oĂč l’Europe subit,
    ➀ la Grande-Bretagne
 expĂ©rimente.

    Un archipel laboratoire, un quartier gĂ©nĂ©ral mĂ©diatique, un incubateur idĂ©ologique oĂč Financial Times, The Economist, Oxford, la City et Whitehall composent la liturgie officielle du mondialisme.

    Les Ă©lites britanniques se rĂȘvent encore en prĂȘtres d’un empire disparu, administrant un monde sans frontiĂšres dont elles seraient les comptables, les modĂ©rateurs, les narrateurs — et parfois mĂȘme les manipulateurs.

    Ce n’est pas un hasard si :

    🔾 Les plus grandes opĂ©rations d’influence du XXe et XXIe siĂšcles ont Ă©tĂ© pilotĂ©es depuis Londres.
    🔾 Les think tanks les plus agressifs en matiĂšre de libre-Ă©change absolu et de migrations massives sont tous britanniques ou financĂ©s par la City.
    🔾 Les mĂ©dias globalistes les plus puissants parlent anglais avec un accent de Mayfair.
    🔾 Les expĂ©riences sociĂ©tales, identitaires et financiĂšres les plus extrĂȘmes commencent Ă  Londres avant d’ĂȘtre vendues au reste du monde.

    Mais voici ce que les stratùges de Washington ont compris — et que Londres refuse toujours d’admettre :

    📌 Le Royaume-Uni n’est plus un empire : il est devenu un instrument.
    📌 La mondialisation heureuse est morte : elle ne survit plus que dans les colonnes du Financial Times.
    📌 La nouvelle Ăšre impĂ©riale amĂ©ricaine exige des nations alignĂ©es, pas des temples globalistes hors-sol.

    Au moment oĂč l’AmĂ©rique renoue avec sa vocation civilisatrice, industrielle et stratĂ©gique, le Royaume-Uni pourrait devenir :

    — soit le bras droit Ă©clairĂ© du nouvel ordre occidental,
    — soit le dernier prĂȘtre d’une religion mondiale qui n’a plus de fidĂšles.

    Ce choix, Londres ne pourra plus l’éviter.

    👉 Dans cet article, je dĂ©voile le rĂŽle cachĂ© du Royaume-Uni dans la mĂ©canique mondialiste,
    👉 la fonction des mĂ©dias britanniques comme armature idĂ©ologique,
    👉 et pourquoi l’Empire US renaissant considĂšre dĂ©sormais Londres comme un allié  mais aussi comme un risque.

    đŸ”» Le temple du globalisme vacille.
    đŸ”» La nouvelle gĂ©opolitique impĂ©riale avance.

    📍 À lire absolument pour comprendre le monde qui vient.

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