Etats-Unis

Polo Drug-man (alias Paul Krugman) : indicateur contrarian ou girouette compulsive ???

Visiblement à l’image de son compère Pourriel Roubignoles (alias  Nouriel Roubini) Polo ne sait plus ou donner de la boussole : désormais pour lui un seul dogme, un seul leitmotiv : à voile ou à vapeur, qu’importe !!!! pourvu qu’on ait l’ivresse…  Remarquez de cette manière il est sur de ne jamais se tromper !!!! 🙂

PLUS DE DETAILS EN SUIVANT :

Le 19/5/09

PAUL KRUGMAN: le plus dur de la crise est passé

Le plus dur de la crise économique mondiale est sans doute passé, mais une reprise rapide est peu
probable en raison de l’endettement massif, a jugé mardi  19 Mai à Séoul le prix Nobel d’Economie américain
Paul Krugman. «Je partage l’optimisme de certains qui estiment que le plus dur est sans doute passé», a déclaré M. Krugman lors d’un forum financier international. Différents indicateurs laissent à penser que le rythme du déclin économique s’est ralenti, a expliqué le prix Nobel, professeur
d’économie à l’Université de Princeton. Le crédit est reparti, soutenu par les interventions de la Fed
et d’autres banques centrales, a-t-il remarqué. Mais selon M. Krugman, parler de reprise  économique est encore prématuré en raison de la dette excessive qui pèse sur le système financier et sur les ménages, dans le monde entier.

ET QUELQUES JOURS AVANT :

Le 14/05/2009 à 11:15 –

L’économie mondiale va rester déprimée pendant au moins dix ans, prévient Paul Krugman

Si certains économistes assurent que la conjoncture va s’améliorer dans les mois à venir, Paul Krugman ne l’entend pas de cette oreille. Le prix Nobel d’économie 2008 s’attend à ce que la prochaine décennie soit très difficile. « Je suis très optimiste sur l’état du monde, disons, en 2030 », a-t-il déclaré aujourd’hui, rapporte Bloomberg. Pour lui, la récession vient simplement de terminer sa première phase.

Krugman ne considère pas la crise actuelle comme un « remake » de la Grande dépression. Il établit plutôt un parallèle avec la situation du Japon dans les années 90. La deuxième puissance mondiale souffrait à l’époque d’un déficit élevé, d’une demande faible et de problèmes entourant son système financier. L’économiste opte donc pour une récession en L, c’est-à-dire que l’activité resterait déprimée pendant une longue période.

Merci a Amaury pour avoir su dénicher cette dernière imposture :

http://serumdeliberte.blogspot.com/2009/05/paul-krugman-l-imposteur.html

IMPOSTURE PRECEDENTE :

http://leblogalupus.com/2009/05/13/polo-drug-man-nouvel-indicateur-contrarian/

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