Certaines régions sont riches, d’autres pauvres. Selon Jeffrey Sachs, directeur de l’Institut de la terre et keynésien notoire, tout est affaire de géographie et de météorologie. Au contraire, tout dépend des institutions et d’abord d’élections libres, rétorque Daron Acemoglu, professeur au MIT, et détenteur de la «Clark Medal» dans le magazine Esquire.
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Il prend l’exemple de la ville de Nogales, coupée en deux par la frontière entre le Mexique et les Etats-Unis. Ni la géographie ni la météo ne font la différence entre richesse et pauvreté. Pourtant le revenu moyen est de 30 000 dollars d’un côté, 10 000 dollars de l’autre. Les infrastructures de santé sont correctes d’un côté et non de l’autre. De fait, la loi et l’ordre règnent d’un côté et non de l’autre. L’individu a besoin d’institutions solides pour entreprendre sans craindre pour sa vie et sa sécurité. Nogales est un exemple, mais l’on pourrait aussi citer Singapour, devenu riche dès que le droit de propriété a été garanti et que le commerce a été encouragé…
EN COMPLEMENT : http://www.wikiberal.org/wiki/Daron_Acemoglu (cliquez sur le lien)
http://leblogalupus.com/2009/11/11/le-cout-humain-du-refus-des-reformes-liberales/ (cliquez sur le lien)
Je ne sais pas si vous vous rendez compte que vous dites dans le meme article une chose et son contraire…
En haut: “tout dépend des institutions et d’abord d’élections libres”
Et vous parlez ensuite de Singapour… Va comprendre Charles (Gave?)…
Pour le reste vous êtes quand même d’une mauvaise foi rigolote. Continuez!!