L’ Après : Le pourquoi du comment !
Les élections US sont un point d’orgue des enjeux mondialistes en conflit avec la puissance hégémonique de l’empire américain. Quelques petits rappels semblent nécessaires.
Les américains sont culturellement et majoritairement des nationalistes patriotes, un peu lourdingue parfois, mais terriblement attachés aux valeurs qui ont forgé leur histoire, leur réussite et donc à leur constitution. L’ « Américan First » de Trump résume à lui seul ce propos.
Il n’y aura pas de « Grand Reset » Mondialiste sans l’accord des États-Unis. Un point c’est tout. C’est cela la Puissance et c’est ce qui fait toute la différence avec les autres Nations, Chine, Russie ou Organisations gouvernementales comme l’Europe. Donc, pour établir un rapport de force, il faut que les mondialistes se regroupent et surtout affaiblissent l’ogre US, d’où les multiples déstabilisations que nous constatons actuellement.
Cette Puissance US, il faut déjà bien la mesurer, tant son emprise est tentaculaire et possède déjà une bonne partie des mondialistes eux-mêmes … !!! Rien ne sert d’aller lui chercher des noises avec avec un casse tête.
Pour jouer avec les Ricains, c’est simple : 5 pour moi, 10 pour toi et 1 pour p’tit François, le fameux Gagant-Gagnant et celui qui creuse…
Cela peu paraître tribal, voir simpliste, mais c’est impératif d’en prendre notes, sous peine de tomber au fond d’un trou…
Hors, nous sommes dans un tournant historique, amorcé par la crise 2007-2008, et qui remet en cause nos équilibres, organisations et structures sociétales, d’où la panique dans la fourmilière humaine.
La virtualisation monétaire face aux dettes perpétuelles n’a aucune chance d’aboutir sans le contrôle total et absolu des US. La corruption, paradis fiscaux et autres pratiques mafieuses commencent à comprendre le piège du nouveau système qui prend forme sous nos yeux ébahis. Le Covid démontre que certains préfèrent arrêter de jouer, refermant par la même occasion ce piège tendu ou nul ne pourra facilement disparaître sans l’accord US…
Si cela vous paraît complètement farfelu et tiré par quatre épingles, c’est que vous n’avez pas suivi les évolutions et mutations réseaux ces 4 dernières années et que vous êtes toujours branchés sur RadioTV Bravo-France-Macron, qui se fera réélire avec 80% des voix, grâce à son bilan désastreux et face à une non-opposition islamiste de la « charia pour tous ».
Pour le coup de Trafalgar, demandez Assange… C’est peut-être la seul grosse erreur de Trump !
“Pour le coup de Trafalgar, demandez Assange… C’est peut-être la seul grosse erreur de Trump !”
Cela demande quelques précisions que voici.
Alors que les fack news envahissent la toile d’une manière exponentielle et de mieux en mieux réalisée, Wikileaks et son digne représentant Assange, apporte avant l’heure une réponse à la hauteur des enjeux.
Pourtant (respirez…), depuis que cette histoire est devenue politique, ce n’est ni Assange, ni Wikileaks qui sont le centre de cette affaire ! (soufflez…)
Aussi (respirez…) l’acharnement sur sa personne, ne représente plus aucun intérêt, ni de justices, ni de journalismes, ni quoi que ce soit d’autre. (soufflez…)
Assange c’est l’histoire d’un condamné par procuration…, d’un martyre au sens noble du terme… d’un messager exemplaire flingué pour l’exemple ! d’un courageux abattu par la lâcheté de nos institutions ! Oui, c’est nous les responsables, collectivement certes, mais nous tous, les donneurs de leçons, pris dans notre amour aussi propre qu’une merde à mouche au fond d’un trou.
Mais l’enjeu est ailleurs, puisque c’ est politique…Assange est devenu une simple et vulgaire monnaie d’échange, dans un petit jeu “tu me tiens, je te tiens par la barbiche” d’un pays qui n’est même pas le sien ou démocrates et républicains ont des comptes à se rendre pour affirmer haut et fort la main gauche sur le cœur et la main droite sur la bible, qu’ils sont les dignes représentants élus de la populace.
Mais là n’est pas l’erreur…ce bipartisme n’est qu’un monopartisme déguisé qui a imposé et exporté son fonctionnement pendant que les fonctionnaires non élus se régalent du régalien. Et là nous commençons à toucher du doigt quelques choses de plus profond…, à l’heure ou les réseaux bousculent la donne.
Assange est otage politique de pratiquement toutes les nations de cette planète et abandonné pas son propre Pays !
Aussi, ne pas rendre grâce à Assange devient dangereux, extrêmement dangereux. La technique appartient d’abord et avant tout aux techniciens, eux mêmes, qui par âmes et consciences, n’ont plus trop envie de jouer à un petit jeu malsain, comme tous les Snowden par exemple.
Et ils sont nombreux, de plus en plus nombreux, ceux capables de retourner les armes contre leurs propres camps. Toutes les professions confondues (militaires, policiers, juges, journalistes, et bien d’autres) sont directement concernées par les dysfonctionnements actuels.
Je rappelle que les réseaux, bien qu’ayant une origine militaire, restent majoritairement une construction civile et que des groupes comme Google et consorts possèdent des outils et une puissance de frappes hors normes…Que les outils ne sont pas toujours utilisés pour ce à quoi ils ont été créés. Que les répercutions des attaques en tous genres ne sont pas forcément informatiques. Que la blockchain, par ex, a de multitudes applications encore non développées. Que la 5G n’est qu’une suite logique de tout ce que nous connaissons et avons vécu aujourd’hui…Bref, disait pépin, le discernement est sous-estimé et les politiques sont complètement déconnectés par essence. No Way for you, Ils sont en première ligne et ils le savent !
Une autre erreur politique, elles sont si nombreuses, c’est de ne pas reconnaître simplement “Houston nous avons un problème”. L’autodémerde devient la norme, les lois ne servent plus à rien, les dysfonctionnements augmentent, la planète devient ingérable, les peuples sont livrés à eux-mêmes et à la barbarie qui se développe.. Alors, et c’est un comble, que les solutions à la wikileaks se développent et sont devenues courantes, que nous avons besoin de réseaux fiables pour notre développement commun.
Enfin, ce n’est pas très glorieux et même franchement petit d’avoir tiré partie d’un Wikileaks, d’en avoir profité, et d’être incapable de rendre la monnaie. Ok, la politique a ses raisons que la raison d’État ignore, mais faut arrêter de pousser mémé dans les orties.
Assange est rentré dans l’histoire, que cela nous plaise ou non. Alors de grâce, achevez-le à nos risques et périls et autres intérêts bien compris, off course…
Allo Londres, ici le Monde parle aux mondes…