De la « Blanchitude » à la Négritude
« Un article écrit par un nègre-blanc dont le sang charrie de la latérite mélangée aux senteurs du rythme des moussons et des moussos; des particules encore restantes d’un amour profond qui fut offert à ce continent! »
Écrire sur l’Afrique Noire francophone, ce qu’elle fut, ce qu’elle est devenue, les implications politiques et géo-stratégiques qui entraînent l’immigration de masse, n’est pas chose aisée pour moi, ayant aimé ce continent dans les tripes, y étant né, y ayant vécu de longues années, en étant parti et y étant revenu sous de tristes cieux. Je ne ferai donc qu’un constat des lieux.
Je n’aborderai pas le discours péremptoire de ceux qui se croient autorisés à une diarrhée verbale sur lui, par ce qu’ils auraient pu en lire ou en voir, en cartes postales dignes des images d’Épinal !
De même, l’analyse sera mienne avec, pour seule prétention celle liée au vécu et non celle tirée d’ouvrages de quelques bords que ce soient ! Des reporters, des écrivains ont beaucoup écrit sur le sujet, certains avec bonheur, d’autres en parfaits ignorants. Elle ne sera donc que celle d’un petit homme qui se croit autorisé à la faire.
L’Afrique est un continent qui se respire, qui se hume, dans lequel il faut avoir vécu longuement et avec les Africains, pour en connaître les fondements d’aujourd’hui. Elle fut sauvage, dans tous les sens du terme, magnifique et toute aussi cruelle !
Je vais tenter, ici, avec des mots simples de retranscrire ce que je sais de cette ancienne Afrique et ce que je crois savoir de l’actuelle, toutes choses égales par ailleurs, dont les envahisseurs n’ont d’autres but que celui de notre éradication !.
Avant que ne soient soulevés les dogmes rabâchés sur l’esclavage, je fais juste cette mise au point rapide que je juge indispensable et sur laquelle je ne reviendrai pas, ne considérant pas mes compatriotes, ni moi-même, comme de « sales blancs » !
L’esclavage inter-ethnies est pratiqué depuis toujours, ses origines remontant, à la nuit des temps et aux vouées haines aussi nombreuses que le sont les dites ethnies vivant dans chaque pays, où les dialectes font murs de séparations, de ségrégations, dans ce qui n’est pas le meilleur des mondes !
Quelqu’un qui parle de l’esclavage pratiqué par les blancs et les arabo-musulmans avec une grande connaissance ; je lui cède donc la place :
« La traite européenne, la plus connue donc, débute au XVI ème siècle pour s’achever au début du XIX ème siècle. La seconde, arabo-musulmane, commence au IX ème siècle, 700 ans plus tôt, et se termine, pour l’essentiel, à la fin du XIX ème siècle, avec la colonisation de l’Afrique. Une colonisation qui va permettre de rendre effective l’abolition de l’esclavage en contrôlant les territoires auparavant livrés aux esclavagistes musulmans.
La traite musulmane a concerné trois vastes régions de l’Afrique noire, qui étaient autant de pôles d’expansion commerciale.
La traite arabe présentait deux différences importantes avec la traite atlantique :
– Alors que les européens ne participaient ni aux opérations de chasse, ni à l’acheminement des « prises » vers les points de vente, se contentant de prendre livraison des esclaves dans quelques comptoirs littoraux, les arabo-musulmans sont eux le plus souvent directement impliqués dans les deux actions, contrôlant souvent les routes d’acheminement. –
– Alors que la traite européenne porte avant tout sur des hommes, en état de travailler dans les plantations, la traite musulmane vise d’abord les jeunes femmes puis les enfants, avant de s’intéresser aux hommes, qui présentaient bien sûr un intérêt pour certaines cultures, notamment le giroflier à Zanzibar. » (Source : http://hoplite.hautetfort.com/archive/2007/09/02/esclavagisme-musulman.html)…FIN.
L’Afrique francophone d’antan :
Les peuplades vivaient primitivement – ceci dit sans connotation péjorative – de pêche, de chasse, de cueillette, de simples cultures vivrières, le taux de mortalité y était très élevé…Puis les travailleurs blancs sont venus avec leurs sciences, leurs bonnes intentions d’aider l’Afrique, pour, au bout du compte y apporter, malgré eux et par le truchement d’une politique étatique suicidaire, ce que j’appelle la négritude ou le dit « complexe du nègre » à l’époque post-coloniale.
Dispensaires, prophylaxies humaines et vétérinaires…Routes, écoles, bâtiments, infrastructures de services tant maritimes que fluviales que continentales, puis hôpitaux, dons immenses de médicaments, quasi éradication de la maladie du sommeil, très rares cas de variole, malaria et paludisme en très nette régression, rage de plus en plus contrôlée, etc, etc…Explosion démographique à venir sur tout le continent !
Les croyances y étaient animistes ; nous portâmes l’évangélisation forcenée, brisant du même coup nombre de leurs coutumes ancestrales sans pour autant enrayer le cannibalisme et les rites sacrificiels !
Un Paradis sur terre ? Presque…Blancs et noirs se côtoyaient, sans haine, l’amitié et le respect étaient mutuels. Le Blanc dirigeait et travaillait, le Noir savait que le Blanc savait et il bossait sous ses ordres…Il l’admirait…Ceux qui prétendaient que les Noirs étaient des gens idiots et paresseux étaient ceux qui ne connaissaient rien de l’Afrique Noire, de ses coutumes et de ses richesses nutritionnelles avérées à cette époque
Ces mêmes personnes commirent et commettent toujours l’énorme erreur de comparer l’Afrique à l’Occident.
Il suffisait de lancer un quelconque objet dans un manguier pour avoir des mangues, de se baisser pour cueillir un ananas, de planter un bâton pour qu’il pousse !!!! Pêcher ? Un bout de ligne quelconque, une simple épingle de nourrice, oui , je dis bien une simple épingle de nourrice, lorsque l’hameçon était absent et la pêche devenait toute aussi miraculeuse ; un lancer d’épervier et c’était 15 kg de poisson qui partaient nourrir le village !
Tout y était en une incroyable abondance ; il fallait vivre là-bas pour le croire ! Il m’est arrivé, par un simple coup de pagaie de faire rentrer du poisson dans mon frêle esquif !
Contrairement à celle de l’Occident, la vie y était d’une telle facilité que les Noirs n’avaient pas le besoin ni l’envie de travailler ! Chaque pays était auto-suffisant ; bien-être qui fit de la race noire une race de non bâtisseur et d’êtres paresseux, à nos yeux.
Le noir était un crétin ? Là encore une idée toute faite et savamment entretenue par les dirigeants des occidentaux qui, une fois de plus entament des comparaisons là où cela ne se peut pas, mais comparaisons servant à nous maintenir dans la désinformation !
Lorsque nous arrivâmes en Afrique, celle-ci vivait dans ce paradigme, le passé indéfini : du « pré-colonial ». Les Noirs étaient différents, simplement différents ! Une différence qui ne peut s’ accommoder avec une civilisation blanche ayant des siècles d’avance technologique ! On ne passe pas de la sagaie à l’hélicoptère de combat sans transition !
Il fallait les voir travailler les métaux précieux, créant de véritables œuvres d’art, travaillant avec une égale habileté l’ébène pour en faire des statuettes, réparer à peu près tout ce qui roule à 2 ou 4 roues dans le plus grand cours magistral de système D !
J’ai assisté à la fabrication d’un piston en bois pour un vélosolex, le moteur démarra à la première poussée. Si cela est œuvre de crétin, alors, moi qui suis incapable d’une telle prouesse suis le roi des crétins ! C.Q.F.D !
NB/Au sortir de la seconde guerre mondiale, le dix-huitième souverain d’un micro-royaume de l’Ouest-Cameroun, connu par l’existence d’une écriture inventée à la fin des années 1800, créa une académie afin d’établir une nouvelle périodisation du pré-colonial, c’est-à-dire une interprétation, de l’histoire du royaume bamoun. Le résultat fut moqué par nombre de missionnaires et d’administrateurs et généralement ignoré par les scientifiques européens. C.Q.F.D, là aussi !
Il était important que les pays riches qui se gavaient du sous-sol continuent à le faire avec l’assentiment de leurs peuples qu’ils moulaient déjà : « après tout, ils étaient tellement cons ces pauvres nègres ! »
Partir de ce postulat est une offense à la réalité ! Je vous prie de croire que j’en ai connus des noirs intelligents, des noirs qui aspiraient à faire de leurs pays des nations, des noirs qui se débattirent pour le relèvement intellectuel des leurs…De rares personnes qui ne pouvaient aboutir, malheureusement !
Le noir était bon ? Encore une image d’Épinal que l’on retrouvait sur le « Banania », avec un brin de racisme non dissimulé, et dans les mentalités européennes : con mais gentil !
Gentil ? Que nenni ! Les guerres tribales y étaient féroces, ils se massacraient sans avoir besoin du blanc pour ce faire, sacrifiant rituellement et régulièrement des humains sans exceptions d’âges ou de sexes, qui pour le Dieu des crocodiles, qui pour le dieu des requins, etc, etc…Que signifie «être un sauvage » ? Au premier, au second degré ? Voire au troisième ?
Cela nous renvoie au paradigme du passé indéfini…Etions-nous plus sauvages ou moins sauvages qu’eux, à des époques pas si reculées que cela ? La différence essentielle étant que nous, nous avons su évoluer, en grande partie grâce au christianisme.
Le Blanc étant craint et la présence de vrais militaires (à l’époque) ne pouvait que refroidir toute ardeur meurtrière ! Deux Français furent cependant assassinés par flèches et bien qu’en connaissant très bien le pourquoi et le comment, je ne m’appesantirai pas sur le sujet : ces morts ayant été méritées…
Puis arriva ce fameux mai 68 qui eut de graves répercussions jusqu’en Afrique, à peine post-coloniale…Arrivée de coopérants très majoritairement de gauche qui, depuis la France, traitaient les expatriés de « sales racistes » et qui démontrèrent, outre leur crasse vestimentaire et corporelle, celle de leur idéologie ! C’est dès lors que je vis ce qu’était le vrai racisme prodigué par cet arrivage de racailles gauchiasses blanches qui traitèrent les noirs comme on ne traite pas un chien ! Eux leur rendaient bien et, souvent, crachaient à leurs pieds quand ils les croisaient !
Les noirs avaient majoritairement fini d’aimer les blancs !
Seuls les plus vieux d’entre eux avaient compris que l’Afrique ne se relèverait pas !
Ils rentraient dans leur négritude !
La magie du Blanc avait fini d’opérer, il n’était plus respectable ni respecté !
L’Afrique francophone de post-coloniale à nos jours :
Peu à peu, le visage de cette Afrique francophone se modifia, les Noirs voulant imiter les Blancs !
Vélos, Mobylettes puis motos puis voitures et confort moderne dont il ne faisaient que l’usage, incapables qu’ils furent et qu’ils demeurent de fabrications, suivant les modèles des pays évolués !…Et abandon des cultures vivrières…L’auto-suffisance alimentaire disparue au fil des années.
Aujourd’hui, elle est sous le joug féroce de l’importation alimentaire, joug dont elle est la responsable ! Elle se vendit aux plus offrants, en bonne consommatrice, n’oubliant qu’une chose, une chose essentielle, sans conteste possible : les Blancs avaient un long passé historique de créateurs, de bâtisseurs, de savants ; ils avaient su faire de leurs pays des Nations parlant la même langue en chacune d’elles ! Les Blancs sont des stratèges, elle oublia aussi cela, dans une naïveté stupide !
L’évangélisation n’y a pas vraiment fonctionné, l’animisme et ses rites sacrificiels y sont toujours de rigueur et l’Islam reprend sa conquête esclavagiste sous couvert d’Allah !
L’Afrique, à qui les Européens avaient offert les prémices d’une réelle avancée civilisationnelle, est retombée dans son état primal de passé indéfini ! Les quelques Africains dont il était question précédemment savent que leur continent est mourant par un cruel manque de volonté des dirigeants noirs avilis et vendus et par le truchement du N.O.M qui n’a de cesse d’alimenter les guerres intestines !
L’analphabétisation est repartie de plus belle, ce que nous y avions bâti est détruit, les maladies sont revenues, galopantes qui galopent à présent dans l’hémisphère Nord !
Nouveaux rois nègres mis en place par les multinationales pour ne pas perdre le bénéfice d’exploitations des richesses du sous-sol ! Combats financiers entre dirigeants français, américains, russe, syriens, libanais et ensuite chinois .
Une Afrique qui n’a pas su passer de l’indéfini au nouveau siècle, une Afrique qui a créé sa propre mise en auto-esclavage !
Une Afrique qui s’est condamnée depuis son indépendance, qu’elle est infoutue d’assumer, prétextant la férocité colonialiste, enseignée par nos élites mondialistes, pour justifier leur invasion barbare et qui justifie ainsi sa totale inaptitude à son accès au 21è siècle !
Une Afrique qui cultive la crétinisation outrancière et qui a ouvert grandes les portes aux super-cons, portes par lesquelles s’engouffre l’Islam et ses séides qui massacrent tous les mécréants, pratique courante aussi dans de nombreux pays d’Asie ! Ce continent, devenu musulman, signe la fin d’une époque et la fin actuelle de toute civilisation !
Il distille la haine du blanc jusques en Afrique du Sud (contrée qui pourtant ne dépasse pas les 2 à 3% de musulmans), le massacrant, le spoliant de ses terres, lui seul ayant la connaissance qui avait su y créer des richesses ! Depuis la fin de l’apartheid, les nègres massacrèrent les nègres et cela continue encore et encore…Qu’importe l’Islam ou sa quasi-absence, il est de bon ton de tuer du Blanc ! Ce qui me donne le droit, aujourd’hui d’écrire ; « con comme un nègre »
Nos « élites » de gauche et de fausse droite, ne l’oublions pas, lui enseignent la haine du Blanc, la repentance qui lui est due !
Pauvre Afrique que j’ai tant aimée, toi qui était noire est devenue nègre !Tu es échec et mat !
Conclusion :
En colonisant l’Afrique, nous avons creusé notre propre tombe et nous ne le voyions pas ! L’ Algérie fut le point de départ de l’effet domino.
Seules les élites financières qui dirigent le monde pouvaient savoir ou se douter des effets impliqués !
Nous subissons de longue date une invasion de migrants arabes et nègres, aux mœurs innommables, faite de vociférants, de tueurs, de voleurs, de violeurs, et au QI ne dépassant pas 2 chiffres ! Parmi eux, entrent en toute légalité des jihadistes que nous savons être des terroristes !
Mais le pays, en pleine déconfiture, n’est plus à cela près, n’est-ce pas ?
Les bien-pensants bobos et autres traîtres gauchistes les appellent « gens de couleur », ils leurs offrent la vie de leurs propres enfants, tout aussi lobotomisés : le coloriage est en marche.
La structure verticale de notre civilisation est devenue une ligne horizontale où tout se déconstruit, au début, ce fut lent, aujourd’hui c’est l’accélération des pertes de nos valeurs, de nos traditions, de notre culture ! C’est la fin de notre civilisation !
Nous n’avons plus le droit d’être chez nous, la coexistence qui ne dit pas son nom est imposée par un état totalitaire à la solde des oligarchies mondialistes. Le Grand Remplacement avance à grands pas.
Nous, nous les nommons racailles nègres et arabes qui viennent en pays conquis aux frontières grandes ouvertes pour les accueillir : « Bienvenue ! »
La majorité actuelle est musulmane ; elle n’est là que pour piller et tuer les mécréants qui ne sont plus dignes d’être considérés comme Français et (ou) chrétiens ; ceux-ci tendant, du reste, le cou sous le couteau…Ne pas reconnaître cette vérité incessamment démontrée est acte de trahison ! Mais le pays n’est plus à cela près, n’est-ce pas ?
La repentance est acquise, nos biens leur appartiennent, ils nous remplacent…A la grande joie de nos élites !
Donnant l’inéluctable indépendance à cette Afrique de l’A.O.F, de l’A.E.F, avons-nous signé notre fin !
Il eût fallu ne jamais y aller mais ce fût, alors, grande perte financière pour les exploitants !
N’oublions pas que les plus grandes civilisations ont pris fin avec la venue des barbares !
Pauvre France, toi que j’aime tant, tu es en passe, toi aussi, d’être « échec et mat », passant de la « blanchitude à la négritude »
« QUE VOTRE VIE SOIT UN CONTRE-FROTTEMENT POUR STOPPER LA MACHINE »
Si l’injustice est indissociable du frottement nécessaire à la machine gouvernementale, l’affaire est entendue. Il s’atténuera bien à l’usage – la machine finira par s’user, n’en doutons pas. Si l’injustice a un ressort, une poulie, une corde ou une manivelle qui lui est spécialement dévolue, il est peut-être grand temps de se demander si le remède n’est pas pire que le mal ; mais si, de par sa nature, cette machine veut faire de nous l’instrument de l’injustice envers notre prochain, alors je vous le dis, enfreignez la loi. Que votre vie soit un contre-frottement pour stopper la machine.
Henry David Thoreau – La Désobéissance civile (1849)
EN BANDE SON :
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