Un Agenda Mondialiste « bien sous tous rapports » du FMI – Le coupable est toujours celui qu’on a jugé… le responsable, celui que l’on a désigné ! Par Master T
L’intérêt des maîtres n’est pas en soi de faire durer le système financier. Quand bien même ceux-ci feraient-ils encore jouer leur orchestre sur le pont du Titanic mondial et que le punch monétaire coulerait toujours à flot, leur Intérêt supérieur c’est de franchir le Rubicon de ce système en fin de vie et de le faire mourir sans que les responsables véritables ne soient perçus. Le faire mourir implique un sacrifice volontaire, un acte prémédité ou celui qui sacrifie paraîtra innocent alors même qu’il aura institué les bonnes conditions pour sa pleine réalisation. L’important pour les maîtres est à la fois de détruire le système en vigueur mais aussi de s’assurer qu’ils tiendront toujours le gouvernail de leur nouveau vaisseau (nouveau système financier). Un autre aspect de leur projet est de se garantir une immunité de façade ; pour cela, il faut une situation qui soit propice au déclenchement du processus d’effondrement mais aussi des personnes toutes désignées que l’on désignera responsables pour cela. Il faut pour notre recette miracle un environnement qui se prête au scénario et des acteurs clés en main qu’on jugera unanimement responsables et coupables pour les effets indéniablement néfastes qu’ils auront provoqués…. Ainsi, personne sur ce globe ne pourra l’ignorer.
Les maîtres apatrides et globalistes veulent se débarrasser de l’Empire US et s’assurer du transfert géographique et monétaire du pouvoir financier. Le système financier actuel doit donc connaitre son hallali et cela doit être une mécanique parfaitement huilée puisqu’elle est (re)liée au destin des Etats Unis, bientôt concrètement, Désunis.
L’hystérie du congrès, des médias, des officines du renseignement US… n’est rendue possible qu’au contact détonnant du « trumpisme », une matière fissible et instable qui provoque une alchimie diabolique propre à pouvoir s’assurer la partition du pays mais aussi d’emprunter une voie expresse pour envoyer le système financier et son étalon vert, le dollar, à l’abattoir.
Les meilleurs alliés de la City sont donc Trump et l’hystérie collective qu’il provoque.
On vit une époque formidable pour l’excitation des neurones car on sent l’imminence d’un basculement vers l’inconnue, quelque chose qui aurait à voir avec notre passé lointain, suprême et vaporeuse référence dont on peine à trouver l’objet représentatif, tout en sachant bien que l’Histoire qui va s’écrire porte en elle une singularité post-moderne qui la rend insondable à la raison. Ce que la raison ne peut cerner, l’intuition le peut quand elle se trouve débarrassée du désir et de la peur.
Nous sommes donc les témoins privilégier de grands bouleversements à venir :
L’Empire joue les caïds de cité avec Poutine et Kim Jong Un comme on joue à la barbichette dans la cour d’école (le 1er qui plie a perdu).
Tandis que l’UE ne sait plus si l’Amérique de son cœur n’aurait pas perdu la tête en votant quasi unanimement des sanctions contre la méchante Russie mais donc in fine contre elle-même, elle prend des libertés qu’elle n’avait plus et dont elle ne voulait plus: elle devient frondeuse face à l’Empire.
Il en est ainsi que l’ennemi de mon ami devient mon ami et mon ami devient mon ennemi. Le congrès est mon ennemi, Trump devient hélas mon ami mais face à Kim Jong Un, Trump le guerrier Folamour est mon ennemi et Kim Jung Un devient un…ami? L’Histoire est un tourniquet qui, en accélérant, nous donne le vertige et nous fout la nausée !
En même temps que les pôles magnétiques de la Terre se déplacent lentement, ceux des alliances stratégiques font de même. L’oscillation du balancier de l’Histoire s’accompagne de cris d’orfraie diplomatiques comme de grincements de dents dans les rouages plébéiens. Tout bouge, tout migre… tout devient imperméable à la raison et les passions font moisson du vent tourbillonnant de la révolte.
Révolte en Europe par des peuples de moins en moins subjugués par leurs média et qui commencent à réaliser la trahison des politiques face à une enveloppante paupérisation, une corruption endémique ainsi qu’une immigration frénétique.
- Révolte aux USA face aux institutions politiques, à Trump, aux anti Trump…
- Révolte sourde de tout un peuple face à un Poutine jugé trop zen et docile. Le peuple exige un durcissement face à une Amérique de plus en plus haie pour son fanatisme russophobe.
- Bientôt aussi, probablement, révolte des Chinois face à une Amérique guerrière qui menace la Corée du nord de se faire atomisée alors même que la Chine est frontalière et que les radiations ne connaissent, comme les capitaux et les marchandises, que la libre circulation.
- Révolte enfin d’une partie croissante de la population mondiale qui observe le grand guignolesque de notre tragédie et qui désignera à la vindicte ces USA comme on rejette le bébé Trump avec l’eau rougeoyante du bain impérial.
L’Amérique ainsi que la finance mondiale sont toutes les 2 reliées… « religare » (1) (étymologie de « religion » pour relier) La mort des USA sera la mort du dollar et le dilemme de Triffin (2) sera enfin résolu puisque le système financier renaîtra sous une autre forme… dans un autre « corps » avec un nouveau sceptre : le Phœnix…
Trump et l’hystérie du Deep-state auront été les sacrificateurs des USA, ils paraîtront responsables aux yeux des peuples et jugés coupables aux yeux embués de l’Histoire et ceci alors même que la main de la City n’était pas si étrangère à leur funeste destin.
- https://fr.wikipedia.org/wiki/Étymologie_de_religion
- https://fr.wikipedia.org/wiki/Dilemme_de_Triffin