Ils ne viennent pas du même monde, n’ont pas la même histoire, ni la même grammaire idéologique.
Mais ils règnent désormais sur un territoire que Washington ne contrôle plus : l’empire parallèle du podcast, devenu la première zone autonome d’opinion du XXIᵉ siècle.
D’un côté, Joe Rogan, gladiateur culturel, hybride étrange entre stand-up, baroudeur, sceptique libertarien et décodeur instinctif de l’Amérique profonde.
De l’autre, Tucker Carlson, l’exilé de Fox News, devenu plus puissant hors du système que dedans, prophète en col roulé qui dissèque les mensonges officiels comme un chirurgien fou.
À eux deux, ils incarnent le nouveau duel face à l’hégémonie médiatique traditionnelle :
- Rogan : le laboratoire de l’Amérique brute, du vécu, de la parole spontanée, de l’intuition populaire.
- Carlson : le tribunal clandestin de l’empire, celui qui expose la mécanique profonde du pouvoir, le Pentagone invisible, la diplomatie de l’ombre, l’ingénierie idéologique.
Ils ne sont pas conservateurs au sens classique.
Ils sont post-conservateurs, post-partisans, post-Fox, post-CNN.
Ils parlent à une population qui a déserté les institutions, les journaux et les partis.
Ils façonnent un conservatisme liquide, polymorphe, numérique, nourri par la défiance, la fatigue civilisationnelle, la quête de sens et l’effondrement narratif des élites.
Le phénomène n’est pas médiatique.
Il est civilisationnel.
Les grands médias s’effondrent ?
Ils deviennent les nouveaux scribes.
Les experts perdent leur autorité ?
Ils deviennent les nouveaux maîtres.
L’État perd le monopole du récit ?
Ils prennent la relève.
Joe Rogan offre la agora.
Tucker Carlson offre le Catéchisme.
Les deux ensemble offrent un contre-Réseau, la dissidence organisée, la fabrique d’un nouveau bloc idéologique :
un populisme repensé, un conservatisme augmenté, un anti-globalisme structuré, un scepticisme vacciné contre la propagande.
Sur Spotify, X, YouTube, Rumble, Telegram —
ils dirigent un empire sans frontières et sans censure, un empire où le spectateur devient citoyen, où le citoyen devient acteur, où l’auditeur devient bataillon numérique.
Le futur n’appartiendra pas aux chaînes TV.
Il appartiendra à ceux qui parlent trois heures d’affilée sans filtre, sans prompteur, sans chape de plomb idéologique.
Rogan et Carlson sont les nouveaux archétypes médiatiques :
les voix souveraines d’un peuple en sécession mentale.
Le monde ancien n’a plus de prise sur eux.
Et c’est précisément pour cela qu’ils dominent.

**Joe Rogan & Tucker Carlson :
Les nouveaux maîtres de la parole dissidente
(Anatomie du renversement médiatique occidental)**
Il y a encore dix ans, ils étaient deux figures périphériques du paysage médiatique américain :
• l’un, Joe Rogan, amuseur public, commentateur UFC, explorateur psychédélique à la philosophie instinctive ;
• l’autre, Tucker Carlson, patricien conservateur, orateur chirurgical, dernière flamme idéologique de Fox News.
Deux trajectoires qui ne devaient jamais se croiser.
Deux univers séparés : le baroudeur libertarien et le tribun national-populiste.
Et pourtant, les plaques tectoniques du système médiatique se sont brisées.
Les institutions ont perdu leur monopole narratif.
La télévision s’est effondrée en direct.
Les journaux ont devenu les bulletins paroissiaux du globalisme.
Au milieu du chaos, Rogan et Carlson ont émergé non pas comme des animateurs, mais comme des autorités civilisationnelles.
Deux voix capables de parler à un Occident fatigué, fracturé, désorienté — un Occident qui ne croit plus ses propres élites.
Leur succès n’est pas un accident.
Il est le symptôme terminal d’un système mi-autoritaire, mi-fantôme, qui continue de prétendre gouverner la perception publique, alors que celle-ci s’est déjà évaporée hors de son contrôle.
I. L’effondrement de la parole “légitime”
Il faut comprendre d’abord la dynamique historique : ce n’est pas Rogan et Carlson qui ont changé.
C’est le système entier autour d’eux qui s’est désagrégé.
Depuis vingt ans, les grandes institutions médiatiques ont mené trois guerres perdues :
- La guerre contre la vérité
– armes de destruction massive imaginaires
– narratifs Covid en perpétuel rétropédalage
– scandales industriels, pharmaceutiques, financiers maquillés
– propagande climatique à géométrie variable
– censure algorithmique et télécommandée par les gouvernements - La guerre contre le réel
– nier l’évidence quotidienne
– redéfinir les mots, effacer le sens, criminaliser le désaccord
– imposer une gestion émotionnelle du monde au détriment des faits - La guerre contre le peuple
– moralisation
– condescendance
– pathologisation du désaccord
– diabolisation du scepticisme
La population occidentale a répondu de la seule manière possible : l’exil mental.
Rogan et Carlson n’ont pas conquis l’empire médiatique.
Ils se sont simplement installés sur ses ruines.
II. Joe Rogan : le gladiateur populaire
Rogan n’est pas un idéologue.
Il ne représente aucune école, aucune mouvance, aucun parti.
Il est la figure totémique du common sense américain :
un homme qui parle comme un citoyen, qui questionne comme un sceptique, qui écoute comme un humain.
Son pouvoir vient de trois leviers :
1. La durée
Son podcast dure parfois trois heures.
C’est l’antithèse absolue du monde médiatique schizoïde, qui séquence les vies en 12 secondes et 8 images.
2. La sincérité brute
Il doute, hésite, se trompe, revient en arrière.
Il n’édicte pas la vérité : il cherche.
Dans un monde de certitudes malhonnêtes, le doute est révolutionnaire.
3. L’accès
Il reçoit des scientifiques dissidents, des athlètes, des militaires, des rebelles, des acteurs, des marginaux, des philosophes, des réformateurs.
Il ne sélectionne pas selon le filtre idéologique.
Le critère est : ”as-tu quelque chose à dire ?”
Voilà pourquoi Rogan est devenu l’incarnation du peuple déconnecté :
celui qui ne croit plus la télévision, méprise les journaux, et trouve dans un studio austère plus de vérité que dans un Parlement.
III. Tucker Carlson : le procureur de l’empire
Carlson, lui, représente la contre-élite : celle qui a été expulsée du système car elle en connaissait trop bien les rouages.
Son départ de Fox News n’a pas été un déclassement.
Ce fut une libération.
À partir du moment où il a quitté l’écran contrôlé, Carlson a cessé d’être un journaliste et est devenu un juge.
Un analyste géopolitique.
Un historien de l’instant.
Un cartographe du pouvoir profond.
Sa force tient à trois éléments :
1. La précision dialectique
Carlson ne parle pas.
Il sectionne.
Il coupe les arguments adverses comme au scalpel, avec une froideur quasi scientifique.
2. L’exposition du globalisme
Là où les commentateurs répètent les bulletins du Département d’État, Carlson décrypte :
- les réseaux d’ONG
- l’État administratif
- l’empire des consultants
- les guerres exportées
- les alliances fantômes
- les sanctions qui détruisent l’économie occidentale plus que celles des ennemis désignés
3. La dénonciation du simulacre démocratique
Il révèle que les décisions majeures ne sont plus prises par les élus mais par des couches bureaucratiques interconnectées avec les multinationales, les banques et la tech.
Tucker Carlson est devenu le théoricien involontaire de la perte de souveraineté.
IV. Ensemble : la contre-hégémonie totale
Ils ne se ressemblent pas, mais ils se complètent.
Rogan représente la base.
Carlson représente la structure.
L’un parle au peuple.
L’autre dissèque l’empire.
Ensemble, ils constituent :
→ le premier réseau médiatique parallèle
Non soumis à la censure étatique, non dépendant de la publicité, non aligné sur les narratifs officiels.
→ la première sphère d’influence organique
Une galaxie d’auditeurs, d’intellectuels, de chercheurs, de lanceurs d’alerte.
→ la première force de dissidence post-institutionnelle
L’opinion publique réelle s’est réfugiée là :
hors des journaux, hors des chaînes d’info, hors des think tanks globalistes.
C’est un exode politique au sens biblique.
V. Un nouveau conservatisme liquide
Ce qui émerge autour de Rogan et Carlson n’est pas un conservatisme classique.
C’est un bloc hybride, mutant, que les médias traditionnels ne comprennent pas.
Il mêle :
- libertarianisme
- souverainisme
- anti-guerre
- techno-scepticisme
- critique du capitalisme financiarisé
- défense des libertés individuelles
- anti-globalisme
- écologie rationnelle
- culte du réel
- refus de la surveillance numérique
- méfiance envers les Big Pharma
- rejet des idéologies dissolvantes
Ce n’est plus la droite.
Ce n’est plus la gauche.
C’est la civilisation occidentale en état de survie.
VI. Le verdict : la télévision est morte, les podcasts gouvernent
Les empires ne tombent pas quand un ennemi les attaque.
Ils tombent quand ils perdent leur récit.
Aujourd’hui, ce récit n’est plus écrit par CNN, ni par le New York Times, ni par les parlements occidentaux.
Il est écrit — ou plutôt réécrit — par deux hommes dans deux studios.
Des studios sans dorure, sans téléprompteur, sans maquillage.
Juste une table, deux micros, un invité, et trois heures de dialogue.
La puissance a changé de vecteur.
Le pouvoir narratif a quitté les institutions.
Les maîtres du discours ne sont plus les éditorialistes mais les podcasteurs.
Rogan et Carlson ne sont pas les leaders d’un mouvement.
Ils sont les symptômes vivants de la fin du mensonge organisé.
Ils sont, qu’on le veuille ou non, les nouveaux maîtres de la dissidence occidentale.
Et tant que les élites s’enfonceront dans l’autisme narratif,
leurs voix continueront de monter,
de rayonner,
et de définir la réalité que l’Occident refuse encore de regarder en face.

📡 LES 12 LOIS DU PODCAST CONSERVATEUR
(Rogan • Carlson • Walsh • Shapiro • Peterson • Beck • Crowder)
1 — La loi de la parole longue
Le vrai discours commence après 45 minutes, quand le masque tombe, quand l’invité cesse de réciter le narratif institutionnel.
La télévision coupe. Le podcast révèle.
2 — La loi du réel non négociable
Les faits ne sont pas soumis aux émotions.
La réalité ne se réinvente pas par décret.
Le podcast conservateur est le sanctuaire du réel, interdit aux illusions progressistes.
3 — La loi du doute souverain
L’hôte ne délivre pas une vérité : il questionne.
Dans un monde d’opinions préformatées, le doute devient révolutionnaire.
4 — La loi de la dissidence légitime
Toute parole interdite ailleurs trouve refuge ici :
- anti-guerre
- anti-globalisme
- critique de Big Pharma
- scepticisme climatique
- libertés individuelles
Le podcast est la zone franche de la démocratie.
5 — La loi des invités interdits
Ceux que les médias désignent comme “dangereux”
sont exactement ceux que le podcast veut entendre.
La liste noire des élites devient la liste d’or du commentaire conservateur.
6 — La loi du nerf civilisationnel
Chaque sujet apparent — santé, politique, tech, guerre —
cache un thème central :
la survie de la civilisation occidentale.
7 — La loi du refus du script
Aucun prompteur, aucun éditorialiste, aucune ligne officielle.
La conversation est organique, imprévisible, vivante.
C’est le chaos contrôlé de la vérité.
8 — La loi du peuple contre l’empire
La dynamique est simple :
- Les grandes chaînes parlent au pouvoir.
- Les podcasts parlent au peuple.
Ce renversement fonde une nouvelle hégémonie.
9 — La loi du temps libéré
Le podcast n’obéit pas aux horloges publicitaires.
Ici, le temps long appartient à la pensée.
Les idées mûrissent, se battent, s’affrontent.
10 — La loi de la superposition idéologique
Ici, un libertarien peut dialoguer avec un chrétien conservateur,
un ancien démocrate avec un anarcho-capitaliste,
un militaire avec un psy.
Le podcast conservateur n’est pas une droite :
c’est une coalition de lucidité.
11 — La loi de la transparence radicale
Aucune confiance dans les institutions ?
Alors la lumière doit venir d’ailleurs.
Le podcast devient le tribunal parallèle de l’Amérique.
12 — La loi de l’audience souveraine
Ici, ce n’est pas le producteur, le gouvernement,
l’annonceur ou la rédaction qui décide.
C’est l’auditeur.
S’il écoute, l’idée vit.
S’il se désabonne, l’idée meurt.
Le marché de la vérité est direct, immédiat, brutal.
Slogan final
“Le podcast n’informe pas : il libère ”

Rogan, Carlson & la matrice intellectuelle du nouvel Empire américain**
Il serait naïf de croire que Joe Rogan et Tucker Carlson ne sont que deux voix isolées dans un paysage médiatique fracturé.
Derrière eux — ou plutôt autour d’eux — se dessine une architecture idéologique, un ensemble cohérent de forces intellectuelles, technologiques et politiques qui travaillent, consciemment ou non, à la renaissance d’un empire américain post-libéral.
Un empire qui n’a plus rien à voir avec celui des années Clinton-Bush-Obama, fondé sur le mondialisme, la financiarisation et le progressisme moral exporté.
Ce nouvel empire est souverainiste, technologique, cybernétique, enraciné dans le réel, et n’accorde qu’une confiance minimale aux institutions existantes.
Ses architectes portent des noms désormais devenus symboliques :
Vance, Thiel, Yarvin, Musk.
I. Joe Rogan & Tucker Carlson : la façade populaire de la dissidence organisée
Rogan et Carlson n’écrivent pas la doctrine — ils la diffusent.
Ils sont la voix populaire qui rend audible une révolution beaucoup plus profonde.
Rogan
– incarne la défiance culturelle,
– l’anti-système instinctif,
– la méfiance envers l’État administratif,
– le rejet des grands mensonges institutionnels.
Carlson
– structure la critique,
– expose les réseaux globalistes,
– démolit les justifications de l’empire libéral,
– reconnecte le citoyen aux enjeux civilisationnels.
Ils ne commandent pas.
Ils réveillent.
Et c’est précisément là qu’interviennent les architectes.
II. J.D. Vance : le bras politique de la contre-révolution
J.D. Vance est l’équivalent moderne d’un tribun romain.
Issu de la classe populaire, témoin direct du déclin des États industriels, il incarne :
- la revanche des oubliés de la mondialisation,
- le retour du patriotisme économique,
- la rupture avec le néolibéralisme,
- la réhabilitation du travail et de la famille.
Vance comprend que la bataille culturelle portée par Rogan/Carlson doit s’incarner dans un pouvoir concret.
Il n’est pas un populiste.
Il est le populisme devenu stratégie d’État.
III. Peter Thiel : le penseur-secret de la souveraineté technologique
Si Rogan est la voix du peuple, Thiel est le cerveau de l’élite dissidente.
Il a théorisé avant tout le monde :
- le déclin de la démocratie libérale,
- l’échec du progressisme,
- la capture idéologique de la Silicon Valley,
- la nécessité de reconstruire une élite capable,
- l’importance de la souveraineté technologique.
Thiel est le premier à avoir compris que l’Empire renaissant devra être technologique ou ne sera pas.
Sa pensée irrigue à la fois :
- Carlson (sur la critique de l’État profond),
- Rogan (via les scientifiques dissidents),
- Vance (dont il a été le mentor politique),
- Musk (dans la reconquête de l’espace public numérique).
Thiel est le philosophe caché du renouveau américain.
IV. Curtis Yarvin : l’architecte théorique de la post-démocratie
Yarvin, alias « Mencius Moldbug », est le plus controversé du groupe.
Il a théorisé ce que tout le monde voit mais que personne n’osait formuler :
Les États-Unis ne sont plus dirigés par les élus mais par une bureaucratie hybride – médias, universités, justice, agences – qui détient le pouvoir réel.
C’est la thèse du Régime :
un système auto-protecteur, imperméable aux élections, allergique au changement, envahi par l’idéologie progressiste.
Pour Yarvin, la seule issue est un réalignement autoritaire soft, piloté par une élite technologique compétente.
Ses idées irriguent désormais :
- les analyses de Carlson,
- les conversations de Rogan,
- la vision géopolitique de Vance,
- et même la manière dont Musk reconquiert la sphère publique via X.
Yarvin est le Machiavel de la nouvelle ère américaine.
V. Elon Musk : le général-technicien du nouvel espace public
Musk n’est pas un idéologue.
Il est l’ingénieur impérial.
En rachetant Twitter (X), il a fait ce que personne n’avait osé depuis des décennies :
neutraliser l’arme médiatique des élites progressistes et la remettre entre les mains du public.
Avec :
- Starlink (souveraineté numérique mondiale),
- SpaceX (souveraineté spatiale),
- Tesla (rupture énergétique),
- X (souveraineté informationnelle),
Musk incarne la version technologique de ce que Vance représente politiquement, de ce que Carlson articule intellectuellement, et de ce que Rogan popularise culturellement.
Il est le général de l’Empire renaissant, celui qui fournit les armes — non pas des tanks, mais des satellites, des fusées, des plateformes d’expression.
VI. Ensemble : la matrice de la Renaissance américaine
Quand on assemble les pièces, le tableau devient clair :
- Rogan → la base culturelle
- Carlson → la critique structurée
- Vance → l’incarnation politique
- Thiel → la doctrine technologique
- Yarvin → la théorie du pouvoir
- Musk → les infrastructures et l’espace public
Ils représentent les piliers d’un nouvel empire,
un empire anti-globaliste,
post-médiatique,
post-démocratique,
post-libéral,
mais paradoxalement plus démocratique que l’ancien,
car reconnecté au réel.
Ce n’est pas une coalition organisée.
C’est une convergence historique :
la rencontre du peuple, d’une élite technologique dissidente,
et d’une rupture civilisationnelle que l’ancien système n’est plus capable d’empêcher.

PLAYLIST REBELLE • ROCK INSURGÉ
(Lupus Edition)
⭐ LES DEUX PILIERS (Headliners)
- David Bowie – Rebel Rebel
- Steppenwolf – Born to Be Wild
🚨 SECTION I — Rock de l’insoumission (Classiques absolus)
- The Rolling Stones – Street Fighting Man
- The Who – Won’t Get Fooled Again
- Creedence Clearwater Revival – Fortunate Son
- Led Zeppelin – Immigrant Song
- Iggy Pop – Lust for Life
- The Clash – London Calling
- AC/DC – Shoot to Thrill
- Queen – Stone Cold Crazy
⚡ SECTION II — Contre-culture rock (Esprits libres)
- Lou Reed – Sweet Jane
- The Velvet Underground – I’m Waiting for the Man
- The Doors – Break on Through
- Blue Öyster Cult – Don’t Fear the Reaper
- T. Rex – 20th Century Boy
- MC5 – Kick Out the Jams
- Ramones – Blitzkrieg Bop
🔥 SECTION III — Liberté, vitesse, moteur
- ZZ Top – La Grange
- Lynyrd Skynyrd – Call Me the Breeze
- George Thorogood – Bad to the Bone
- Motörhead – Ace of Spades
- Joan Jett – Bad Reputation
🐺 SECTION IV — Rock rebelle moderne (pulsation contemporaine)
- Royal Blood – Out of the Black
- The Black Keys – Howlin’ for You
- Queens of the Stone Age – No One Knows
- Greta Van Fleet – Highway Tune
- Rival Sons – Do Your Worst
- Cage the Elephant – Ain’t No Rest for the Wicked
🌩️ SECTION V — Fin de playlist, montée finale
- Billy Idol – Rebel Yell
- Nine Inch Nails – Head Like a Hole
- Rage Against the Machine – Killing in the Name
- The Smashing Pumpkins – Bullet with Butterfly Wings

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“Rogan & Carlson : Les Deux Piliers de la Dissidence”
Ils n’ont ni parti, ni investiture, ni think tank derrière eux.
Et pourtant, Joe Rogan et Tucker Carlson dominent aujourd’hui l’empire médiatique parallèle, celui que les institutions ne peuvent plus contrôler, celui où se réfugie une Amérique en sécession mentale.
🎙️ Les maîtres du podcast ?
Bien plus que ça.
Ils sont les exilés du politiquement correct, les deux pôles culturels d’un Occident qui ne croit plus aux fables de la télévision globale.
Dans ce nouvel article, j’analyse :
🔥 comment Rogan incarne l’Amérique brute, instinctive, anti-narratif
🔥 comment Carlson expose les mécanismes du pouvoir profond
🔥 pourquoi leurs voix sont devenues plus fortes que les médias traditionnels
🔥 comment leur influence rejoint celle des nouveaux architectes de l’Empire renaissant :
Vance, Thiel, Yarvin, Musk…
Ce que les journaux appellent “désinformation”,
je l’appelle décontamination.
Ce que les élites appellent “danger”,
je l’appelle contre-pouvoir.
Ce que les progressistes appellent “radicalisation”,
je l’appelle retour au réel.
🧩 Nous entrons dans l’ère de la dissidence hégémonique.
Et ce n’est que le début.
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