Comment Bill Gates a profité du COVID-19 pour investir en bourse
Au cours du premier semestre 2020, la fondation caritative Bill & Melinda Gates ne s’est pas montrée fébrile face à la crise. Dans un document rendu public par la Securities and Exchange Commission, il est présenté les centaines de millions de dollars que la fondation se disant humaniste et philanthropique a investis. On y découvre de nouvelles positions fortement centrées sur la tech, parmi lesquelles figurent Apple, Amazon et Alibaba. Un choix qui a commencé à faire parler de lui sur la toile, notamment au sujet d’Amazon, illustre représentant des firmes qui ont profité de la situation tout en affichant une conduite parfois exécrable dans ses mesures de sécurité.
En plus des 40 milliards d’actifs que recense aujourd’hui la fondation Gates, ce sont pas moins de 127 millions de dollars qui ont été placés en action Apple (500 000 actions au total), mais aussi 117 millions de dollars dans Amazon (60 460 actions). Toujours au sujet de la tech et du e-commerce, la fondation Bill & Melinda Gates a montré sa croyance en la plateforme chinoise Alibaba, en achetant plus de 552 000 actions pour un montant de 107 millions de dollars. Twitter et Google font également partie des investissements. Facebook et Microsoft, quant à eux, ne sont pas présents.
© The Next Web
Une importante part des actifs de la fondation en bourse concerne Berkshire Hathaway, la société d’investissement dirigée par Warren Buffet auquel Bill Gates fait partie des personnes gravitant autour de la direction. Mais au cours du premier semestre 2020, la fondation Bill & Melinda Gates a réalisé sa plus importante prise de position dans la société de logiciels pour les sciences de la vie et des matériaux Schrodinger. L’achat constitue 6 981 665 actions au total, pour un montant de 301 millions de dollars.
Déjà fructueux, mais discutable
En regardant le cours des différents titres auxquels la fondation de Bill Gates a pris des positions, il en revient que ces capitaux investis sont déjà fructueux. Loin du premier « lundi noir » précédent l’épidémie de coronavirus aux États-Unis, le 9 mars à Wall Street (New York), l’action Apple a rebondi de 25 % après avoir chuté de 15 %. Pour Amazon, la tendance est la même, avec un rebond de 25 % également.
Mais la fiducie n’a pas échappé aux critiques. La fondation, qui est le second plus important financiers de l’OMS, n’avait jamais eu d’actions chez Amazon avant 2020. Son énorme pari à Wall Street, de plus de 17,35 milliards de dollars, s’est tourné en grande partie vers les géants de la tech et du e-commerce. En France, Amazon a connu un mois d’avril et de mai très compliqué avec la justice, suite au manque de mesures de sécurité pour le travail de ses employés dans les locaux.
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Mais la fondation pourra se défendre avec son investissement dans la société Schrodinger. Comme le rappelle le site américain The Next Web, celle-ci travaille discrètement sur le vaccin contre la maladie du COVID-19, et a déjà levé plus de 230 millions de dollars à ce sujet. Les 301 millions de dollars investis par Bill Gates au 31 mars dernier ont déjà permis à l’entreprise en bourse de voir son cours augmenter de 62 %. Après avoir été négocié à 43,12 dollars l’action, son cours est aujourd’hui de 70 $. Un gain de 188 millions de dollars théorique, si la fondation venait à revendre ses actions aujourd’hui.
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Comment Bill Gates contrôle la communication mondiale et la censure
Bill Gates est le plus grand producteur de vaccins au monde et le plus grand donateur de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) – depuis que le président Trump a interrompu le soutien américain en attendant une enquête sur la gestion de la crise COVID-19 par l’OMS – et de la Fondation CDC. Ces agences commercialisent maintenant des armes pour son empire du vaccin.
En janvier 2019, M. Gates a demandé à l’OMS de déclarer que l’ « hésitation à l’égard des vaccins » constituait une « menace mondiale pour la santé » (avec le virus Ebola, le VIH, la guerre et les agents pathogènes résistants aux médicaments, entre autres), signalant ainsi une ruée vers l’or de l’industrie pharmaceutique mondiale pour rendre les vaccins obligatoires pour tous.
Gates a maximisé ses dons au président du comité du renseignement, Adam Schiff.
En février 2019, Schiff a écrit à Facebook, Google et Amazon, leur demandant de censurer la « désinformation sur les vaccins », un terme signifiant tout scepticisme à l’égard des déclarations du gouvernement et de l’industrie sur l’innocuité ou l’efficacité des vaccins, qu’elles soient vraies ou non.
« Les vaccins sont à la fois efficaces et sûrs », a écrit M. Schiff. « Il n’y a pas de preuve que les vaccins provoquent des maladies mortelles ou invalidantes. »
Il s’agissait d’une désinformation. Un an plus tôt, Schiff avait poussé un projet de loi visant à augmenter le budget de l’administration du tribunal des vaccins à 11 200 000 dollars afin de réduire les retards dans la mise en place des vaccins. Le tribunal avait déjà versé 4 milliards de dollars pour les décès et les handicaps liés aux vaccins.
Facebook et Pinterest ont déclaré qu’ils s’en remettront à l’OMS et aux CDC de Gates pour déterminer quelles déclarations en ligne sont « de la désinformation ou des canulars ».
Facebook et Google ont engagé « FactChecker » (Politifact) pour censurer la désinformation sur les vaccins.
La Fondation Gates est le principal bailleur de fonds de « FactChecker ».
Dans son article, « Facebook “Fact-Checker” désinforme les utilisateurs sur la sécurité des vaccins », le journaliste d’investigation Jeremy Hammond conclut : « Facebook est coupable d’avoir mal informé ses utilisateurs sur la sécurité des vaccins. Ils n’ont aucun problème avec les mensonges sur la sécurité et l’efficacité des vaccins, tant qu’ils visent à persuader les parents de vacciner leurs enfants. »
Le 4 mai 2017, FactChecker a déclaré fausse la déclaration de Del Bigtree : « Les vaccins contiennent de l’aluminium et du mercure, qui sont des neurotoxines, et les vaccins provoquent l’encéphalopathie. »
FactChecker a expliqué : « Les données actuelles montrent que les vaccins sont sûrs et ne provoquent pas de toxicité ou d’encéphalopathie. »
Les notices des fabricants révèlent que de nombreux vaccins contiennent de l’aluminium et du mercure, et provoquent des encéphalopathies.
Enfin, les dons massifs à NPR et PBS achètent à Gates une couverture vaccinale biaisée des médias publics.
Source : Children’s Health Defense – Traduit par Anguille sous roche
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