Les Etats-Unis s’apprêtent à adopter un nouveau plan de relance de 154 milliards de dollars alors que le précédent, de 800 milliards, n’a déployé que le tiers de ses effets. L’idée consiste à baisser les impôts des entreprises qui embauchent….
PLUS DE KEYNES EN SUIVANT :
Mais on verra des sociétés licencier pour réengager, parfois les mêmes personnes, et profiter de la nouvelle prime à l’embauche.
Car les plans de relance ont des effets secondaires à long terme, explique la NZZ dans une analyse très critique (encore plus de Keynes pour les Etats-Unis).
Ces mesures keynésiennes compliquent le calcul économique des entreprises et les amènent à retarder les investissements.
Les récentes études montrent que seules les baisses d’impôts renforcent la croissance et non pas l’accroissement des dépenses publiques.
Sous l’angle libéral, le quotidien note que l’emploi pourrait être accru en abaissant ou en supprimant le salaire minimum. Or aux Etats-Unis il a été accru de 40% entre 2006 et 2009. Une telle suppression ne coûterait rien au budget, mais politiquement elle n’aurait aucune chance
kler, et avec le régime auto-entrepreneur, on travaille pour rien ! dès qu’on gagne 200€ ont nous retire 180€ des minimas + 20% de charges ! autrement dit : on travaille pour rien !