Silvio Berlusconi devra revoir sa politique fiscale….
PLUS DE DETTES EN SUIVANT :
Lors de sa première conférence de presse après sa sortie d’hôpital, le premier ministre italien a renoncé à considérer une baisse d’impôt. Il mériterait un nouveau check-up, recommande l’éditorialiste du Wall Street Journal.
Car sa stratégie conduit à condamner l’Italie à la stagnation.
La complexité et le taux d’impôt sont si élevés que l’évasion est un sport national. La dernière amnistie a ramené 95 milliards d’euros parce que l’amende était basse. Faut-il une amnistie par an?
Pourquoi ne pas baisser les impôts et réduire les incitations à l’évasion?
L’Italie, avec une dette de 115% du PIB, verse 5% de son PIB en charges financières. Le gouvernement ne pourra pas restaurer ses finances s’il ne tient pas ses vieilles promesses de réduction des impôts.