Humeur de Loup du Jeudi 03 Juillet 2014: Le trafic d’influence est à la base de l’action et du pouvoir politique Par Bruno Bertez
Nous n’avons vu que cela dans notre carrière d’observateur de la vie économique et politique: des trafics d’influence! A quoi servirait d’être puissant si ce n’est pas pour s’en servir?
- Ségolène Vice-présidente de la BPI en échange de son silence et de la paix des ménages n’était-ce pas du trafic d’influence?
- La nomination de Chérèque en échange de la docilité de la CFDT n’était-ce pas du trafic d’influence? Et la nomination de Rocard spécialiste de l’Antarctique?
- La nomination récurrente des conseillers de l’Elysée à des postes de haut niveau en échange des Services rendus n’est-ce pas du trafic d’influence?
- Les nominations au Conseil Economique et Social ne sont-elles pas des trafics d’influence?
- Les décorations remises aux bailleurs de fonds électoraux n’est-ce pas du trafic d’influence? Et aux médecins personnels?
- Les décorations au soit disant artistes qui vous soutiennent ne sont-elles pas des trafics d’influence? Et la nomination ratée de la belle Julie à la Villa Médicis? Et celle du beau patron de Radio France?
- La nomination de Juncker à la tête de la Commission en échange de promesses sur la croissance et l’assouplissement du Pacte de Stabilité n’est-ce pas du trafic d’influence?
La France ne vit que de cela. Ou plutôt, elle en meurt!
BRUNO BERTEZ Le Jeudi 3 Juillet 2014
illustrations et mise en page by THE WOLF
Je ne soutiens pas Sarko… ce pseudo gaulliste qui nous a foutu dans l’UE et dans l’Otan..
En revanche, pour le trafic d’influence, l’indépendance de la justice et tout et tout.. je hais encore plus la gauche..
Jean de LA FONTAINE (1621-1695)
Les Animaux malades de la peste
Un mal qui répand la terreur,
Mal que le Ciel en sa fureur
Inventa pour punir les crimes de la terre,
La Peste (puisqu’il faut l’appeler par son nom)
Capable d’enrichir en un jour l’Achéron,
Faisait aux animaux la guerre.
Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés :
On n’en voyait point d’occupés
A chercher le soutien d’une mourante vie ;
Nul mets n’excitait leur envie ;
Ni Loups ni Renards n’épiaient
La douce et l’innocente proie.
Les Tourterelles se fuyaient :
Plus d’amour, partant plus de joie.
Le Lion tint conseil, et dit : Mes chers amis,
Je crois que le Ciel a permis
Pour nos péchés cette infortune ;
Que le plus coupable de nous
Se sacrifie aux traits du céleste courroux,
Peut-être il obtiendra la guérison commune.
L’histoire nous apprend qu’en de tels accidents
On fait de pareils dévouements :
Ne nous flattons donc point ; voyons sans indulgence
L’état de notre conscience.
Pour moi, satisfaisant mes appétits gloutons
J’ai dévoré force moutons.
Que m’avaient-ils fait ? Nulle offense :
Même il m’est arrivé quelquefois de manger
Le Berger.
Je me dévouerai donc, s’il le faut ; mais je pense
Qu’il est bon que chacun s’accuse ainsi que moi :
Car on doit souhaiter selon toute justice
Que le plus coupable périsse.
– Sire, dit le Renard, vous êtes trop bon Roi ;
Vos scrupules font voir trop de délicatesse ;
Et bien, manger moutons, canaille, sotte espèce,
Est-ce un péché ? Non, non. Vous leur fîtes Seigneur
En les croquant beaucoup d’honneur.
Et quant au Berger l’on peut dire
Qu’il était digne de tous maux,
Etant de ces gens-là qui sur les animaux
Se font un chimérique empire.
Ainsi dit le Renard, et flatteurs d’applaudir.
On n’osa trop approfondir
Du Tigre, ni de l’Ours, ni des autres puissances,
Les moins pardonnables offenses.
Tous les gens querelleurs, jusqu’aux simples mâtins,
Au dire de chacun, étaient de petits saints.
L’Ane vint à son tour et dit : J’ai souvenance
Qu’en un pré de Moines passant,
La faim, l’occasion, l’herbe tendre, et je pense
Quelque diable aussi me poussant,
Je tondis de ce pré la largeur de ma langue.
Je n’en avais nul droit, puisqu’il faut parler net.
A ces mots on cria haro sur le baudet.
Un Loup quelque peu clerc prouva par sa harangue
Qu’il fallait dévouer ce maudit animal,
Ce pelé, ce galeux, d’où venait tout leur mal.
Sa peccadille fut jugée un cas pendable.
Manger l’herbe d’autrui ! quel crime abominable !
Rien que la mort n’était capable
D’expier son forfait : on le lui fit bien voir.
Selon que vous serez puissant ou misérable,
Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir.
La 5ème République fondée par le Général De Gaulle,
(notez qu’on ne dit jamais Président,ça devrait interpeler)
pensez-vous qu’il voulait que cette République devienne une rigolade pour des manipulateurs,
une République travestie par des arrivistes?
Que l’ARMEE soit asservie à des fraudeurs,à des politiciens qui pratiqueraient la HAUTE TRAHISON?
Personne ne peut dire aujourd’hui si un véritable RESISTANT ne va pas se fâcher et sévir au nom de la FRANCE
Nous sommes des milliers de révoltés devant cette spoliation et pour l’instant les plumes sont acerbes, »et à la fin,elles touchent »
aussi j’en suis arrivé à la conclusion suivante
Les résistants qui se taisent agissent et personne ne connait leur objectif,mais ils ne peuvent endurer cette situation.
Leur intelligence tient compte de la formule « des frappes chirurgicales »
Je pense au « Père Tranquille »de Noël Noël et je compte les jours
http://www.dailymotion.com/video/x258lw_le-pere-tranquille-juste-punition_shortfilms
Relisant mon petit billet sur le trafic d’influence, il me revient cette petite phrase de Freud.
« L’Etat n’a jamais montré aucune disposition pour lutter contre la criminalité, la seule chose qui l’intéresse c’est de préserver son monopole du crime ».
Sarkozy, ce n’est plus l’Etat, il ne participe plus du monopole:
Hollande, Taubira, c’est l’Etat , ils exercent ce monopole.