Nouvel élément à la rubrique simplement consacrée a la présentation d’articles TRADUITS en français issus du WALL STREET JOURNAL….Si comme moi vous appréciez un angle et un point de vue différents sur les marchés financiers et boursiers mondiaux vous y verrez la l’occasion d’enrichir et vos connaissances, et votre suivi des marchés et je vous le souhaite aussi une manière de booster ou de protéger vos investissements…et de vous assurer une retraite complémentaire, vous en aurez besoin….
EN SUIVANT PLUS D’iNFOS :
Peter Eavis,
THE WALL STREET JOURNAL
Le capitalisme est une histoire de vainqueurs et de vaincus. Pourquoi donc le secrétaire au Trésor des Etats-Unis Timothy Geithner autoriserait-il les banques les plus solides à rembourser rapidement l’investissement du gouvernement dans leur capital?
La confiance dans le secteur bancaire pourrait croître si des groupes comme J.P. Morgan Chase et Goldman Sachs remboursaient les dollars du plan de sauvetage TARP, en particulier si des investisseurs privés se substituaient ensuite à l’Etat.
Cependant, Tim Geithner a laissé entendre mardi que le système financier et l’économie pourraient retirer plus de bénéfices si certaines banques ne remboursaient pas avant les autres.
“Mon obligation essentielle est d’assurer que le système dans son ensemble […] ait la capacité à fournir les crédits que le redressement économique exige”, a-t-il déclaré.
Tim Geithner doit sans doute craindre que ceux qui ne peuvent rembourser les fonds du TARP soient stigmatisés, ce qui entraînerait une nouvelle vague de défiance.
Mais le marché sait qui sont les faibles. Les investisseurs les sanctionneront s’ils apparaissent incapables de survivre à la récession.
Tim Geithner pourrait facilement avancer un argument contre ces remboursements anticipés: même les banques les plus solides seront probablement les perdantes sans de généreuses aides, extérieures au TARP, à l’image des garanties du gouvernement sur les dettes.
Le système redeviendra vraiment fonctionnel une fois que les banques pourront se financer elles-mêmes, sans l’aide des contribuables. Cela nécessite que les créanciers estiment qu’il y a suffisemment de fonds propres dans le bilan des principales banques.
Le gouvernement des Etats-Unis a travaillé dur pour redonner une certaine stabilité au système. Il n’a aucun intérêt à risquer une nouvelle déstabilisation.
Les banques ont besoin d’arriver à gérer leurs activités sans interférence du gouvernement. Une solution médiane consisterait ainsi à permettre des remboursements graduels du TARP à mesure que l’économie se raffermit.
ET TOUJOURS D’ACTUALITE :
http://leblogalupus.com/2009/04/21/wall-street-est-il-soluble-dans-un-verre-do/