Avec une capitalisation boursière de 353,1 milliards de dollars, Petrochina a retrouvé le 1er rang en 2009, repoussant son concurrent américain Exxon Mobil en 2e position. Septième en 2008, Microsoft s’empare de la 3e place, devant Industrial & commmercial Bank of China, le détaillant américain Wal Mart, la China Construction Bank, le géant minier australien BHP Billiton et la banque britannique HSBC.
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Quatre sociétés suisses dans le top 100 mondial
LES SOCIÉTÉS SUISSES LES PLUS CHÈRES SONT NESTLÉ ET ROCHE (17e ET 28e). NOVARTIS ET CREDIT SUISSE FIGURENT AUSSI DANS LE TOP 100 (32e ET 98e).
La Suisse occupe le cinquième rang en termes de capitalisationboursière.
A fin 2009, quatre entreprises suisses figuraient parmi les 100 premières capitalisations boursières mondiales, contre trois un an auparavant. Pointant au 17e rang du classement dominé par le groupe pétrolier chinois Petrochina, Nestlé est la société suisse la plus chère. La capitalisation boursière du groupe veveysan numéro un mondial de l’alimentation atteignait 176,79 milliards de dollars (182,4 milliards de francs) à la fin de 2009, selon un classement publié hier par la société d’audit et de conseils Ernst & Young. Par rapport à juin, Nestlé a perdu deux rangs, malgré une valeur en hausse de 32 milliards de dollars.
Nestlé et les trois autres plus grandes capitalisations suisses Roche (28e), Novartis (32e) et Credit Suisse (98e), valaient 526 milliards de dollars à la fin de l’an passé, 26% de plus qu’un an plus tôt. Un classement qui se rapproche de celui publié en fin de semaine dernière par le magazine «Stocks» Les 25 plus grandes entreprises selon leur capitalisation boursière (cliquez sur le lien)
Cinquième du classement par pays au terme de 2009, la Suisse a gagné deux rangs par rapport à 2008, derrière les Etats-Unis, la Chine, la Grande-Bretagne et la France. Selon le nombre de firmes appartenant aux 100 plus importantes, la Suisse partage le 6e rang avec l’Allemagne et le Brésil.Elle est devancée par les Etats- Unis, la Chine, la Grande-Bretagne, la France et le Japon.
Avec une capitalisation boursière de 353,1 milliards de dollars, Petrochina a retrouvé le 1er rang en 2009, repoussant son concurrent américain Exxon Mobil en 2e position. Septième en 2008, Microsoft s’empare de la 3e place, devant Industrial & commmercial Bank of China, le détaillant américain Wal Mart, la China Construction Bank, le géant minier australien BHP Billiton et la banque britannique HSBC.
Dans l’ensemble, le secteur des services financiers a repris des couleurs.
«Certaines banques ont récemment présenté des chiffres étonnamment bons. La majorité des observateurs du marché présument aujourd’hui que le pire est passé pour le secteur financier et que certains établissements ressortent même renforcés de la crise», a expliqué Stephan Haagmans, responsable Transaction Advisory Services pour les services financiers chez Ernst & Young Suisse. Les entreprises du secteur financier, représentées dans le top 100, avaient il y a un an encore, une valeur totale de 1420 milliards de dollars, celle-ci s’élève désormais à 2730 milliards de dollars. Soit un bond de 92%.
Autre secteur en hausse: l’énergie et les matières premières.
«Le rétablissement de l’économie mondiale entraîne une hausse des prix de l’énergie», a commenté Louis Siegrist, responsable Transaction Advisory Services chez Ernst & Young Suisse._
EN COMPLEMENT INDISPENSABLE : Les Entreprises les plus rentables au monde (cliquez sur le lien)
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