Analyse d'un secteur économique particulier

Le décevant “going public” : Lâchée par les banques, l’action de “Ponzi Facebook” passe sous les 38 dollars et beaucoup plus si pas affinités

Le décevant “going public” :  Lâchée par les banques, l’action de “Ponzi Facebook” passe sous les 38 dollars et beaucoup plus si pas affinités

Le titre est passé hier sous les 38 dollars à New York. Morgan Stanley aurait soutenu le cours vendredi en rachetant des actions

Une baisse de 5 à 6% en Allemagne lundi matin: voilà qui n’augurait, hier, rien de bon pour l’action de Facebook. A 15h30, l’ouverture de Wall Street confirmait la tendance négative avec une chute rapide de 14%. A 21h en Suisse, soit une heure avant la clôture du Nasdaq, le titre reculait de 10,01% pour s’établir à 34,37 dollars, dans un marché en hausse.

 Vendredi, pour son premier jour de cotation, l’action du réseau social, introduite à 38 dollars, avait clôturé à 38,23 dollars (+ 0,61%). Et ce alors même que le titre avait dépassé durant la journée les 42 dollars. Jamais enfoncé vendredi, le plancher des 38 dollars a donc été franchi lundi. Valorisé vendredi à 104 milliards de dollars pour une action à 38 dollars, le réseau dirigé par Mark Zuckerberg est donc passé sous la ligne des 100 milliards – celle-ci étant liée à une action valant 36,50 dollars. Un Mark Zuckerberg qui s’est d’ailleurs marié samedi avec Priscilla Chan.

 

«Il est difficile d’imaginer ce qui serait arrivé si les banques n’étaient pas intervenues», a commenté l’analyste Lou Kerner, fondateur du Social Internet Fund. Déjà dans les minutes suivant les premiers échanges publics vendredi à 15h30 GMT, l’action était passée d’une hausse de plus de 12% à l’ouverture à 0%, les banques pilotant l’opération parvenant toutefois toujours à éviter de passer sous les 38 dollars. Le titre avait ensuite repris provisoirement de la hauteur.

   Pourquoi une telle chute de l’action?

Lundi, deux raisons étaient avancées.

La première tient au comportement de Morgan Stanley, la principale banque qui a introduit Facebook en bourse – empochant au passage 38% des honoraires de mise sur le marché, soit 67 millions de dollars. Selon plusieurs sources relayées par Reuters, la banque serait intervenue à plusieurs reprises vendredi pour soutenir le cours de l’action. D’après les calculs de Reuters, Morgan Stanley aurait ainsi déboursé quelque 2 milliards de dollars pour empêcher que le plancher des 38 dollars ne soit franchi vendredi. De cette manière, les Banques se sont assurées que leurs clients ne perdaient pas d’argent le jour de l’introduction en bourse. «Il est fort possible que plusieurs banques aient soutenu le cours vendredi, estime Daniel Pellet, analyste chez Bordier & Cie. Et lundi, on ne pouvait pas déceler de telles interventions pour acheter l’action.» Hier, Morgan Stanley n’a fait aucun commentaire.

Sur le tableau suivant, la colonne de gauche indique les offres d’achat (« bids »), et sur la colonne de droite, les propositions de ventes (« asks ») avec le prix proposé. Pour chaque ligne, la colonne « size » indique la quantité proposée. Au sommet de la colonne de gauche, on voit qu’il y a beaucoup d’offres d’achat )à 38 dollars provenant de plusieurs plateformes (BATS exchange, ARCA…) pour de très grosses quantités de titres, alors que du côté des ventes, les quantités proposées sont bien plus modestes

chart of the day, facebook stock performance, may 2012

  Les soutiens de vendredi avaient pu masquer le trouble de certains investisseurs, poursuit Daniel Pellet, qui n’avaient pas apprécié que ­Facebook augmente au dernier moment le nombre d’actions vendues. En parallèle, les soucis du Nasdaq, qui n’a pu, vendredi, traiter un certain nombre d’ordres pour des raisons techniques, ont accentué le sentiment de défiance: «Lorsque des investisseurs souscrivent mais ne reçoivent rien, ils ont tendance à sortir très vite d’une action», estime l’analyste.

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 Seconde raison principale pour expliquer la chute de mardi, un doute accru sur la valeur de la société. «A 38 dollars le titre, Facebook se traitait 76 fois son chiffre d’affaires 2012, contre 14 fois pour Google et 11 fois pour Apple: cela donne à réfléchir. D’autant que General Motors vient d’annoncer qu’il cessait d’annoncer via Facebook», poursuit Daniel Pellet. Son conseil: attendre plusieurs jours. Il n’est pas exclu, selon lui, que l’action se stabilise au cours de clôture de lundi soir.

 Hier, plusieurs analystes estimaient que les banques avaient été trop gourmandes dès le départ. «Elles se sont complètement plantées. L’action aurait dû être vendue moitié prix, et elle aurait atteint 45 dollars», estimait Michael Pachter, analyste chez Wedbush Securities, contacté par Dow Jones

Selon Reuters, Scott Devitt, un analyste de Morgan Stanley, aurait informé hier les clients de la banque  qu’il réduisait ses prévisions de chiffres d’affaires pour Facebook pour cette année. Ses informations auraient suscité l’inquiétude des investisseurs qui expliquerait au moins partiellement la correction que le titre a subie hier

  Facebook était lundi l’action de loin la plus échangée sur le marché américain.

Pour Gerard Hoberg, professeur de finances à l’Université du Maryland, la performance médiocre pourrait s’expliquer par le fossé séparant d’un côté les petits porteurs voulant leur part d’une marque très grand public et de l’autre les milieux financiers. «Les professionnels qui ont examiné les chiffres derrière Facebook avaient plus de doutes», explique-t-il.

«Facebook a une performance terne parce que la direction n’a pas répondu aux questions» sur ses performances et ses perspectives, a réagi Trip Chowdhry, analyste chez Global Equities Research.

Facebook a enregistré en 2011 un chiffre d’affaires de 3,7 milliards de dollars, en décélération, pour un bénéfice net de 668 millions de dollars, et n’a pas caché aux investisseurs qu’il peinait à rentabiliser la migration de ses utilisateurs sur les appareils portables.

EN COMPLEMENTS : Le défi du marché des tablettes

L’explosion de l’internet mobile est un défi pour Facebook, qui avoue peiner à monétiser sa présence sur les petits écrans de téléphones portables et de tablettes. Pourtant Facebook devrait être en position très favorable pour bénéficier à plein régime du succès des téléphones multifonctions et des tablettes. La société californienne, née à peine trois ans avant la sortie du premier iPhone en 2007, obtient déjà plus de la moitié de son trafic sur des appareils portables. Selon son document d’entrée en Bourse, 488 des 901 millions d’internautes ayant visité le site en mars ont utilisé des appareils portables. Sur ce total, 83 millions de mobinautes auraient consulté Facebook exclusivement sur un téléphone ou une tablette, et pas sur un ordinateur classique. Le problème, c’est que Facebook gagne surtout de l’argent grâce à la publicité (82% du chiffre d’affaires) et qu’il est difficile d’en faire sur un écran de téléphone portable. «La dernière fois que j’ai vérifié, les téléphones portables avaient vraiment de petits écrans, ne laissant guère de place pour des encarts classiques», ironise l’analyste Michael Pachter, de Wedbush Securities. Le groupe l’avoue: «nous ne tirons pas de recettes de l’utilisation des produits Facebook pour le mobile et notre capacité à y arriver reste à prouver», indique-t-il.

Comme c’est l’un des arguments clés des analystes les plus réticents à recommander Facebook à l’achat au prix demandé (34 à 38 dollars par action), le groupe a un peu levé le voile sur sa stratégie. «Améliorer les produits pour le mobile et développer la consultation de Facebook sur portable sont des priorités essentielles, selon nous indispensables pour nous aider à maintenir et développer notre base d’utilisateurs», fait valoir Facebook. «Historiquement nous n’avons pas présenté de publicités aux utilisateurs qui accèdent à Facebook via des applications mobiles ou notre site mobile», indique aussi la société, mais «en mars 2012, nous avons commencé à introduire des histoires sponsorisées sur les fils d’actualité». Les recettes ne sont pas encore «significatives», a convenu le groupe.

Pour Van Baker, au cabinet de marketing Gartner, Facebook doit «trouver une façon de faire de la publicité qui ne soit pas intrusive». Il conseille de prendre exemple sur Google ou Apple, qui affichent de simples bannières «prenant très peu d’espace sur l’écran». Mais Facebook accuse déjà du retard et il va devoir prendre garde à ne pas irriter un public qui n’a jamais hésité à manifester bruyamment son rejet de certaines innovations.

 Class action à 15 milliards

Le géant des réseaux sociaux, se retrouve une fois de plus au centre d’une affaire concernant la vie privée et la confidentialité des données des utilisateurs de la plateforme. La cour fédérale de San José en Californie a reçu une plaine collective c’est-à-dire une “class action” en fin de semaine dernière. Facebook pourrait selon les avocats des utilisateurs devoir verser plus de 15 milliards de dollars pour atteinte à la vie privée. 

Cette affaire fait suite à la révélation en septembre 2011 que Facebook surveillait de manière illégale la navigation sur internet de ses utilisateurs même après qu’ils se soient déconnectés du site. En tout, ce sont 21 dossiers qui ont été rassemblés et déposés dans une dizaine d’Etat entre 2011 et 2012. La somme de l’amende a été calculée en fonction d’une loi américaine sur l’écoute électronique en vigueur aux Etats-Unis, l’US Wiretap Act, qui interdit et sanctionne ce type de pratique. Dans certains cas où l’écoute est tolérée, cette loi prévoit un dédommagement pour l’ « écouté ». Ainsi, les dommages peuvent aller jusqu’à 100 dollars par personne par jour et jusqu’à 10.000 dollars par utilisateur Facebook. Si l’on considère qu’il y a environ 150 millions d’internautes américains concernés, la somme pourrait avoisiner les 15 milliards de dollars (plus de 11 milliards d’euros) et 1000 milliards si l’on inclut la totalité des utilisateurs internationaux, soit 901 millions d’internautes. 

Un porte-parole de Facebook, Andrew Noyes, précise au sein d’un courriel que les accusations ne sont pas fondées. Facebook se défend généralement en avançant l’argument de bugs relatifs aux cookies. Deux sortes de cookies sont mis en place par Facebook et se retrouvent dans le collimateur du collectif d’utilisateurs. Les sessions cookies lorsque l’on s’identifie et qui devraient normalement disparaître une fois déconnecté. Ensuite, les tracking cookies, appelés également cookies persistants, présents sur n’importe quel site qui contient des icônes « j’aime » ou des icônes de recommandations Facebook. Ces cookies continuent de fonctionner mais lorsque vous êtes déconnectés du réseau social. 

Ce n’est pas la première fois que Facebook se retrouve confronté à ce type de plainte. On se rappellera de cet étudiant autrichien, Max Schrems, qui avait demandé au réseau social de Facebook de lui fournir l’intégralité des données détenues à son sujet. Ce dernier avait reçu de Facebook un CD comportant plus de 1200 fichiers PDF, contenant la trace de ses moindres actions effectuées sur le réseau social. Tous les renseignements étaient présents, tout ce qu’il avait fait sur Facebook durant plus de trois ans y compris les messages et actions effacées. Max Schrems avait créé un groupe de pression “Europe-versus-Facebook” (L’Europe contre Facebook). 

La semaine dernière, Facebook a défini une nouvelle proposition concernant les dispositions sur la vie privée des utilisateurs. Si ces propositions sont commentées par 7000 personnes ou plus, la proposition en question fera alors l’objet d’un vote de la part des 901 millions d’utilisateurs Facebook. Ainsi, si 30% de l’ensemble des utilisateurs votent en faveur ou contre la proposition, cette dernière sera appliquée ou non.

La Californie se renfloue

 L’entrée en Bourse de Facebook va aussi largement bénéficier à l’Etat de Californie, qui accuse un déficit budgétaire de 16 milliards de dollars. A en croire les estimations officielles, la Californie va engranger 2,1 milliards de dollars grâce à l’entrée en Bourse du géant d’internet, dont le siège se trouve à Menlo Park, au cœur de la Silicon Valley

«Le gros de ces nouvelles rentrées proviendra des impôts supplémentaires sur le revenu dont vont devoir s’acquitter les Californiens qui disposent d’une part de la société fondée par Mark Zuckerberg», souligne le cabinet d’analyse budgétaire du parlement de l’Etat. «L’entrée en Bourse va déboucher sur une valorisation d’environ 100 milliards de dollars et générer des revenus de plus de 10 milliards de dollars pour les habitants de la Californie», pointe le cabinet dans un rapport.

De plus, Facebook, en étant coté au Nasdaq, va bénéficier «d’avantages fiscaux substantiels», toujours de même source. Mais, comme Facebook paye ses impôts fédéraux et autres taxes dans plusieurs Etats américains, et non pas dans la seule Californie, le manque à gagner pour le plus grand Etat du pays va être amorti.

source le temps+agences mai12

SYNTHESE REALISEE PAR THE WOLF

EN LIEN : “Ponzi Facebook” l’entreprise qui privatise ses profits virtuels et mutualise ses futures pertes ?

EN BANDE SON :

Facebook n’est pas ami avec la bourse Par Olivier Perrin/Le Temps

La presse tente d’expliquer pourquoi Facebook se crashe en bourse Mark Zuckerberg et ses banques conseils sont en train de prendre une belle leçon d’humilité. L’entrée du réseau social à Wall Street tourne au chaos

Première engueulade entre M. et Mme Zuckerberg, frais émoulus de la mairie:

Elle: Mark…

Lui: Oui, mon sucre? [Il aurait pu dire: «Madame ma montagne de sucre».]

Elle: T’es de nouveau sur Face de Bouc…

Lui: Mais chouchou, c’est mon job, c’est pour ça qu’on est milliardaires.

Elle: C’est ton job, cette grosse truie que tu viens de mettre dans tes «Amis»?

Lui: T’es de nouveau venue fouiner sur mon mur… Si tu continues j’te jarte…

Dans l’immense ennui que peut distiller une entrée en bourse aux yeux de ceux qui nagent comme des boules de pétanque dans les sombres arcanes de la finance, le strip de «B12 et Vitamine» paru ce matin dans 20 minutes a un effet très rafraîchissant. Car il n’y a pas de frein pour enrayer la chute! hurle-t-on de partout, d’une voix unanime. Facebook plonge, en terminant son deuxième jour de cotation bien en deçà de son prix d’ouverture de 38 dollars, en baisse de 10,99% à 34,03 dollars.

Outre une panne technique qui fait les gros titres mais ne semble pas avoir eu de conséquences sur la manière de faire des traders, c’est «une grosse déception», commente Peter Cardillo, de Rockwell Global Capital. Le Wall Street Journal raconte notamment comment les investisseurs se sont tortillés toute la journée pour savoir si tout ce ramdam en valait bien la peine. Mais au bout du compte, leur scepticisme sur la valorisation astronomique des actions l’a emporté. C’est «un cauchemar», résume le Handelsblatt.

Cette contre-performance illustre pour beaucoup les doutes émis sur la solidité de Facebook, un temps occulté par le grégaire engouement du public pour le géant des réseaux sociaux sur Internet. «Quelqu’un s’est trompé en fixant le prix, cette bourde signifie que le prix de l’action a été fixé trop haut», relevait l’analyste Douglas McIntyre sur le site spécialisé 247WallSt.com. Vendredi, les banques avaient pu éviter que l’introduction en Bourse tourne au désastre en soutenant le titre à bout de bras. Mais lundi, «ce soutien semble épuisé», note Lou Kerner, fondateur du Social Internet Fund.

Les Echos voient malheureusement «un démarrage poussif» en bourse pour une entreprise dont les fans n’oseraient pas une seule seconde dire qu’ils jouent dans un univers poussif. L’opération «tourne au fiasco»: c’est «une entrée en bourse très chaotique», selon Rue89. Mais dans le fond, pour les non-spécialistes de la bourse et pour les ignares qui ne veulent pas perdre ni temps ni argent sur les réseaux sociaux, pourquoi l’action Facebook s’est-elle plantée? Selon Marianne2, «les raisons de ce crash sont nombreuses»: «modèle économique non consolidé, atteintes à la vie privée, crainte d’une nouvelle bulle»… Non, vraiment, «Facebook n’est pas ami avec la bourse».

Pour expliquer cette calamiteuse IPO, «les observateurs mettent en avant une faible perspective de croissance pour le réseau social et un modèle économique qu’ils jugent fragile», analyse le site spécialisé Numerama.com. D’autres ont mis en avant les difficultés rencontrées par la plate-forme boursière pour gérer une opération d’une telle ampleur. Plus de 421 millions d’actions ont en effet été mises sur le marché.

«Les relations entre Wall Street et Facebook restent décidément tendues», renchérit Le Figaro. Et le quotidien de se lancer dans une fine analyse behavioriste du Grand Petit Mark Zuckerberg, qui suscite en fin de compte pas mal de fantasmes. Car l’action «pourrait aussi souffrir du dédain que continue d’afficher son fondateur pour Wall Street. Sur la chaîne américaine CNBC, un animateur s’étonnait ainsi du calendrier choisi par Mark Zuckerberg pour se marier. «C’est encore une façon très médiatique de dire qu’il ne se préoccupe pas de ses investisseurs», notait-il, alors que le jeune dirigeant a épousé son amie de longue date samedi, soit le lendemain de l’introduction en Bourse de Facebook.» Et surtout, comble du ridicule et du manque de sérieux qu’on lui prête, «il a endossé à cette occasion un costume alors que Mark Zuckerberg avait ému la côte Est en se présentant en sweat-shirt à une réunion d’investisseurs précédant l’introduction en bourse.» Comme quoi, les apparences…

Et «comme toujours quand un premier de la classe trébuche, les observateurs peinent à dissimuler leurs sourires, est bien obligé de constater le site Slate.fr. Et c’est vrai que tout le cirque médiatique déclenché autour de cette opération, avec force superlatifs, était un peu agaçant. Que le fondateur de Facebook […] et ses banques conseils aient pris ainsi une bonne leçon d’humilité n’est pas pour déplaire. Il faut reconnaître que, dans cette affaire, ils ont été un peu présomptueux… et gourmands.»

Mais rendons à César… Et laissons la parole aux professionnels de la profession: «Les débuts boursiers plutôt sobres, voire décevants de Facebook ne sont pas vraiment le reflet de la qualité de la société, tempèrent LesAffaires.com. C’est davantage le signe que le marché des premiers appels publics à l’épargne est de plus en plus efficace. Et c’est loin d’être une bonne nouvelle pour les amateurs de ces titres.» Décidément, les mauvaises nouvelles sont nombreuses. En attendant, continuez à bien choisir vos amis. Ils ne crèchent pas à Wall Street.

 

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