Souverainiste Européen : antimondialiste raisonnable, antiislamiste raisonné, anticapitaliste financier mais pas trop et antisocialiste fabien mais pas assez….Libertarien par Idéal mais Etatiste par pragmatisme ! Cours Forrest cours !
"Nous vivons une époque nietzschéenne marqué du sceau de la volonté de puissance dans un monde qui ne veut croire qu’au messianisme religieux et marxiste !"
"Le Présent éclaire notre Passé pour mieux construire notre Futur !"
"Le sexe, la drogue et le rock and roll sont au jeune fou ce que les textes, le grog et les patates chaudes sont au vieux Sage"
" Mieux vaut une fin terrifiante qu’une terreur sans fin "
"Vous ne pouvez pas donner la force au faible en affaiblissant le fort… Vous ne pouvez pas aider le pauvre en ruinant le riche"
"Ce qui ne peut perdurer finira forcément par cesser"
"Celui qui a péché par la Dette doit périr dans la Dèche"
« L’Ultraliberalisme et le Néokeynésianisme sont les deux faces d’une même pièce : Une sorte d’immense farce tragico-comique »
Chronique des Matières Premières
Céréales, minerais ou pétrole, les ressources naturelles sont au cœur de l’économie. Chaque jour la chronique des matières premières décrypte les tendances de ces marchés souvent méconnus.
Le Blog de Valérie Bugault
J’ai pour ambition de rendre à l’État la juste place, politique, qui est la sienne et de remettre les entreprises à la juste place qui est la leur.
Le Comptoir
« Le Comptoir d’un café est le Parlement du Peuple » Balzac
Leviathan 21
Regards sur la politique, l’économie et la finance sous l’angle de la privation croissante des libertés et de la progression du Leviathan.
LHK Le blog de Liliane Held-Khawam
« Après avoir usé et abusé d’un faux libéralisme, la réorganisation sociétale semble promettre de ressusciter le modèle soviétique, au profit de privés cette fois. » Coup d’Etat planétaire
Philippe Muray
Ce site a pour but de rassembler différents textes jusqu’à présent éparpillés et d’en faire découvrir d’autres. Le lecteur y trouvera de quoi apprécier un grand écrivain, de quoi regarder son époque en face, de quoi rire un peu…
Russie Politics
Je vous souhaite la bienvenue sur ce blog où nous allons tenter de décrypter l’actualité politique russe, donner la dimension de toute sa richesse et sa complexité. Sans clichés et sans partis pris. Sans vouloir plaire à tout le monde.
Sott Signe des Temps
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Terre Autochtone
Le blog des aborigènes d’Europe, par Antonin Campana
La fin de la démocratie et la défaite de la révolution américaine surviendront quand le gouvernement tombera aux mains des banques et des institutions financières
Il y a 273 ans jour pour jour, naissait l’un des plus visionnaires pères fondateurs de l’Amérique, Thomas Jefferson. Pour célébrer son anniversaire, nous partageons avec vous un petit échantillon de quelques-unes de ses citations les plus prophétiques, peut-être plus pertinentes aujourd’hui qu’elles ne l’ont jamais été dans l’histoire des États-Unis.
A propos de la liberté. Lettre de Jefferson à Isaac Tiffany du 4 avril 1819.
La vraie liberté est un acte libre qui s’accorde à notre volonté, dans les limites de la liberté et de l’égalité des autres. Intentionnellement, je ne dis pas «dans les limites de la loi» parce que la loi n’est souvent rien d’autre que la volonté du tyran, et donc viole souvent le droit d’un individu.
Sur les banques comme étant la plus grande menace envers la liberté. Lettre de Jefferson à John Taylor du 28 mai 1816.
Si jamais le peuple américain permet aux banques de contrôler l’émission de leur monnaie, d’abord par l’inflation, puis par la déflation, les banques et les sociétés qui grossiront alors, le privera de tous ses biens jusqu’à ce que leurs enfants se réveillent sans abri sur le continent dans lequel leurs pères habitaient. Le pouvoir d’émettre de l’argent devrait être enlevé aux banquiers et restauré au Congrès et au peuple auquel il appartient. Je crois sincèrement que les institutions bancaires ayant le pouvoir d’émettre de l’argent sont plus dangereuses pour la liberté qu’un pouvoir militaire.
Sur la domination des banques. Lettre de Jefferson à James Monroe du 1erjanvier 1815.
La domination que les institutions bancaires ont sur l’esprit de nos citoyens […] doit être brisée, ou c’est elle qui va nous briser.
Sur les banques centrales. Lettre de Jefferson à Albert Gallatin du 22 juin 1803.
Cette institution (la banque des États-Unis) est l’une de des plus mortelles menaces existantes contre les principes et la forme de notre Constitution […] une institution comme celle-ci, en pénétrant par ses branches dans toutes les parties de l’Union, en agissant aussi autoritairement, peut, dans un moment critique, renverser le gouvernement.
Encore sur les banques centrales. Lettre de Jefferson à Albert Gallatin du 19 juin 1802.
Le monopole d’une seule banque est diabolique.
Sur l’impression d’argent. Lettre de Jefferson à John Taylor du 28 mai 1816.
Le fait de dépenser de l’argent remboursé par la postérité, sous l’excuse du financement, n’est rien d’autre qu’une arnaque à grande échelle sur le futur.
Sur la menace que représentent les banques. Lettre de Jefferson à John Taylor du 28 mai 1816.
Le système bancaire, que nous avons toujours inlassablement réprouvé, je le vois comme une tache sur la constitution (de nos États) qui, si elle n’est pas corrigée, se terminera par leur destruction.
Sur les membres du Congrès possédant des actions. Lettre de Jefferson à Gallatin du 22 juin 1803.
Mon souhait était de voir les deux Chambres du Congrès nettoyées de toutes les personnes impliquées dans une banque ou possédantdes actions et, une fois assuré de la pureté des législateurs, je serai toujours prêt à accepter leurs délibérations, même si elles sont contraires à mes propres opinions; car je souscris au principe, que la volonté de la majorité, honnêtement exprimé, fait acte de loi.
Sur la Banque mania et l’aristocratie vendue. Lettre de Jefferson à J.B. Stuart du 10 mai 1817.
La banque mania est un danger. Elle crée dans notre pays une aristocratie vendue qui a déjà défié le gouvernement, et même si celle-ci a été obligée de lâcher du lest après cette première tentative de coup de force, elle recommencera encore et encore.
Sur le danger des sociétés financières. Lettre de Jefferson à George Logan du 12 novembre 1816.
J’espère que nous tirerons la leçon et écraserons dans l’œuf l’aristocratie de nos sociétés financières, qui osent déjà défier notre gouvernement et défier les lois de notre pays.
Sur l’argent papier et les métaux précieux. Lettre de Jefferson à John Eppes en 1813.
L’utilisation du papier monnaie, comme médium bon marché ou pour son utilisation pratique, ne pèse rien face aux avantages des métaux précieux […] il est susceptible d’être abusé, l’a déjà été et le sera dans tous les pays où il est autorisé.
Lettre de réponse de John Adams à Thomas Jefferson du 25 aout 1787.
Toutes les perplexités, la confusion et la détresse en Amérique viennent non pas de défauts dans la Constitution ou la Confédération, ni d’un manque d’honneur ou de vertu, mais de l’ignorance totale sur la nature de l’argent, du crédit et de sa mise en circulation.
Sur la nécessité d’une petite révolte de temps en temps. Jefferson à James Madison à Paris le 30 janvier 1787.
Je crois qu’une petite révolte de temps en temps est une bonne chose, aussi nécessaire dans le monde politique que le sont les tempêtes dans le monde physique. Il est vrai que les rébellions échouées justifient une réduction du droit des peuples qui les ont fomentées. Une observation de cette vérité devrait rendre les gouverneurs républicains honnêtes, doux dans leur punition, pour ne pas trop les décourager. C’est un médicament nécessaire à la bonne santé du gouvernement.
* * *
Et même si ce n’est pas son anniversaire, voici en bonus deux déclarations de James Madison du 28 juin 1787.
Une force militaire permanente, avec un exécutif trop puissant ne seront pas longtemps des compagnons de la liberté. Les moyens de défense contre un danger extérieur ont toujours été des instruments de la tyrannie domestique. Chez les Romains, c’était déjà un moyen de pousser à la guerre, chaque fois qu’une révolte a été matée. Partout en Europe, les armées mises en place sous le prétexte de les défendre ont asservi les gens.
Et sur le pouvoir de gouvernement sans contre-pouvoir.
Depuis qu’existe la civilisation, je crois qu’il y a eu plus de cas de suppression de la liberté des peuples par empiétements progressifs et silencieux par ceux qui tiennent le pouvoir, que par usurpations violentes et soudaines.
Un très beau texte, qui montre que malheureusement il n’y a rien de nouveau sous le soleil.
Jefferson avait tout compris, tout analysé et tout annoncé. Nous sommes gouvernés par des incultes qui non seulement ignorent les références historiques, mais s’efforcent de les détruire.
Il n’y a aucune différence dans la barbarie entre ceux qui détruisent les oeuvres au Moyen Orient, en Syrie, Irak ou ailleurs et ceux qui détruisent les grands acquis culturels de la pensée.
Les volontés de puissance, les veuleries, les lâchetés sont éternelles. Ce qui est nouveau en revanche, c’est la manipulation des esprits, la re-programmation des hommes, la possibilité par les neurosciences de leur faire aimer leur régression, leur retour à la barbarie et à la servitude.Nous vivons dans le syndrome de Stockholm généralisé.
Nos concitoyens n’aiment pas leurs Maîtres, mais, et c’est ce qui est le plus étonnant, ils ne lèvent pas le petit doigt pour s’en débarasser. Et ce qui l’est encore plus, c’est que lorsque certains se dressent afin de dénoncer et de lutter, la masse se retourne contre eux. Elle prend le parti des Pouvoirs illégitimes dans un gigantesque « à quoi bon », « laissez nous tranquilles », « ne nous perturbez pas ».
Les choses, celles qui sont normalement inadmissibles sont connues, mais le savoir ne produit aucun effet, il ne déclenche aucune pratique si ce n’est la dénonciation stérile, les « je vous l’avais bien dit » qui font la bonne conscience.
Ce n’est pas une raison pour ne pas continuer d’essayer de montrer et de clarifier, non, bien sur, mais c’est une raison d’être intransigeant. Sans faiblesse, il n’est plus temps de flatter le peuple et de flagorner, il est temps de considérer qu’il fait partie du problème. .
"Homo Homini Lupus" : Parce que Hobbes est un killer et Rousseau un doux rèveur....
Nouveau blog , nouvelle année, nouveau cycle ,nouvelle action…croix de bois, croix de fer, si nous mentons, nous allons en enfer...le regard est hagard mais l’écriture aussi…courte et acérée et souvent trop alambiquée, pressée par le temps, empressée d’embrasser l’actualité économique et financière…orthographe approximative….pensée sms pour une mise en lumière, un simple coup de projecteur sur un théâtre d’ombres financières témoins de nos passions et de nos désirs les plus obscurs…magnéto Serge et bienvenue donc à bord du radeau médusé: Capitaine "Devil"Virtual Lupus est à la barre du 1er site garanti 100% porno financier...parce qu'ici si on ne vous cache rien, on ne vous dit parfois, pas grand chose non plus....enfin en apparence....seulement en apparence...
le blog a lupus...un regard hagard sur l'écocomics et ses finances....
« Depuis que le Président Nixon a rompu le lien final entre le dollar et l’or, aucune monnaie majeure pour la première fois dans l’histoire n’a de connexion avec une commodity ». Milton Friedman, 1991.
« Il n’y a pas de moyen plus subtil et plus sûr de détruire les bases de la société que de débaucher la monnaie ». John Maynard Keynes,1920.
« Le papier monnaie sans ancrage s’est régulièrement avéré une malédiction pour le pays qui l’a employé ». Irving Fisher, 1921.
« Il y a de bonnes raisons de croire que la nature de la monnaie n’est pas vraiment comprise ». John Law, 1720.
« Nous pensons que si vous sapez les bases de la monnaie, vous sapez aussi les bases de l’économie. La difficulté est de définir quelle est la part de la structure de liquidités qui correspond à de la vraie monnaie » ; « la monnaie, je ne sais plus très bien ce que c’est ». Alan Greenspan, 2000.
« La liquidité, l’abondance monétaire, c’est quand on croit que l’on va vendre plus cher que l’on a acheté ». D. Kohn, 2003.
The Wolf international corporation edition est heureux de vous présentez ses bruits, cris et hurlements à l’oreille des Loups
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Un très beau texte, qui montre que malheureusement il n’y a rien de nouveau sous le soleil.
Jefferson avait tout compris, tout analysé et tout annoncé. Nous sommes gouvernés par des incultes qui non seulement ignorent les références historiques, mais s’efforcent de les détruire.
Il n’y a aucune différence dans la barbarie entre ceux qui détruisent les oeuvres au Moyen Orient, en Syrie, Irak ou ailleurs et ceux qui détruisent les grands acquis culturels de la pensée.
Les volontés de puissance, les veuleries, les lâchetés sont éternelles. Ce qui est nouveau en revanche, c’est la manipulation des esprits, la re-programmation des hommes, la possibilité par les neurosciences de leur faire aimer leur régression, leur retour à la barbarie et à la servitude.Nous vivons dans le syndrome de Stockholm généralisé.
Nos concitoyens n’aiment pas leurs Maîtres, mais, et c’est ce qui est le plus étonnant, ils ne lèvent pas le petit doigt pour s’en débarasser. Et ce qui l’est encore plus, c’est que lorsque certains se dressent afin de dénoncer et de lutter, la masse se retourne contre eux. Elle prend le parti des Pouvoirs illégitimes dans un gigantesque « à quoi bon », « laissez nous tranquilles », « ne nous perturbez pas ».
Les choses, celles qui sont normalement inadmissibles sont connues, mais le savoir ne produit aucun effet, il ne déclenche aucune pratique si ce n’est la dénonciation stérile, les « je vous l’avais bien dit » qui font la bonne conscience.
Ce n’est pas une raison pour ne pas continuer d’essayer de montrer et de clarifier, non, bien sur, mais c’est une raison d’être intransigeant. Sans faiblesse, il n’est plus temps de flatter le peuple et de flagorner, il est temps de considérer qu’il fait partie du problème. .
C’est ainsi que la république romaine s’est évanouie. L’histoire longue semble se répéter.