A Chaud!!!!!

Des Chiffres et une Lettre numéro 2 : LE COURS DE LA BANQUE S’EFFONDRE DE 8,34% AUJOURD’HUI, QUE FAIRE ? Par Bruno Bertez

A LIRE. LE COURS DE LA BANQUE S’EFFONDRE DE 8,34% AUJOURD’HUI, QUE FAIRE ?

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By Brunobertezautresmondes, brunobertez.com

ALERTE : Le cours de la banque s’effondre de 8,34% aujourd’hui
 Cette lettre a été écrite il y a quelques jours. Mais elle est de toute actualité.

Test

Comme lors des publications précédentes, je vous invite à me faire connaitre vos avis et commentaires sur cette forme de valeur ajoutée plus directe et plus accessible… au prix, bien sûr, de simplifications.

La simplification n’est possible que parce qu’il y a une conviction qui fonde le conseil. La conviction permet d’aller à l’essentiel et à  l’utile sans se soucier des nuances et des étapes intermédiaires qui, souvent , retiennent ou paralysent l’action. Les Pouvoirs ont la maitrise du calendrier et c’est leur atout, leur avantage sur nous. Nous ne savons pas quand il faudra agir. La seule solution est de sauter le pas  et, quand on a une conviction, de la transformer en actes.

Vous connaissez le film de James Dean. Il s’agit d’une course de voitures vers un précipice. La voiture est lancée à toute vitesse, le gagnant est celui qui saute le dernier du véhicule. Les marchés financiers et les questions patrimoniales s’apparentent à ce jeu. Beaucoup de gens se croient plus malins que les autres ou plus courageux. Ils se disent, moi je reste le plus longtemps possible pour bénéficier de l’inflation qui gonfle la valeur du prix des actifs et pour être certain de sauter au bon moment. Ceux-là se trompent car, quand il faudra sauter, il n’y aura pas d’avertissement. Les avertissements, c’est toujours la veille qu’il aurait fallu en prendre conscience. La catastrophe ne prévient pas dans le monde moderne; le signal, c’était hier.

Un dernier mot encore. Dans mes conversations, je m’aperçois que les gens sont incrédules. Ils ne parviennent pas à croire que la situation est aussi grave. Cela mérite que j’y insiste.

Pourquoi sont-ils incrédules?

  • parce qu’il y a une sorte de foi dans la parole gouvernementale, et étatique. C’est l’héritage de la royauté et de la religion;
  • parce que les médias sont imbéciles, corrompus et aux ordres. Au lieu de travailler pour vous, de défendre vos intérêts et se considérer comme un corps intermédiaire à votre service, ils transmettent des politiques de communicatrion du haut vers le bas, c’est à dire du pouvoir vers vous;
  • parce que toutes ces questions de monnaie, de patrimoine, sont en quelque sorte tabous dans un pays comme la France. On ne parle pas d’argent; l’argent, c’est sale et dévalorisé par les vieux complexes hérités de la lutte des classes. Les citoyens n’arrivent plus à vivre et à se persuader que cet argent est le leur et qu’ils ont travaillé pour l’avoir et quand on leur prend, c’est un vol. C’est la pourriture socialiste des esprits;
  • dernier point. L’incrédulité vient du fait que la crise qui nous ronge depuis maintenant près de 10 ans est une sorte de crise invisible, souterraine, c’est une taupe. C’est ce que les professionnels, votre comptable par exemple, appellent une crise du passif. Le passif en comptabilité, c’est l’origine des fonds, c’est ce que l’on doit. Ce sont les droits de tout un ensemble de gens, comme les banquiers, les associés, sur l’actif. Vous pouvez avoir un actif magnifique, un magasin, une entreprise, un bijou, un tableau de grande valeur et, en réalité, votre situation peut être très fragile. Elle peut être très fragile si vous avez beaucoup de dettes, si vos dettes sont à court terme, si les taux des agios sont élevés. Bref, si vous ne pouvez pas faire face aux échéances. Votre situation peut aussi être fragile si la masse de vos dettes est supérieure à votre actif et que vous ne pouvez tenir qu’en repoussant sans cesse les échéances. Ce dernier point est exactement le résumé de notre situation. Nous ne tenons que par le report des échéances.
  • Maintenant que vous avez tout compris, et en particulier pourquoi vous avez du mal à croire ce que je vous dit, bonne lecture.

Bruno Bertez

 

Cher lecteur,

Il y a 2 semaines, je publiais une lettre sur Deutsche Bank, la banque qui fait couler l’Europe.

 
Aujourd’hui le cours de Deutsche Bank s’est effondré de 8,34% en une seule séance.
 
Le Département de la Justice des États-Unis a en effet infligé une amende de 14 milliards de dollars à la première banque allemande pour avoir truqué ses placements dans l’immobilier subprimes avant la crise de 2008.
 
C’était cette nuit et les actionnaires de la banque se sont réveillés avec 1,550 milliards d’euros en moins dans leur portefeuille… presqu’instantanément.
 
La banque qui a déjà perdu la moitié de sa valeur en un an, subit des spasmes de plus en plus violents depuis le début de l’été. Elle est à nouveau au bord du gouffre.
 
 
Le début de la fin
 
3 raisons me font penser que cela pourrait être le début de l’engrenage final vers la faillite ou —plus probable— la nationalisation de la banque.
 
Bien sûr, un événement aussi extraordinaire ne se prévoit pas facilement et il se peut tout à fait que la banque se réveille lundi matin avec une accalmie et un nouveau sursis.
 
Il convient néanmoins de prendre quelques précautions, car :
 
RAISON N°1 : Même si la banque va négocier le montant de l’amende et n’en payer sans doute que 5 milliards de dollars, cela représente 1/3 de sa capitalisation boursière.
 
Comme je l’écrivais dans ma première lettre, le gros problème de Deutsche Bank est que —comme une vieille voiture— la valeur de la banque estdéjà inférieure aux réparations pour la remettre à flot => le garagiste vous dirait: il vaut mieux la mettre à la casse, les réparations coûtent plus cher que la valeur de la voiture.
 
Ces 5 milliards enfoncent le clou de manière franche et brutale. La banque ne vaut plus… un clou.
 
 
RAISON N°2 : La banque n’a pas mis assez de côté ! Bien évidemment, cette amende ne tombe pas du ciel et, le 30 juin dernier, Deutsche Bank annonçait mettre 5,5Md€ de côté en prévision de cette amende faisant déjà dévisser le cours. Le problème est que DB est sous le coup de 3 autres poursuites du même ordre du Département de la Justice américain et de plus de 8.000 procédures dans le monde! C’est pour cela que l’annonce du Département de la Justice est si catastrophique.
 
RAISON N°3 : La 3e raison est un « signal faible », plus du l’ordre du pressenti que de la preuve : l’annonce intervient dans la nuit de jeudi à vendredi, c’est-à-dire laissant une journée pour vérifier la réaction du marché avant la trève du week-end.
 
En bref, énormément de tractations vont se passer ce week-end entre les États-Unis, la banque, ses actionnaires et les spéculateurs… Et nous aurons les résultats de ces tractations d’arrière-boutique lundi matin… à la première heure.
 
Nous verrons alors si la banque résiste à ce choc violent alors qu’elle est déjà à genoux.
 
Si oui, alors la partie sera remise pour un tour de plus, jusqu’au prochain spasme.
 
Sinon, le plus probable est que le gouvernement allemand arrive à la rescousse. Cela le décrédibiliserait complètement étant donné la force avec laquelle les Allemands ont défendu la logique du « bail-in », c’est-à-dire le redressement par la sanction des actionnaires, investisseurs et déposants. Mais si Mme Merkel ne vient pas à la rescousse alors c’est tout le secteur bancaire européen qui serait en grave danger.
 
Nous nous retrouverions dans une situation comparable à celle de 2008 avec 2 différences :
 
– La crise serait en Europe et non aux États-Unis. Il faut avoir vécu aux États-Unis pour comprendre le traumatisme de cette crise qui a mis 2 millions de foyers à la rue (selon les estimations de la commission bancaire du Sénat américain). Cela explique d’ailleurs en partie la rudesse des Américains avec les responsables de la crise. C’est ce genre de crise qui frappa à notre porte. Et ce n’est pas tout.
 
– Ce n’est pas le marché immobilier qui s’effondrerait mais celui des obligations d’État. C’est la capacité pour la France et les autres pays d’Europe à s’endetter qui pourrait être balayée d’un coup.
 
Bien sûr il n’est absolument pas dit que cela va arriver.
 
Mais je le répète, il faut le concevoir de manière réaliste.
 
Posez-vous la question en ces termes : mettons qu’il y ait une chance sur 10 que la situation explose lundi ; que les banques se retrouvent dans une situation intenable et les États incapables de les sauver sans prendre le risque de s’effondrer eux-mêmes — à ce sujet, ce n’est pas pour rien que l’Europe a voté une réglementation pour ne plus sauver les banques en détresse : les États n’en sont tout simplement plus capables.
 
 Que faites-vous  ? Dormez-vous sur vos deux oreilles ou bien voulez-vous prendre quelques mesures de précaution de base ?
 
Si vous optez pour la première solution, je vous souhaite une excellente soirée et à bientôt peut-être.
 
Si vous optez pour la seconde alors voici ce que je vous propose :
 
  • Retirez tout l’argent liquide que vous pouvez avec vos cartes et au guichet de votre banque (si elle offre encore ce service) ;
 
  • – Si vous aviez prévu des achats importants n’hésitez pas à les faire ce week-end plutôt que la semaine prochaine, y compris une grosse tournée de courses.
 
  • Si par chance, vous, ou un proche, avez un compte en devises, faites un gros virement vers ce site. Au pire, vous risquez de prendre une plus-value en faisant l’aller-retour entre ces 2 comptes.
 
  • – Si vous n’en avez pas, je vous suggère d’ouvrir un compte en devises, c’est-à-dire dans une autre devise que l’euro pour une prochaine fois — hélas. Cela peut se faire très facilement dans une banque en ligne française même s’il est encore plus prudent mais aussi plus coûteux de le faire dans une banque d’un autre pays comme la Suisse ou le Royaume-Uni.
 
  • Si vous avez un compte-titres achetez quelques blue chips hors d’Europe  —grosses entreprises réputées stables comme IBM ou Ford aux États-Unis.
 
Je sais très bien que ces mesures ont l’air catastrophistes. Néanmoins, qu’avez-vous à y perdre, sinon 1/2 heure de votre temps ?
 
Une histoire circule sur la crise chypriote au sujet d’une grand-mère qui venait tous les vendredis à sa banque avec sa canne et son fichu retirer toutes ses économies en liquide. Puis le lundi, elle revenait les remettre à la banque.
 
Le directeur de son agence la croyait folle. Mais quand la crise chypriote éclata — c’était un week-end — ses euros étaient bien au chaud chez elle au lieu d’être bloqués comme tous les autres habitants de l’île. Son fils était économiste et c’est lui qui, voyant la crise venir, lui avait ordonner cette manoeuvre peu orthodoxe mais simple comme un fichu de toile et plus efficace que tous les conseils de tous les banquiers du monde.
 
Et si je me suis trompé, vous pourrez m’envoyer lundi un message pour vous moquer de moi. Après tout il ne faut pas oublier de rire et prendre un peu de bon temps.
 
Une dernière chose, si vous pensez ce message censé, envoyez-le à tous vos proches et ceux qui comptent pour vous.
 
Je vous souhaite une excellente soirée,
 
À votre bonne fortune,
 
 
 
 
 

 PS : je reproduis ci-dessous ma première lettre sur le sujet.

 
 

Vous devez 1310€ à la banque

 
Cher lecteur,
 
Une des plus grandes banques européennes, institution vénérable qui gère les compte de dizaines de millions de comptes de particuliers est agonisante.
 
Il s’agit de Deutsche Bank, la plus grosse banque de la plus grosse économie européenne.
 
 
FAIT n°1 : Elle est sous le coup de 4 enquêtes américaines.
 
  • Pour avoir accordé des crédits immobiliers douteux avant la crise de 2008 ;
 
  • Pour avoir participé à la manipulation du Libor — dont une des nombreuses conséquences a été de renchérir artificiellement les prix des emprunts immobiliers pendant des années ;
 
  • Pour avoir dissimulé 12 milliards de dollars de pertes et gonflé artificiellement des bénéfices dans une de ses filiales américaines ;
 
  • Et maintenant pour avoir échoué à un test de robustesse américain, mais aussi pour avoir « perdu » des données nécessaires à ce test lors d’une panne informatique de 5 jours en avril dernier.
 
 
FAIT n°2 : Son action s’effondre en bourse : Son cours a perdu les 2/3 de sa valeur depuis un an.
 
 
FAIT n°3 : Elle vaut moins qu’il n’en faudrait pour la redresser : c’est un point un peu technique mais peut-être le plus important. Si banque fait faillite aujourd’hui, sa valeur — c’est-à-dire l’activité, les murs, les employés— serait inférieure au trou dans ses comptes.
 
C’est comme quand vous avez un accident de voiture et que le garagiste vous dit que la réparation coûtera plus cher que la valeur de la voiture… Habituellement, vous mettez votre voiture à la casse et rachetez une autre voiture.
 
D’après l’institut de recherche allemand ZEW, Deutsche Bank n’a plus assez d’argent dans ses coffres — ce que l’on appelle ses fonds propres — pour garantir sa solidité financière. La banque aurait besoin de 19 milliards d’euros de fonds propres supplémentaires.
 
Le problème est que la valeur de la banque elle même n’est que de 17 milliards d’euros d’après sa capitalisation boursière.
 
C’est un seuil psychologique important car cela veut dire pour les actionnaires de la banque qu’ils sont propriétaire d’une grosse voiture dont les réparations coûteraient plus cher que la valeur de la voiture elle-même.
 
À ce stade, plus personne ne veut des actions de la Deutsche Bank et le risque est très important que le cours s’effondre brusquement…. Comme c’est arrivé pour la banque Lehman Brothers.
 
Regardez les cours de bourse de Deutsche Bank depuis un an comparés à ceux de Lehman Brothers un an avant sa faillite :
 
 
 
 
 
3 signes qui font craindre le pire
 
En plus de la situation financière très préoccupante de la banque, 3 signes sont particulièrement préoccupants :
 
  • La banque a vendu au mois d’août Alex Brown, une filiale de gestion de patrimoine anglaise très rentable. En clair, Deutsche Bank est en train de brader ses bijoux de famille pour assurer l’équilibre précaire de ses comptes. C’est un acte désespéré.
 
  • Hier, jeudi 2 septembre (au moment où j’écris ces lignes), Deutsche Bank a été incapable de livrer une demande d’or physique qu’elle était supposée conserver pour un de ses clients. Son cours de bourse qui connaissait une accalmie a immédiatement repris sa descente aux enfers…
 
  • Et surtout, son PDG depuis, John Cryan, sonne l’hallali. Engagé dans un plan de restructuration massif depuis un an… Celui-ci ne porte pas ses fruits. M. Cryan menace de conséquences fatales pour les épargnants et leur retraite. Pas seulement pour les clients de Deutsche Bank mais dans toute l’Europe.
 
La banque allemande n’est en effet que la face émergée de l’iceberg. Le secteur bancaire européen nécessiterait 150 milliards d’euros pour se redresser d’après l’économiste-chef de Deutsche Bank, David Folkerts-Landau.
 
Cela représente 1310€ par foyer de la zone euro !
 
Des émeutes seraient à craindre tant la situation est préoccupante. Et d’ajouter : « je ne suis pourtant pas un prophète de l’apocalypse… simplement un réaliste ».
 
 
Est-ce que cela tiendra ?
 
Selon l’économiste allemand Martin Hellwig de l’Institut Max Planck, il n’y a pas d’alternative possible. Il invite le gouvernement à prendre en main la Deutsche Bank pour « la nettoyer ».
 
Entendez : que les contribuables paient la facture, cette même facture qui au niveau européen s’élèverait à 1310€ par foyer. Vous y compris.
 
Nos États exsangues ont-ils seulement les moyens de prendre en charge cette restructuration massive que les États-Unis avaient pu organiser en 2008 ?
 
Et si l’État ne paie pas ? Alors la faillite semble inéluctable et avec le début d’une réaction en chaîne… L’apocalypse que prévoit un économiste réaliste dont le poste d’observation est en plein milieu de la tourmente.
 
 
Que faire :
 
Vous l’avez compris : laisser vos économies sur un compte courant présente aujourd’hui des risques !
 
L’idéal, comme toujours, est encore de diversifier votre épargne :
 
De l’argent liquide : Gardez toujours un peu d’argent liquide chez vous, discrètement et bien caché. Cela à l’air bête mais peu de gens le font et cela s’avère pourtant régulièrement utile (en cas de déplacement de plafond le week-end ou de problème de carte) ;
 
De l’or : Si les investisseurs professionnels se chamaillent pour savoir si l’or est un placement ou non… Il se trouve que par les temps qui courent c’est en tout cas une assurance que de nombreux investisseurs expérimentés ont déjà prise (je suis en train de préparer un dossier pour acheter de l’or dans les meilleures conditions si vous n’en avez pas l’habitude) ;
 
De l’immobilier : en tant que placement, il y a de nombreuses opportunités peu gourmande en énergie et en capital. On mentionne souvent les places de parkings, encore mieux que les studio… Car les voitures des mauvais payeurs, elles, peuvent coucher dehors en hiver.
 
Des Bitcoins : Les nouvelles monnaies telles que le Bitcoin doivent aussi être envisagées. Cela s’adresse plutôt a des investisseurs aguerris mais le Bitcoin existe depuis bientôt 10 ans et lors du Brexit, la monnaie virtuelle s’est envolée bien plus que l’or ;
 
Des objets de collection : des investissements dans des objets qui « stockent » la valeur peuvent avoir un sens, surtout si vous avez une passion. Sachez que les planches de BD se vendent une fortune aujourd’hui, comme certains meubles vintage. Attention, toutefois, le vin est un placement risqué à l’image des flacons qui peuvent toujours être bouchonnés après tout ;
 
De manière plus conventionnelle, il n’est pas inutile de conserver quelques actions d’entreprises bien choisies ;
 
Tous ces placements ne conviennent bien entendu pas à tout le monde. Ils ont chacun leur intérêts et leurs risques. J’y reviendrai dans les semaines qui viennent.

LE RISQUE SYTÉMIQUE DE LA DEUTSCHE BANK REJAILLIT SUR L’ALLEMAGNE

Hausse du cout pour s’assurer sur l’Allemagne; les marchés des CDS parient à juste titre que si la DB tourne de l’oeil, elle polluera l’Allemagne. Elle sera soit adossée, soit quasi nationalisée.

On oubliera toutes les stupidités (bail-in) que l’on essaie d’imposer aux autres comme les Italiens , on ne parlera plus de bail in. Et ce sera normal car les déposants n’ont rien à voir dans la position délirante de 46 trillions de dérivés qu’àprise la DB.

La concentration des dérivés dans le monde est une folie, ils sont concenrtés sur 4 établissements too big to fail (TBTF) et le mythe selon lequel seul le « net », le solde des positions compte est mensonger: dans une chaine, ce qui compte c’est la défaillance d’une contrepartie, c’est ce que l’on appelle le risque de contrepartie, c’est à dire le risque que le contrat ne soit pas honoré… en chaine.

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