Boboitude

Get out et le racisme de gauche !

Get out et le racisme de gauche

Profilage racial dans la police française ?

Moi le blanc.

En tant que blanc, je demande pardon au peuple noir d’avoir créé il y a plus de 70 ans le système des nations unis et d’avoir instauré le principe même des ONG découlant de ce système.

Je demande pardon d’avoir considérablement réduit la mortalité infantile sur le continent africain ainsi que d’avoir éradiqué de nombreuses maladies mortelles.

Je demande pardon d’avoir favorisé significativement la distribution de médicaments et la vaccination sur tous les territoires de votre peuple.

Je demande pardon d’avoir permis la modernisation des infrastructures des différents pays que comprend votre continent.  

Je demande pardon d’avoir travaillé sur la réduction notable de la paupérisation de votre peuple par d’innombrables initiatives de dons d’argent et l’ouverture d’échanges commerciaux croissants.

Je demande pardon d’avoir favorisé la logistique permettant l’approvisionnement régulier de nourriture et d’eau dans les régions les plus reculées du continent.

Je demande pardon d’avoir organiser l’implantation d’une multitude d’écoles et de permettre à tout enfant en Afrique l’accès à l’éducation mais aussi dans les différents pays où votre peuple réside.

Et surtout en tant que blanc, je demande pardon d’avoir cru que dans votre majorité, vous seriez capable de prendre le relais à votre essor social, économique et sanitaire.

E. Tallon @ 2020

« Quant à nos propres descendants, formaté à l’école de Big Other et conditionnés dès la plus petite enfance au métissage « comportemental » et culturel et aux impératifs de la France « plurielle », ils n’auront plus d’autres ressources que de se fondre sans moufter dans le nouveau moule « citoyen » du Français de 2050.

Tout de même, ne désespérons pas.

Assurément, il subsistera ce que l’on appelle en ethnologie des isolats, de puissantes minorités, peut être une vingtaine de millions de Français – et pas nécessairement de race blanche* – qui parleront encore notre langue dans son intégrité a peu près sauvée et s’obstineront à rester conscients de notre culture et de notre histoire telles qu’elles nous ont été transmises de génération en génération.

Cela ne leur sera pas facile.

Face aux différentes « communautés » qu’on voit se former dès aujourd’hui sur les ruines de l’intégration et qui, en 2050, seront définitivement et institutionnellement installées, il s’agira en quelque sorte – je cherche un terme approprié – d’une communauté de la pérennité française. Celle-ci s’appuiera sur ses familles, sa natalité, son endogamie de survie, ses écoles, ses réseaux parallèles de solidarité et de sécurité, peut-être même ses zones géographiques, ses portions de territoires, ses places de sûreté, et pourquoi pas, sa foi chrétienne, et catholique avec un peu de chance, si ce ciment-là a tenu.

*Tout à la fin du roman, dans le dernier carré du Camp des Saints, juste avant l’ecrabouillement, figure un natif de Pondichéry, du plus beau noir dravidien. ‘’A mon sens, dit-il, être blanc, ce n’est pas une couleur de peau, mais un état d’esprit…’’ ».

Jean Raspail (1925-2020)

 

« Je restai là quelques temps à rêver, les yeux fixés sur la muraille de pluie. C’est ainsi que les mythes demeurent, plus nécessaires à l’homme que le pain. »

Jean Raspail, La hache des steppes

Hommage à #JeanRaspail ce mercredi 17 juin à 10h00 à Paris en l’église Saint-Roch

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