Comment et pourquoi on met le feu aux Dames et au Bataclan : management par la terreur. C’est pour nous atterrer – c’est le K de le rire. Mettez les sous-pitres, pardon, sous-titres pour écouter cet expert allemand passé antisystème. Un grand merci à Pierre pour cette théorie de la constatation, euh, de la transpiration…

« […] la vraie menace n’est pas le racisme, c’est au contraire, une espèce de standardisation vers le plus bas niveau. » — George Steiner, « Apostrophes », Antenne 2, 9 octobre […]

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Une histoire juive et drôle : « Macron, en visite à Jérusalem, décède d’une crise cardiaque. Les diplomates israéliens proposent son rapatriement en France pour cinquante mille euros ou un enterrement sur place pour cent euros. Les diplomates français se consultent et répondent qu’ils préfèrent rapatrier le président en France. Les Israéliens leur demandent alors pourquoi dépenser cinquante mille euros alors qu’avec seulement cent euros il pourrait être enterré ici en Terre Sainte ? Les diplomates français gênés répondent : « Jadis, un homme est mort ici, a été enterré ici et, trois jours plus tard, il est ressuscité ! Nous ne pouvons pas prendre un tel risque. » Vous affolez pas, les gars, il est déjà réélu !

« […] si tous les hommes comprenaient ce qu’est vraiment le monde moderne, celui-ci cesserait aussitôt d’exister […]. » — René Guénon, La Crise du monde moderne (1927)

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Marie-Francine : ce petit film à l’acide de Valérie Lemercier (2016, vive dame Béatrice !), fait le poing sur notre humanité de franchouillards coincés, rivés devant leur TV ou leur ordi, obsédés de bouffe et de médicaments, infantilisés par le système et crétinisés par la paranoïa parisienne, enfin complètement remplaçables : et ils le sont en effet, ces non-créatifs au possible qui à cinquante ans semblent en avoir dix (cf. Tocqueville et ce pouvoir qui nous maintient dans l’enfance…)…

« L’âme bourgeoise se sent rachetée quand elle se proclame anticonformiste. » — Nicolás Gómez Dávila, Les Horreurs de la démocratie

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Cauchemar en marche, suite. Vers l’interdiction des relations sexuelles voire du sexe masculin – de ce qu’il en reste – en France. Le gars postmoderne se fait déposséder de sa nation, de sa liberté d’expression, de sa famille, de son salaire, de son épargne (merci Lagarde), et même maintenant – qui l’eût cru ? – de sa bagnole. Il circulera à trottinette et à bicyclette, comme ses grands-parents du temps de leur enfance. Le progrès qu’on lui promet, reflet de notre effondrement intellectuel, économique et technique, relève de la dystopie, de la paranoïa et de l’arriération des Neandertal. Céline : « Et les Français sont bien contents, parfaitement d’accord, enthousiastes. »

« […] l’égalité absolue amène forcément un despotisme aveugle et sans frein, et dont, l’action universelle se manifeste dans tous les sens et sous toutes les formes […]. » — Jacques Necker, […]

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«Vous êtes un vieil homme qui pense en termes de nations et de peuples. Il n’y a pas de nations. Il n’y a pas de peuples. Il n’y a pas de Russes. Il n’y a pas d’Arabes. Il n’y a pas de tiers-mondes. Il n’y a pas d’Occident. Il n’y a qu’un seul système holistique de systèmes, une domination vaste et immanente, entrelacée, en interaction, variée et multinationale de dollars, pétro-dollars, électro-dollars, multi-dollars, reichmarks, roubles, livres et shekels. C’est le système international de monnaie qui détermine la totalité de la vie sur cette planète. C’est l’ordre naturel des choses aujourd’hui.»

« […] le degré d’homogénéité des sociétés occidentales actuelles excède largement celui des sociétés totalitaires du siècle passé. » — Alain de Benoist, Vu de droite (1977, préface de 2002)

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« Il y a trois sortes de violence. La première, mère de toutes les autres, est la violence institutionnelle, celle qui légalise et perpétue les dominations, les oppressions et les exploitations, celle qui écrase et lamine des millions d’hommes dans ses rouages silencieux et bien huilés. La seconde est la violence révolutionnaire, qui naît de la volonté d’abolir la première. La troisième est la violence répressive, qui a pour objet d’étouffer la seconde en se faisant l’auxiliaire et la complice de la première violence, celle qui engendre toutes les autres. Il n’y a pas de pire hypocrisie de n’appeler violence que la seconde, en feignant d’oublier la première, qui la fait naître, et la troisième qui la tue. » Dom Helder Camara

« Aux yeux de la bourgeoisie contemporaine, tout est admirable qui écarte l’idée de violences. Nos bourgeois désirent mourir en paix ; — après eux le déluge. » — Georges Sorel, Réflexions […]

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Le blog A Lupus un regard hagard sur Lécocomics et ses finances

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