Pensez vous il faut bien la nourrir, et grassement, toute cette Enarchie Mitterrando-Chiraquienne et toute l’armada de serviteurs zélés en attente de nouveaux avantages qui restent à acquérir…. En attendant on continue à tondre le mouton si fier de la « qualité de ses sévices publics »… Le tout dans la joie et la bonne humeur et comme dirait le grand Charles (non pas lui l’autre !!!!) :

Y’a de la joie! Bonjour, bonjour les hirondelles
Y’a de la joie! Dans le ciel par dessus les toits
Y’a de la joie! Et du soleil dans les ruelles
Y’a de la joie! Partout, y’a de la joie!

POUR TOUT SAVOIR DE CE NOUVEL INDICE ET PLUS ENCORE :

samedi13 juin 2009

Création d’un indice d’oppression fiscale

Par Emmanuel Garessus, Zurich le Temps

L’Institut Constant de Rebecque défend la concurrence fiscale et contribue au débat sur ce thème par exemple avec le Centre de concurrence fiscale. Le think tank romand publie maintenant un indice d’oppression fiscale et une étude sur la charge fiscale et les droits individuels.

 «Au lieu de combattre la concurrence fiscale, il n’est peut-être pas de tâche plus urgente à notre époque que de limiter l’oppression fiscale», écrit en préface de l’étude Pascal Salin, professeur émérite à l’Université de Paris Dauphine.

Dix-huit critères

L’indice comprend 18 critères représentatifs mesurant l’attractivité fiscale, la qualité de la gouvernance fiscale et la protection de la sphère privée dans 30 Etats membres de l’OCDE. L’indice, établi sur une échelle de 0 à 10, est une valeur relative à d’autres pays.

La Suisse est le pays avec l’oppression la moins forte. Elle bénéficie d’«une charge fiscale relativement modérée et d’un ordre institutionnel plus libéral prévoyant un droit de veto des citoyens et une protection de la sphère privée», explique Pierre Bessard, délégué de l’Institut Constant.

L’Italie et la Turquie sont les pays avec la plus forte oppression fiscale. L’Allemagne et la France, dont les gouvernements ont encouragé les efforts de l’OCDE, sont également «parmi les pays les plus équivoques lorsqu’il s’agit de défendre les droits individuels de leurs résidents».

Pascal Salin note un paradoxe: les Etats ont établi une politique visant à imposer la concurrence aux producteurs privés. «Or la concurrence n’est rien d’autre que la liberté d’agir. Il est alors paradoxal que ces mêmes Etats ne s’appliquent pas à eux-mêmes les règles qu’ils prétendent imposer aux autres et qu’ils partent en guerre contre la concurrence fiscale», explique-t-il. «Ce n’est donc pas la concurrence qui est dommageable, mais l’absence de concurrence», selon le professeur français. Les Etats veulent priver les citoyens de choisir l’environnement fiscal qui leur paraît le meilleur, poursuit Pascal Salin.

Selon l’étude, la campagne menée par l’OCDE occulte l’essentiel, à savoir le rôle important qu’exercent la concurrence fiscale et les paradis fiscaux dans la préservation et la formation de capital.

Classement des pays selon les critères d’oppression fiscale :

http://www.letemps.ch/Page/Uuid/f7c69e0c-5791-11de-8617-d7d69efee15f/ 

CENTRE POUR LA CONCURRENCE FISCALE :

http://www.concurrencefiscale.ch/

 ET TOUJOURS D’ACTUALITE :

http://leblogalupus.com/2009/05/05/avec-dan-mitchell-du-cato-institute/

http://leblogalupus.com/2009/04/01/de-la-pauvrete-dune-nation/

 QU’ON SE RASSURE CE N’EST PAS PRES DE S’ARRETER CAR ON NE CHANGE PAS UNE EQUIPE QUI GAGNE !!!! 

France: crise et plan de relance font exploser le déficit de l’Etat (72 mds)PARIS, 12 juin 2009 (AFP)

Le déficit budgétaire de la France a explosé à 71,9 milliards d’euros fin avril, contre 45 milliards d’euros à la même date de 2008, sous l’effet du plan de relance et de « l’évolution moins favorable des recettes fiscales », a annoncé vendredi le ministère du Budget.

Fin mars, le déficit était de 43,7 milliards d’euros.

Au 30 avril, les dépenses totales (budget général et prélèvements sur recettes) atteignent 127,0 milliards d’euros contre 123,1 milliards au 30 avril de l’année précédente, précise le ministère du Budget dans un communiqué.

« Cette évolution traduit, notamment, les effets de la mise en oeuvre du plan de relance voté dans le cadre du premier collectif budgétaire pour 2009 », explique le ministère.

Les dépenses budgétaires exécutées au titre de ce plan s’élèvent ainsi à 2,9 milliards d’euros à la fin du mois d’avril, dont 800 millions pour la prime de solidarité active versée au début du mois d’avril à 4,15 millions de ménages modestes, précise-t-il.

« Hors plan de relance, l’évolution d’une année sur l’autre des dépenses est maîtrisée », assure-t-il.

Au 30 avril, les recettes du budget général s’établissent, elles, à 70,2 milliards d’euros contre 92,5 milliards au 30 avril de l’année précédente.

A la fin du mois, les recettes fiscales nettes s’élèvent à 65,6 milliards, en baisse de 24,7 milliards par rapport à la même date en 2008.

« Cette baisse s’explique à la fois par la mise en oeuvre des mesures de soutien à la trésorerie des entreprises dans le cadre du plan de relance (6,8 milliards) et par l’évolution défavorable des recettes fiscales sous le coup de la conjoncture économique », explique le ministère.

Hors plan de relance, l’évolution des recettes fiscales (-19,8% par rapport à 2008) « est surtout affectée par un recul du produit de l’impôt sur les sociétés » (-11,7 milliards par rapport à l’an dernier), « conséquence de la dégradation des résultats des entreprises en 2008, et des recettes de TVA (-5,1 milliards) », détaille le ministère.