Allemagne

The War is Over: Cologne, Mein Kampf et les tabous allemands Par Eric Verhaeghe et autres Billevesées

Les incidents de Cologne, avec ses 170 plaintes de femmes victimes de violences sexuelles collectives, constituent un redoutable test nerveux pour le nationalisme racial allemand, mis sous le boisseau depuis 1945. Cet épisode a l’intérêt de placer au centre du débat la question du déni et des tabous – c’est un sujet freudo-lacanien au fond – au moment même (ironie de l’Histoire!) où les librairies allemandes vont mettre en vente la première réédition de Mein Kampf depuis la défaite du Reich.

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Jusqu’ici tout va bien Eric Verhaeghe 9/1/16

Parler de Cologne sans tabou

On s’amusera d’abord des monstrueuses contradictions des féministes à propos des incidents de Cologne. Anne-Cécile Mailfert, par exemple, président d’Osez le féminisme, a osé affirmer sans rire:

La manipulation nationaliste des crimes de Cologne est dangereuse pour les femmes

Ainsi va le bobo parisien. Quand un Français « gaulois » tient des propos machistes, c’est un horrible exploiteur qui mériterait dix ans de bagne, quand un millier de migrants investit un centre ville pour se livrer à des exactions en bande organisée, c’est une manipulation nationaliste. L’incapacité de mettre des mots sur la réalité, cette mise sous le tabou des événements qui dérangent, est la caractéristique même de la pensée unique qui favorise la radicalisation politique.

Au passage, la pitoyable Anne-Cécile Mailfert a le mérite de montrer comment le tabou de la pensée bobo est indissociable d’un complotisme mal assumé. Remettre en cause la tyrannie des minorités en s’avouant qu’il y a au moins autant d’ordures chez les migrants que chez les autochtones, que le fait d’appartenir à une minorité ne suffit pas à transformer un coupable en victime, n’est évidemment pas possible. Si certains faits nous y contraignent, c’est forcément parce qu’il s’agit d’un coup monté de ceux qu’on n’aime pas: les nationalistes, les extrémistes, les homophobes, les mysogines,… la liste évolue au gré des complots.

Toute la difficulté du temps présent, sur l’affaire de Cologne comme sur bien d’autres, est d’arriver à mettre des mots sur les choses, à violer les tabous en quelque sorte.

Quand un attentat est commis au nom d’Allah, on n’a pas le droit de dire que le terrorisme musulman tue (puisque, vous comprenez, ce ne sont pas des musulmans qui ont fait ça). Quand, selon la police, au moins un millier d’Arabes et de Maghrébins verrouillent le quartier de la cathédrale de Cologne pour passer des centaines de femmes à la casserole, on n’a évidemment pas le droit de dire que, dans la représentation musulmane, une femme qui n’est pas voilée est perçue comme une prostituée qui ne mérite pas le respect.

Et pourtant, c’est un fait: les Musulmans n’ont majoritairement pas de respect pour les femmes qui ne sont pas voilées, sauf lorsqu’ils ont accepté d’entrer dans un processus d’assimilation des valeurs indo-européennes.

Cologne et le tabou allemand du viol collectif

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Dans le cas allemand, l’aventure est encore plus piquante, puisque l’histoire du nationalisme allemand est étroitement liée au viol collectif. Les Français sont assez éloignés de ces contingences, mais l’Allemagne (et spécialement la Prusse) vit toujours sous le fait d’un terrible tabou: en 1945, l’Armée Rouge s’est livrée à des viols massifs sur les femmes allemandes, qui payaient ainsi les 20 millions de morts infligés, souvent dans des conditions atroces, à l’Union Soviétique par leurs maris. Les historiens affirment notamment que la moitié des Berlinoises a fait l’objet de ce traitement dégradant au moment de l’occupation de la ville.

Traduit en 2006 en français sous le titre: Une femme à Berlin, le récit de Martha Hillers est très éclairant sur ce traumatisme longtemps occulté du fait de la défaite et des crimes nazis.

Mêlant lucidité et cynisme à une précision rigoureuse, Marta Hillers y rend compte, jour après jour, des viols qu’elle subit comme si elle-même n’en était pas l’objet. Comme si la glace qui envahit son corps au moment où il est violenté habitait le récit en entier.

Les viols qui ont eu lieu à Cologne (et dans d’autres villes allemandes) font évidemment écho à cette histoire qui continue à nouer les tripes teutonnes: l’occupant étranger constitue une menace collective pour les femmes allemandes, mais le dénoncer est un crime de nationalisme insupportable.

A Hambourg, 50 plaintes ont été déposées dont 38 pour des agressions sexuelles. A Düsseldorf, 40 femmes se disent également victimes. Le scénario est souvent le même : des groupes d’hommes apparemment arabes ou nord-africains les encerclent, parfois à 20 ou 30. Munich, Stuttgart, Berlin, Nuremberg et Francfort ne sont pas épargnées.

On voit bien comment l’opinion allemande balance entre dénoncer le crime au risque d’assumer les vieux démons, ou proscrire ces vieux démons en niant le crime.

EN ALLEMAGNE ON A INTERDIT À LA POLICE DE DIRE LA VÉRITÉ SUR LES AGRESSIONS

 Au moins cela se sait, cela s’écrit et même dans un média grand public comme Bild. Le point d’interrogation est l’hommage   du vice à la vertu journalistique.

En France la censure est tellement intériorisée que rien ne transpire, sauf peut être le front des  responsables de l’AFP qui doivent se charger du sale boulot!

Nous vous rappelons que le quotidien Die Welt avait déjà révélé  le 7 Jnavier, que l’on avait voulu dissimuler l’origine des agresseurs.

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Selon les informations publiées par le journal Welt am Sonntag, jeudi 7 janvier, la police de Cologne, contrairement à ce qu’avait au départ déclaré sa direction, disposerait d’informations précises sur les auteurs présumés des agressions sexuelles commises ce soir-là. Les forces de l’ordre auraient en effet contrôlé dans la soirée une centaine de personnes à la suite de ces actes de violence. Certaines d’entre elles auraient été interpellées et placées en garde à vue peu après les faits.

« Seule une petite minorité de ces personnes était des Nord-Africains, la plus grosse partie était des Syriens », affirme le journal (…)

Welt am Sonntag, classé à droite dans la presse allemande, cite le témoignage anonyme de policiers présents place de la Gare au moment des faits. Blessés par les critiques du ministre de l’intérieur, Thomas de Maizière, à leur endroit, les fonctionnaires ont expliqué que les informations données par le chef de la police locale, Wolfgang Albers, n’étaient pas justes. Ce dernier avait déclaré que la police ne disposait d’aucune information sur l’identité des agresseurs. La maire de Cologne, Henriette Reker, avait même ajouté que « rien ne permettait de dire qu’il s’agissait de réfugiés ».

Or, d’après Welt am Sonntag, cent personnes ont été contrôlées le soir du 31 décembre 2015, et certaines d’entre elles ont été conduites au poste.

Les résultats de ces contrôles contrediraient la version officielle : les personnes en question « ont présenté des documents reçus lors de l’enregistrement des demandes d’asile, a déclaré un policier au journal.

Ils voulaient surtout commettre des agressions sexuelles, ou, pour le dire dans leur logique, s’amuser sexuellement ».

D’après le policier cité par le journal, il n’y avait pas ce soir-là un millier d’individus, comme avancé au départ, mais « plus de 2 000 personnes, presque toutes d’origine arabe, réparties dans un rayon de deux kilomètres autour de la gare centrale.

Personne ne s’attendait à cela, et personne ne pouvait le prévoir ». Ces faits seraient confirmés par un rapport de la police de Cologne daté du 2 janvier, que Welt am Sonntag a pu se procurer. Le chef du syndicat de la police en Rhénanie-du-Nord – Westphalie, Arnold Plickert, estime que l’information selon laquelle « rien ne permettait de penser qu’il s’agissait de réfugiés était fausse ».

« Nous avons des informations selon lesquelles des réfugiés faisaient partie des suspects », a confirmé le président du syndicat de la police fédérale, Ernst G. Walter, sur la chaîne publique ARD, en précisant que l’enquête devait identifier si ces derniers faisaient obligatoirement partie du groupe du cercle d’agresseurs les plus violents. Certains des réfugiés suspects étaient hébergés dans des centres d’accueil de la ville de Duisbourg, ils étaient munis de papiers émis par l’Office des migrations (…)

Source : http://www.lemonde.fr/europe/article/2016/01/07/la-police-de-cologne-reconnait-avoir-ete-depassee-lors-des-agressions-du-nouvel-an_4843553_3214.html?utm_medium=Social&utm_source=Twitter&utm_campaign=Echobox&utm_term=Au

Après les agressions sexuelles massives perpétrées à Cologne dans la nuit du 31 décembre, les autorités fédérales et locales ont assuré ne pas avoir d’informations sur la participation de migrants dans ces attaques, rappelle le quotidien Bild.

Cependant, un document policier daté du 2 janvier dont le journal a obtenu copie indique que les forces de l’ordre ont alors interpellé plus de 70 personnes, pour la plupart des demandeurs d’asile.

Selon un haut responsable de la police de Francfort-sur-le-Main, il existe « une interdiction de divulguer les crimes commis par les réfugiés« . Le Bild affirme que des instructions similaires ont été données à la police de la Rhénanie-du-Nord-Westphalie.

Une vague d’agressions sexuelles commises par des jeunes « d’apparence arabe ou nord-africaine » a eu lieu dans la nuit du 31 décembre au 1er janvier à Cologne. La police a reçu deux centaines de plaintes de la part de victimes d’agressions, dont deux pour viol.

Des faits similaires ont eu lieu dans d’autres villes allemandes pendant la nuit du Nouvel an, dont Hambourg, Berlin, Francfort-sur-le-Main, Stuttgart et Bielefeld.

A l’approche du Nouvel an, quatre réfugiés syriens ont violé deux filles âgées de 14 et 15 ans dans la ville de Weil am Rhein (Baden-Württemberg).

La police n’a divulgué les faits que le 7 janvier suite à de nombreuses requêtes de la part des médias.

D’après les révélations du journal allemand Bild, les policiers auraient reçu l’ordre de ne pas ébruiter les crimes perpétrés par les migrants lors de la nuit de Saint-Sylvestre à Cologne «pour ne pas provoquer une explosion sociale et des manifestations».

Selon les informations de Bild, les policiers de Gessen ont reçu la consigne de ne pas parler de ces affaires. «On a dit aux directeurs des services de communications que le sujet des « réfugiés » aurait pu être utilisé par les extrémistes de droite pour monter la population contre ceux qui ont besoin de protection», a déclaré le porte-parole du département de l’Intérieur de Gessen, Michael Schaich.

Sources : http://fr.sputniknews.com/international/20160109/1020812796/allemagne-migrants-agressions-police.html#ixzz3wkcesdMS

https://francais.rt.com/international/13262-stuttgart-hambourg-ont-aussi-ete

-http://civilwarineurope.com/2016/01/09/allemagne-la-police-a-lordre-de-ne-pas-communiquer-sur-les-crimes-des-migrants/

Cologne et la fin du tabou allemand

Madame Merkel , vous avez réussi à faire en sorte que j’ai peur pour moi et mes enfants

L’ironie de l’Histoire veut que ces incidents extrêmement graves, qui ont mis la police en difficulté, surviennent au moment où Mein Kampf fait l’objet de sa première réédition depuis 1945. Les pages de l’histoire collective se tournent parfois de façon plus criante et polémique qu’on ne croit.
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Dans la pratique, et contrairement à ce qui est souvent dit ou imaginé en France, les Allemands ne sont pas du tout au clair avec leur héritage nazi. Officiellement, bien sûr, tout cela est de l’histoire ancienne. En réalité, derrière l’apparent sommeil nationaliste allemand, les démons sont toujours prêts à ressurgir. Il faudrait être naïf pour croire que vingt ans d’exacerbation égotiste collective ancrée dans les profondeurs de l’esprit germanique peuvent être rayés d’un trait de plume.

Jusqu’ici, le nationalisme allemand post-1945 a eu le bon goût de s’exprimer de manière détournée. Par exemple, l’obsession nazie de la pureté a trouvé un utile dérivatif dans l’idéologie des Grünen, et l’anti-libéralisme viscéral du peuple de la forêt s’est longtemps exprimé dans l’anti-américanisme des pacifistes allemands. Contrairement à ce que les Français croient, la résurgence nationale allemande s’est plus facilement faufilée, après 1945, dans les discours de la gauche allemande (notamment alternative) que dans ceux de droite (même s’il faut ici accorder une mention spéciale à la CSU, dont le militant de base est difficile à distinguer du petit propagandiste de la race aryenne sous le format 1932).

La question qui se pose au moment où l’Allemagne remet en vente officielle Mein Kampf et au moment où l’arrivée brutale d’un million de migrants non-Européens constitue un choc pour le pays, est de savoir si le nationalisme allemand continuera à prendre des chemins détournés pour s’affirmer, ou si les Allemands vont l’assumer comme tel. Autrement dit, les incidents de Cologne sont-ils le début d’un processus qui va transformer l’offre politique allemande et favoriser l’émergence des Pegida et de l’Alternative für Deutschland?

Nous le saurons dans les prochains mois, mais, à coup sûr, la prise de risque incommensurable pour l’Europe qu’a constitué l’appel à un million de migrants de la part d’Angela Merkel se transforme de plus en plus en bombe à retardement pour le nationalisme tudesque.

Allemagne : plusieurs centaines de femmes expriment leur colère à Cologne, Pediga y organise une manifestation (live vidéo)

proxy16h00 : La police utilise des canons à eau contre les manifestants de PEGIDA. Il aurait été mieux qu’elle le fasse contre les migrants violeurs…14h00 : Plusieurs centaines de femmes se sont réunies samedi à la mi-journée sur les marches de la cathédrale de Cologne, dans l’ouest de l’Allemagne, pour protester contre les violences qui impliqueraient des réfugiés le soir de la Saint-Sylvestre.Brandissant des pancartes affirmant «Non veut dire non. C’est notre loi. Restez loin de nous» ou «Non à la violence contre les femmes, que ce soit à Cologne, à la fête de la bière ou dans la chambre à coucher», ces femmes se sont fait entendre avec des sifflets et en tapant sur des casseroles, selon un journaliste de l’AFP.«Nous voulons de nouveau nous sentir en sécurité. (…) Je suis là pour toutes les mères, les filles, les petites-filles, les grand-mères, qui veulent se déplacer en toute sécurité», a expliqué à l’AFP Martina Schumeckers, une musicienne de 57 ans, organisatrice du rassemblement.Cette manifestation doit être suivie en début d’après-midi par un rassemblement du mouvement Pegida («Patriotes européens contre l’islamisation de l’Occident»), qui selon la police pourrait attirer un millier de participants.

A la mi-journée, non loin d’imposantes forces de police, un millier de contre-manifestants de gauche et Antifa se rassemblaient déjà, à l’autre extrémité de la place principale de Cologne, avec des pancartes clamant «Les réfugiés sont les bienvenus» ou encore «Le fascisme n’est pas une opinion, c’est un crime».

«Il est inacceptable que Pegida exploite l’horrible violence sexuelle perpétrée ici au Jour de l’An et répande ses conneries racistes», a déclaré Emily Michels, 28 ans, avec un mégaphone.

Source : https://francais.rt.com/international/13262-stuttgart-hambourg-ont-aussi-ete

Cologne et les tabous français

Les incidents de Cologne n’ont pas seulement un impact en Allemagne. Ils interrogent aussi les bobos français toujours prompts à nier chez les autres ce qui leur semblent évidents chez les Français. Répétons-le: alors que la sélection du festival de la BD à Angoulême donne lieu à des généralisations hâtives sans aucun complexe (tous les amateurs de BD sont machistes, c’est bien connu), oser dire que la culture musulmane est misogyne pose en revanche un problème insupportable.

Les raisons de ce problème sont bien connues: l’homme blanc incarnant la majorité dominante est forcément taxable de tous les maux, en revanche l’homme maghrébin est un ancien colonisé, en position de faiblesse, qu’il est exclu de critiquer même lorsque, d’une ville à l’autre, le même mode opératoire regroupant les mêmes segments de population montre qu’il ne s’agit pas d’un accident individuel mais d’un fait collectif.

Le sujet qui se pose est évidemment celui de la riposte possible à l’infériorisation de la femme dans la culture musulmane. Il ne s’agit pas de dire que tous les musulmans sont des violeurs potentiels. Il s’agit de reconnaître que l’Islam a un problème massif avec le statut de la femme, et que le moment vient de le traiter de façon claire et déterminée.

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http://www.eric-verhaeghe.fr/incidents-de-cologne-quand-lallemagne-seveillera/

Une Allemande brûlée par des réfugiés témoigne en pleurant « Mes cicatrices seront permanentes »

femme-448x293Il y a eu des manifestants à Cologne mardi soir, face de la cathédrale qui, avec la gare, a été la scène du chaos durant le réveillon du Nouvel An quand une foule d’environ 1000 jeunes hommes, beaucoup d’entre eux en état ​​d’ébriété, ont attaqué les passants et la police avec des feux d’artifice, et ont causé vols et agressions sexuelles. La police a déclaré que les assaillants étaient d’apparence africaine ou arabe au nord, un fait établi par des témoins. « Nous avons été caressées, j’ai été tripotée entre mes jambes. Mes amis ont également été caressées. Mon ami a essayé de me détacher. Il y avait un grand groupe de personnes, peut-être trente ou quarante individus », a déclaré une victime clairement en détresse.Les hommes arrêtés par la police ont déclaré qu’ils tiraient les feux d’artifice « pour le fun ». Mais ce n’était pas amusant pour Jenny.« J’ai entendu un bruit de grésillement dans ma capuche. J’ai essayé de plusieurs façon d’enlever le pétard de la capuche. Alors il est tombé dans ma veste et a tout brûlé. Les cicatrices seront permanentes. J’ai eu de la chance qu’il n’ait pas éclaté. »

Source : http://lesobservateurs.ch/2016/01/09/allemande-brulee-refugies-temoigne-pleurant-cicatrices-seront-permanentes/?utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter

Allemagne : le rapport interne de la police de Cologne fait froid dans le dos

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germany_cologne_sexattacksDans la nuit de la Saint-Sylvestre à Cologne, l’Etat ne contrôlait plus la situation. Tel est le constat d’un rapport interne de la police fédérale daté du 4 janvier et publié ce jeudi par le «Spiegel». Ce rapport, rédigé par un cadre de la police, fait froid dans le dos. Femmes et jeunes filles, accompagnées ou non, ont été assaillies de toutes parts par des hordes d’hommes alcoolisés et loin de se laisser impressionner par la présence policière.Cette nuit-là, les forces de l’ordre ont été témoins d’innombrables passants, des femmes surtout, bouleversées, en larmes, qui rapportent vols et violences sexuelles. Tous les témoignages décrivent des groupes de «migrants masculins».Toute identification s’est révélée impossible sur le moment tant la police était débordée, continue le rapport. «Les forces de l’ordre ne contrôlaient plus les incidents, les agressions, les délits. » Face à l’impossibilité d’aider les victimes, les policiers se sont sentis frustrés.En outre, le rapport établit une liste concrète d’incidents vus ou vécus par les policiers :– Les groupes d’hommes ont formé des cercles serrés afin d’empêcher les forces de l’ordre de porter secours au victimes;
– Un homme a lancé aux policiers: «Je suis Syrien, vous devez bien me traiter. Madame Merkel m’a invité»;
– Des témoins ont été menacés dans le cas où ils nommeraient les coupables;
– Des hommes ont déchiré leur permis de séjour sous les yeux des policiers en ricanant et en disant: «Vous pouvez rien contre moi, donnez m’en un nouveau demain.»
– Les ordres de quitter les lieux n’ont pas été écoutés. Faute de moyens, les interpellations étaient impossibles;
– Après la fermeture des quais de gare à cause de la foule, de nombreux individus ont rejoint un autre quai puis traversé les voies pour rejoindre le quai bondé.Le rapport indique que, pendant l’évacuation de la place de la gare, les forces de l’ordre ont été la cible de fusées et de jets de bouteilles. Malgré l’évacuation, les vols et agressions ont continué à plusieurs endroits à la fois.L’auteur du rapport note que jamais, en 29 ans de service, il n’avait vécu telle situation et un tel manque de respect vis-à-vis de la police.Manquant de personnel, «les forces de l’ordre ont rapidement été débordées». L’intervention a duré de 21h45 à 7h30.L’auteur décrit la situation du Nouvel An à Cologne comme «chaotique» et «humiliante» (…)Source :https://www.bluewin.ch/content/bluewin/fr/infos/international/2016/1/7/allemagne–le-rapport-interne-de-la-police-fait-froid-dans-le-do.html

Allemagne : les témoignages des policiers de Cologne confirment l’origine des violeurs et l’ampleur des agressions

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Cologne-Migrants-viols-agressions-Nouvel-An-Allemagne-e1452009952534(…) un autre officier donne des détails importants sur le scandale de Cologne. Il est officier de police expérimenté et était présent la veille du Nouvel An.Une question centrale demeure : Qui étaient les personnes qui formaient la Mob ? (…)L’officier révèle maintenant qu’il y avait eu dans la nuit 15 arrestations provisoires par son groupe.Ces personnes étaient « depuis seulement quelques jours ou quelques semaines » en Allemagne. « Parmi ces personnes, 14 étaient de Syrie et l’autre d’Afghanistan. Voilà la vérité. Bien que cela fasse mal.  »Un autre responsable :«J’ai eu des jeunes femmes en pleurs à côté de moi, qui ne portait plus de culotte, après que la foule leur ai arraché. Se sont les images qui m’ont le plus choqué et que nous avons eu à traiter en premier. Outre le fait que nous étions occupés à essayer de nous protéger parce que nous avons été attaqués massivement » (…)

Source : http://www.express.de/koeln/polizei-fuehrer-berichtet-meine-nacht-mit-dem-brutalen-mob-23315166

Saxe : plus de 1000 crimes et violences dans les centres d’asile en 2015, la police accusée de dissimulation

by guerrecivileeneurope

Agressions, abus sexuels, homicides. Ce que vous lisez ici est rarement apparu dans la presse rapporte la police. De nombreux crimes ont été commis dans les centres d’asile en Saxe. Et selon l’enquête de BILD, cette longue liste n’a pas encore complète.

En Saxe, il y a eu en 2015 (du 1er janvier au 30 novembre, Note de FDS), selon le ministre de l’Intérieur Markus Ulbig « 1,006 faits de violences et crimes crimes contre les personnes » dans les centres d’asile, y compris onze cas de tentatives d’homicides.

Seulement trois d’entre eux ont été publiés. Huit cas d’abus sexuels et de viols, en partie sur des enfants, sont restées sous le boisseau.

Source : http://www.bild.de/news/inland/sex-uebergriffe-silvesternacht/wird-verboten-die-wahrheit-zu-sagen-44077302.bild.html traduction via fdesouche.com

Nouvel an : 500 immigrés font irruption dans une boite de nuit allemande et agressent des femmes

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arton37115-22c06De plus en plus d’informations paraissent sur l’ampleur des agressions sexuelles orchestrées par des immigrés dans différentes villes d’Europe.Le Westfalen Blatt rapporte qu’à Bielefeld (ville industrielle dans la Rhénanie-du-Nord-Westphalie), environ 500 hommes d’origine immigrée ont fait irruption dans une boîte de nuit le soir du Nouvel An, et y ont agressé sexuellement plusieurs femmes. La police a fini par confirmer l’information au journal.Source : http://www.egaliteetreconciliation.fr/Nouvel-an-500-immigres-font-irruption-dans-une-boite-de-nuit-allemande-et-agressent-des-femmes-37115.html

NOTE DE BRUNO BERTEZ

L’immigration déstabilise les démocraties

 Par évènements il faut entendre non seulement ce qui s’est passé le soir de la Saint Sylvestre, attaques organisées contre … vous complétez vous mêmes s’il vous plait. Au choix : femmes, valeurs, modes de vie, sécurité, culture, civilisation….

Non, il ne faut pas en rester là, faut inclure la suite, cette séquence est à mon avis beaucoup plus grave:

  • -Incapacité de la police à protéger les citoyens, à prévoir, à mettre en action les hommes et les moyens nécessaires.
  • -Tentative de dissimuler les évènements, de les tronquer.
  • -Tentative d’occulter l’origine des agresseurs.
  • -Instructions données à la presse de falsifier les comptes-rendus.
  • -Déclaration de la mairesse de Cologne significatives d’un état d’esprit dominant; c’est nous qui devons-nous adapter.
  • -Intervention de Merkel en faveur des assaillants.
  • -Déblocage de sommes considérables au niveau européen, pour apprendre aux migrants “le mode d’emploi de nos femmes” je n’exagère pas…
  • -Manifestations spontanées partout en Allemagne à point tel que les médias ont dû retourner leur veste.
  • -Manifestations violentes, émeutes dimanche sous la conduite de Pegida.
  • -Contre manifestations tout aussi violentes qui font s’affronter entre eux des citoyens Allemands.

Tout ceci pour vous faire toucher du doigt les conséquences profondes, au-delà des évènements, qui vont affecter nos sociétés. On -et je dis “on” volontairement, pour marquer l’anonymat- on divise nos sociétés, on nous met dans le camp des coupables, des perdants, de ceux qui doivent baisser la tête! L’immigration est un moyen, je le dit tout clair de nous mater. De nous radicaliser et … et bien on verra la suite.

Il faudrait d’ailleurs que l’on se penche sur l’alchimie “du politiquement correct”. Bien peu ont remarqué le lien qu’il y avait entre d’un côté la pression des minorités et de l’universel et de l’autre la pression du “politiquement correct”. “Le politiquement correct” est un moyen d’encadrer non seulement la parole, mais la pensée, les intentions, les comportements et ensuite la formation des sujets. C’est un moyen de  dominer, de mettre au pas. D’abord cela parait favorable aux minorités puisqu’elles y gagnent au passage, mais au fond, cela asservit tout le monde: les minorités qui dépendant du pouvoir pour leur protection et les autres qui sont l’objet des répressions.

A la limite au lieu de s’affronter entre eux comme dans  les jeux du cirque les minorités et les dominés devraient s’allier, se mettre ensemble, comme Spartakus, pour se révolter contre ceux qui cherchent à devenir leurs maitres en utilisant les uns contre les autres.

Imaginez, rêvez cette alliance qui renverse les fronts! Mais comme dans le sinistre et méprisable pub du Crédit Lyonnais, je rêve.

http://leblogalupus.com/2015/10/22/limmigration-destabilise-les-democraties-par-bruno-bertez/

EN BANDE SON : 

3 réponses »

  1. Les migrants sont des SA de la comission europeenne de bruxelles et de +-“Soros et cie”

    Sinon depuis 2 mois je repense à un bouquin US de circa 1945 que j’ai vu en ligne, et que je ne retrouve plus.

    le livre rédigé en 1945 est +-“comment detruire l’allemagne”, entre autre:
    =>stérilisation
    =>métissage de force

    Dans les faits 60 ans aprés c’est ce qu’il s’est passé ou se passe ni plus ni moins

    • on notera que c’est l’inverse cosmétologiquement de mein kampf

      (merkel l’europe de bruxelles marketingment se positionnant sytématiquement selon la matrice opposée ou inverse de mein kampf… ce qui ne les empêche pas d’avoir recours à des nervis qui ont bien des uniformes pas SA mais c’est idem, afin de pressuriser le peuple)

  2. – Agressions sexuelles en Allemagne, le bilan se monte maintenant à 600 victimes et ce n’est pas fini. PUBLIÉ PAR JEAN-PATRICK GRUMBERG LE 11 JANVIER 2016
    http://www.dreuz.info/2016/01/11/agressions-sexuelles-en-allemagne-le-bilan-se-monte-maintenant-a-600-victimes-et-ce-nest-pas-fini/

    – Avertissement de l’archevêque de Mossoul https://unmondesansislam.wordpress.com/2014/08/23/chretiens-dorient-lavertissement-de-larcheveque-de-mossoul/

    – « Le viol est une tradition [Sunna]. Le viol n’est pas un péché. Le viol est permis et encouragé par Mahomet et le Coran. L’Islam est le seul système politique au monde qui réglemente le viol et la guerre. Le viol fait partie du djihad. Un Musulman peut violer une femme kafir (non-musulmane) et gagner ainsi des points pour son entrée au paradis.”
    http://ajm.ch/wordpress/?p=913

    – Viols de masse à Cologne : La réalité de l’invasion barbare dévoilée par Boris Le Lay

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