1984

Islamisme – Douce France : Les lois Pleven et Gayssot sont des lois scélérates, elles se retourneront contre la République. Seul ce qui est formulé peut faire l’objet d’un débat démocratique et républicain Par Bruno Bertez

Georges Bensoussan, historien, avait publié en 2002 le livre « Les Territoires perdus de la République ». Il vient de sortir « Une France soumise », qui, suite au témoignage de 70 acteurs de terrain, dresse un bilan effrayant d’une France abandonnée qui a capitulé, dans de nombreux secteurs, face à ce qu’il appelle le communautarisme. Jacques Guillemain en avait fait un article plutôt élogieux, tandis qu’Henri Dubost regrettait la timidité des auteurs, qui ne parlaient que des conséquences, et pas des causes : l’immigration et l’islam.

https://ripostelaique.com/une-france-soumise-de-bensoussan-policiers-medecins-enseignants-parlent.html

https://ripostelaique.com/la-france-soumise-un-constat-pour-rien.html

Mais là n’est pas l’essentiel, tout ce qui contribue à favoriser une prise de conscience de nos compatriotes doit être encouragé.

C’est cet homme, par ailleurs rédacteur en chef de la revue d’Histoire de la Shoa, qui se retrouvera à son tour devant la 17e Chambre, ce mercredi 25 janvier. Son crime ? Avoir osé évoquer l’antisémitisme des sociétés arabo-musulmanes, en prononçant ces deux phrases : « Dans les familles arabes, en France, et tout le monde le sait mais personne ne veut le dire, l’antisémitisme, on le tète avec le lait de la mère », référence à une citation d’un sociologue algérien, Smain Laacher.

L’autre phrase incriminée : « Aujourd’hui, nous sommes en présence d’un autre peuple au sein de la nation française qui fait régresser un certain nombre de valeurs démocratiques ».

http://www.marianne.net/islamophobie-proces-honteux-fait-georges-bensoussan-100249383.html

Examinons chacune de ces deux citations. Qui peut nier aujourd’hui qu’en France, n’en déplaise aux imposteurs de l’antiracisme, l’antisémitisme ne soit pratiquement que le fait de personnes issues des populations arabo-musulmanes ? Même l’ineffable Jakubowicz, au lendemain des assassinats de Merah, était obligé de l’admettre, des sanglots dans la voix. Il y a longtemps que Gilles-William Goldnadel est arrivé aux mêmes conclusions. Et faut-il ajouter que Mein Kampf est le livre le plus vendu dans nombre de pays arabes ? Elevés dans le gavage du Coran, dès ses premiers jours, l’enfant musulman est forcément imprégné, tout au long de sa croissance, par des sourates appelant ouvertement au meurtre des juifs, et les comparant à des singes.

Donc, les propos de Georges Bensoussan sont exacts. Reste à savoir si on a le droit de dire la vérité, dans ce pays, sans inciter à la haine ?

Que dire de la deuxième phrase ? Bien évidemment qu’avec 10 millions de musulmans en France (même si Bensoussan, tel une Malika Sorel, ne prononce jamais le mot islam), il y a un Etat dans l’Etat qui se met en place, avec des règles particulières. Bien évidemment que quand l’Institut Montaigne, qui n’a compté que 3 à 4 millions de musulmans, relève, malgré tout, que 50 % des musulmans de moins de 25 ans font passer les lois du Coran avant celles de la République, cela valide les propos de l’Historien. Reste à savoir, là encore, avec la tyrannie des lois dites antiracistes, et le coup de l’incitation à la haine, si on a le droit de dire la vérité en France, sans se retrouver devant la 17e Chambre.

Avec une rare complaisance, le site Huffington Post, présidé par Anne Sinclair, donne longuement la parole à l’ineffable Sopo, qui, dans la foulée du signalement du CCIF et de sa plainte, se portera partie civile. Naturellement, le haineux président de Sos Racisme se sent obligé d’insulter Eric Zemmour, qualifié de « pseudo intellectuel grossier ». On fera remarquer à ce commissaire politique que le journaliste ne s’est jamais prétendu intellectuel, ni historien, mais que malgré tout, sa culture est telle que Sopo, qui a du mal à faire des phrases de plus de trois mots sans prononcer le mot « raciste » et « extrême droite », ne lui arrive pas à la cheville.

http://www.huffingtonpost.fr/dominique-sopo/pourquoi-sos-racisme-ne-veut-pas-laisser-passer-les-propos-de-ge/

Nous ne pouvons que nous réjouir que, comme lors du procès d’Eric Zemmour, il y ait des soutiens de poids pour soutenir Georges Bensoussan : Elisabeth Badinter, le Grand Rabbin de France, Michèle Tribalat et Pascal Bruckner, qui vient de remporter un procès exemplaire contre la clique Bouteldja-Diallo.

Malgré tout, leur attitude pose un double problème. On ne peut pas défendre Georges Bensoussan, et continuer à soutenir l’existence des lois Pleven-Gayssot. Ce sont l’esprit de ces lois, pour lesquels nombre d’entre eux se sont battus, qui amènent aujourd’hui des racketteurs de l’antiracisme et les islamistes du CCIF à utiliser le coup de « l’incitation à la haine… en raison de l’appartenance à une religion » pour traîner devant les tribunaux de nombreux patriotes comme Eric Zemmour, Renaud Camus, Ivan Rioufol, Robert Ménard, Marine Le Pen, sans oublier les animateurs de Riposte Laïque et Résistance républicaine, principalement Pierre Cassen et Christine Tasin.

BRUNO BERTEZ

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France : défaite judiciaire majeure pour les « collabos de l’islamisme »

FIGAROVOX. – Pascal Bruckner comparaissait mercredi devant la 17e chambre pour des propos visant deux associations, selon lui, «complices idéologiques» des terroristes : «Les Indivisibles» de la militante antiraciste Rokhaya Diallo (qui n’en est plus membre) et «Les Indigènes de la République» d’Houria Bouteldja. Le philosophe avait déclaré sur le plateau de «28 Minutes», une émission d’Arte, qu’il fallait «faire le dossier des collabos, des assassins de Charlie» et accusé ces associations de «justifier idéologiquement la mort des journalistes de Charlie Hebdo».Que pensez-vous de cette décision? Est-ce une victoire de la liberté d’expression?

Laurent BOUVET. – Cette décision est importante. D’abord, en effet, parce qu’elle est une victoire de la liberté d’expression. Une liberté d’expression de tous ceux qui refusent de se laisser intimider par les entrepreneurs identitaires, comme les Indivisibles ou le PIR, qui utilisent tous les moyens possibles (des réseaux sociaux à la justice) pour faire progresser leur vision communautariste et séparatiste sur une base ethno-raciale dans la société française.

C’est aussi une décision importante parce qu’elle met en évidence un phénomène souligné notamment par Pascal Bruckner dans son propos incriminé: la continuité idéologique entre les formes les plus violentes, terroristes et djihadistes, et les formes les plus anodines de la dérive islamiste ou de l’islam politique. Il s’agit en effet d’une différence de degré mais pas de nature entre les unes et les autres. On peut rappeler ici les propos tenus par certains des entrepreneurs identitaires en novembre 2011, après la première attaque contre les locaux de Charlie Hebdo au cocktail molotov: «Il n’y a pas lieu de s’apitoyer sur les journalistes de Charlie Hebdo, que les dégâts matériels seront pris en charge par leur assurance, que le buzz médiatique et l’islamophobie ambiante assureront certainement à l’hebdomadaire, au moins ponctuellement, des ventes décuplées, comme cela s’était produit à l’occasion de la première «affaire des caricatures» -bref: que ce fameux cocktail molotov risque plutôt de relancer pour un tour un hebdomadaire qui, ces derniers mois, s’enlisait en silence dans la mévente et les difficultés financières».

Ce qui est réconfortant, c’est que la justice n’est pas dupe de la stratégie de ces gens.

Sur le fond, le mot «collabo» employé par Bruckner n’est-il pas excessif?

Le mot paraît fort parce qu’il renvoie à la Seconde Guerre mondiale et à l’Occupation, aux «collabos» français avec le nazisme. Mais au-delà de cette évocation historique, il dit bien ce qu’est cette continuité idéologique. Quand on justifie ainsi un premier acte de violence contre un journal comme Charlie Hebdo parce qu’on n’en apprécie pas le contenu, on joue un jeu dangereux dont la tuerie du 7 janvier 2015 sera l’aboutissement tragique. Si les frères Kouachi sont passés à l’acte, ce n’est bien évidemment pas en raison de telles déclarations mais elles font partie d’un contexte général, d’un contexte défavorable à la liberté d’expression dont Charlie Hebdo était déjà un symbole depuis l’affaire des caricatures de Mahomet (…)

 

1 réponse »

  1. ceux qui pronnent le multiculturalisme n’en souffrent pas ; ils sont à l’abris des méfaits commis par ceux qui font passer les lois du coran avant celles de la république ; au fait , savez que la france fait moins d’enfants mais que la population de notre pays augmentent ?…..

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