- Le premier cavalier législatif a sorti les associations religieuses de la liste des lobbies – une mesure qui permet à des entités comme les Frères musulmans d’exercer une pression sur les élus du Parlement sans laisser de traces.
- Est-ce l’affaire de l’Etat laïc de France d’organiser des musulmans et de former des imams « républicains » ?
- Depuis la loi de 1905 sur la laïcité – acceptée par toutes les religions sauf l’islam – il est admis que les groupes ou partis religieux ne peuvent imposer leurs règles à l’Etat laïque. Aujourd’hui, l’Etat a entrepris de s’adapter à l’islam.
- La grande question est la suivante : qui va diriger et gérer ce nouveau dispositif ? Les Frères musulmans, l’organisation la plus puissante, qui contrôle plus de 2 000 mosquées en France ? Ou une jeune garde de technocrates musulmans proches du président mais sans lien avec les mosquées, les imams et la communauté musulmane en général ?
Dans un livre de confessions, « Un président ne devrait pas dire ça », publié en 2016, quelques mois avant l’élection présidentielle française de 2017, François Hollande avait reconnu que la France avait « un problème avec l’islam, c’est vrai. Nul n’en doute ». Il ajoutait : « Il y a des choses qui taraudent (les Français), ils arrivent dans un train, ils voient des barbus, des gens qui lisent le Coran, des femmes voilées… ». Sur l’immigration, il disait « Je pense qu’il y a trop d’arrivées, d’immigration qui ne devrait pas être là ». Puis François Hollande concluait : « Comment éviter la partition ? Car c’est quand même ça qui est en train de se produire : la partition ».
La « partition » dont parlait Hollande était la partition du territoire national – une France pour les musulmans et une autre pour les non-musulmans.
Le président Emmanuel Macron, élu en 2017, a choisi de penser la partition non plus comme un risque majeur mais comme une solution. En tenant compte de ce qu’il a dit et fait depuis son élection, il apparait possible d’avancer que la division du pays est en cours. Officiellement, Macron continue d’être le gardien de la Constitution et d’incarner l’unité nationale. Mais la stratégie qu’il met en place aujourd’hui, progressivement, apparait comme une stratégie de partition.
La première étape de ce processus de partition a consisté à créer un nouvel ennemi. Pour Macron, l’ennemi n’est pas l’islam radical qui a morcelé des territoires et assassiné des centaines de personnes en France ces dernières années. Non, non, non l’ennemi c’est la laïcité radicale, une laïcité qui elle n’a jamais tué personne. Déjà, avant l’élection de 2017, Macron avait dénoncé le « laïcisme » comme « une conception étriquée et dévoyée de la laïcité qui dénote à la fois une insécurité culturelle profonde et une incompréhension historique de la France ». Dans Challenges, en octobre 2016, il avait dénoncé les défenseurs « d’une vision revancharde de la laïcité », d’« une laïcité qui, avant tout, pose des interdits, lesquels, au passage, se manifestent surtout à l’encontre d’une religion en particulier ».
En décembre 2017, après son élection, Macron a organisé une rencontre avec les représentants de six religions (catholique, protestante, orthodoxe orientale, musulmane, juive et bouddhiste) au palais de l’Elysée. Rien n’a fuité de cette réunion hormis une petite déclaration qui se situe dans le prolongement des précédentes : Macron se serait déclaré préoccupé d’une éventuelle « radicalisation de la laïcité ». Une, citation qui en dit long : l’islam politique n’est pas le problème ; la résistance à l’islam en revanche bloque l’unité de la nation.
Pour isoler la laïcité et la pointer comme le nouvel ennemi, Macron avait besoin d’alliés. Il ne pouvait en trouver de meilleur qu’au sein de l’Église catholique, première victime en France de la loi de 1905 qui a brisé tous les liens unissant l’Église et l’État. En avril 2018, Macron s’est donc rendu à l’invitation de la Conférence des évêques de France. Dans le somptueux décor du Collège des Bernardins, devant plus de 400 personnalités catholiques, Emmanuel Macron, a prononcé un discours érudit et lyrique, mais vide de toute proposition. Toutefois, adroitement glissée dans le discours, une invitation à « réparer le lien endommagé» entre l’Eglise et l’Etat a fait mouche. Les 400 responsables catholiques se sont levés et ont ovationné le président de la République comme un sauveur.
En juin 2018, Macron a réitéré son amour des catholiques en visitant le pape François au Vatican et en acceptant le titre de chanoine honoraire de la basilique Saint-Jean-de-Latran. Le président a également réaffirmé sa volonté « d’approfondir nos relations d’amitié et de confiance avec le Saint-Siège ».
Avec ce puissant allié catholique en poche, Macron pouvait lancer la deuxième étape de sa stratégie de partition: autonomiser les musulmans de France en leur confiant les clés de la « politique de la ville ». Les termes « politique de la ville » sont le synonyme d’intégration et d’assimilation à la française. Au cours des 30 dernières années, l’État français a consacré 48 milliards d’euros à des projets de rénovation des banlieues pauvres qui accueillaient des millions d’immigrés, principalement musulmans de première, deuxième et troisième génération. Les nouveaux bâtiments, les nouvelles routes et les nouveaux véhicules de transport en commun semblent toutefois avoir produit le contraire de l’effet souhaité : émeutes récurrentes, attaques contre les écoles et les commissariats de police., trafic de drogue dans les cités, prolifération de mosquées salafistes et plus de 1 700 djihadistes partis pour rejoindre l’Etat islamique.
En mai 2018, Macron a habilement rejeté la recommandation du rapport Borloode remettre à nouveau au pot 48 milliards d’euros sur 30 ans pour une politique qui avait déjà échoué. Au lieu de continuer à acheter une paix sociale (fragile) avec des milliards prélevés dans la poche des contribuables, Macron a fait mieux : il a créé le « Conseil présidentiel de la ville », une structure politique composée principalement de notables musulmans (deux tiers du total des membres du Conseil) et de représentants d’organisations travaillant en banlieue. Aujourd’hui, cet organe est chargé de suivre la politique de la ville. Pas de nouveaux milliards en perspective donc, mais un « comité consultatif musulman » pour réorienter l’argent de l’ancienne politique de la ville. Deux agences sont impliquées dans le financement de la rénovation des « zones urbaines sensibles » : l’ANRU (Agence nationale pour la rénovation urbaine) et l’ACSÉ (Agence pour la cohésion sociale et l’égalité des chances). Ces deux agences seront bientôt remplacées par le Commissariat général à l’égalité territoriale. Le budget consacré à la politique urbaine en 2018 était de 429 millions d’euros.
L’idée de confier les clés des banlieues musulmanes à des associations islamiques n’est pas nouvelle. Elle a été formulée pour la première fois par le conseiller d’Etat Thierry Tuot dans un célèbre rapport intitulé « La grande nation: pour une société inclusive », présenté en 2013 au Premier ministre Jean-Marc Ayrault. La principale proposition du rapport était précisément de transférer la politique urbaine aux organisations islamiques, le rôle de l’État se bornant à les subventionner.
Pour compléter ce dispositif d’habilitation de l’islam politique en France, deux cavaliers législatifs ont été introduits fin juin 2018 dans la « loi pour un Etat au service d’une société de confiance ». Le premier cavalier législatif a supprimé l’obligation pour les associations religieuses de se déclarer comme lobbies lobbying. Cette mesure fraye clairement la voie de l’anonymat à des entités comme les Frères musulmans quand elles souhaitent exercer des pression sur le législateur sans laisser de traces. Le deuxième cavalier législatif – en violation de la loi de 1905 sur la laïcité – a autorisé toutes les associations religieuses à agir en tant qu’acteurs privés sur le marché immobilier. Selon le Comité Laïcité République (CLR), ce cavalier législatif priverait une municipalité ou une région de la possibilité de s’approprier des terrains ou des bâtiments vendus par une église ou une mosquée. « Ainsi, le code de l’urbanisme et la loi de 1905 seraient modifiés à cet effet », a déclaré le CLR. En d’autres termes, le financement privé des croyances est autorisé.
La troisième étape de la partition institutionnelle des musulmans est en cours. Il s’agit de bâtir un « islam de France » – déconnecté de l’ancien « islam en France ». En d’autres termes, la Grande Mosquée de Paris doit cesser d’être considérée comme l’équivalent de l’ambassade d’Algérie. « Dès cet automne, nous donnerons à l’islam un cadre et des règles pour nous assurer que cette religion s’exercera d’une manière compatible avec les lois de la République », a déclaré Macron. Une manière indirecte de reconnaître que l’islam déborde régulièrement le cadre législatif actuel.
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Que se passera-t-il en septembre ? Rien de précis n’a été rendu public, mais le gouvernement donne le sentiment de vouloir agir comme en Autriche : en coupant les liens financiers entre les communautés musulmanes françaises et leurs pays d’origine (Turquie, Algérie, Maroc, par exemple). Comment seront financées les mosquées alors ? Forcément sur fonds publics.
Le gouvernement souhaiterait aussi créer une taxe sur le commerce halal (6 milliards d’euros de chiffre d’affaires par an), puis utiliser ces nouvelles recettes fiscales pour former des imams « républicains » en France.
Certains prêtent au gouvernement le projet de créer une agence nationale des pèlerinages à la Mecque. Estimée à plus de 250 millions d’euros, l’activité des pèlerinages se répartit entre 40 agences de voyages musulmanes agréées par le ministère du Hajj d’Arabie Saoudite pour recevoir leurs quotas de visas. De nombreuses agences de voyages musulmanes opèrent aussi illégalement et facturent des prix exorbitants pour un service inefficace. Ainsi, Macron est crédité du projet de réformer et donner à l’organisation du pélerinage une apparence de « normalité ».
Est-ce à l’Etat laïc d’organiser en France les musulmans et de former des imams « républicains » ? Non dans la mesure où une politique de ce genre soulève de nombreux problèmes législatifs et constitutionnels. Est-ce à l’Etat de donner une formation républicaine à des imams qui pour les deux tiers au moins ne parlentmême pas couramment le français ? Non plus et pour les mêmes raisons. Les imams islamistes peuvent-ils recevoir une formation « républicaine » et pour quel usage ? Des expérimentations ont déjà eu lieu et sont pour le moins catastrophiques. L’imam de Brest, en Bretagne, est devenu célèbre parce qu’il a été filmé expliquant aux enfants que la musique pouvait transformer l’auditeur en cochon ou en singe ; et il s’est filmé lui-même buvant de l’urine de chameau parce qu’il est écrit dans un hadith que l’urine de chameau soigne les maux d’estomac. En 2017, ce même imam de Brest a été diplômé « référent-laïcité » – soit un islamiste informé de ce qu’est la laïcité mais sans réelle obligation de la respecter – de la faculté de droit de l’Université de Rennes en Bretagne.
La grande question est la suivante : qui pilotera ce nouveau cadre législatif ? Les Frères Musulmans, l’organisation la plus puissante, qui contrôle plus de 2000 mosquées en France ? Ou une jeune garde de technocrates musulmans proches du président mais sans lien avec les mosquées, les imams et la communauté musulmane organisée en général ? Nous le saurons bientôt. D’ores et déjà, des rumeurs circulent selon lesquelles Tareq Oubrou, imam de Bordeaux, connu pour être la figure humaine des Frères musulmans, pourrait devenir « Grand Imam de France ».
En 1627, le cardinal de Richelieu, premier ministre du roi Louis XIII, a pris d’assaut et rasé les fortifications de la ville de la Rochelle pour ramener les protestants sous l’autorité du roi. En 2018, Macron donne le ciment, l’argent et les briques aux musulmans français pour contribuer à leur bâtir un « califat à la française ».
Yves Mamou, auteur et journaliste basé en France, a travaillé pendant deux décennies en tant que journaliste au Monde. Son prochain livre, « Le grand abandon, les élites françaises et l’islamisme », sera publié début octobre 2018 aux éditions L’Artilleur.
https://fr.gatestoneinstitute.org/12932/macron-partition-france
OK+++++++++++++++++++++++++++++++
EN BANDE SON :
Catégories :Art de la guerre monétaire et économique, Conspirationisme, Divide and Conquer, Douce France, Droit, Droit, propriété, propriété intellectuelle, Islamisme, L'Etat dans tous ses états, L'Etat dans tous ses états, ses impots et Nous, Le Grand Remplacement, Le retour de Dickens et Zola, Le Spectacle de la Société, Les Tribulations de la Kleptocratie, Mondialisme, Multiculturalisme, Propagande et Manipulation, Sécession 3.0
Pour mémoire, ce sont les accords d’OSLO qui ont amené l’intifada.
Le monde musulman est binaire, et n’est pas occidental. Il verra ses arrangements comme de la faiblesse et enfoncera le clou pour tout le territoire. Il y a eu ou pas ( en fonction de ce que l’on cherche en final) une très grosse erreur occidentale, avec évidemment une facture à payer.
C’est celle de millions de morts comme à chaque fois. L’histoire est cruelle mais rappelons nous: Qui veut faire l’ange finit par faire la bête.
Ne nous inquiétons pas, lorsque le pouvoir et l’argent des Vrais Maîtres seront menacés, le sort de quelques millions de personnes y compris nous, ne sera pas un problème. Ils ont déjà fait pire dans le passé pour Arriver à leur fin.
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Mouai, encore de la paranoïa anti Islam pour faire diversion quant aux véritables problèmes sociaux… Très bof bof bof
les freres musulmans étaient utiles aux organisations représentées par clinton obama macron pour régler précisément vos problèmes sociaux (mais à leur facon)
https://www.youtube.com/watch?v=4EcC0QAd0Ug
During a 2008 interview on the NY1, pro-communist former Manhattan Borough President, Percy Sutton, said he had been introduced to young Barack Obama when the future U.S. president was applying to Harvard Law School in the late 1980s.
Sutton said he was introduced to Obama “by a friend who was raising money for him,” and he identified this friend as Dr. Khalid al-Mansour, whom he described as “a principal adviser to one of the world’s richest men.” Al-Mansour asked Sutton to write a letter to his friends at Harvard to support Obama’s entry, he said.
Al-Mansour later denied that claim when contacted by Politico blogger Ben Smith.
The individual Sutton described as “one of the world’s richest men” was Alwaleed, and his principal adviser, al-Mansour, was helping to finance the education of select individuals who they believed could become assets in the future.
attendez vous à de grosses surprises sur obama après clinton
car trump veut liquider les freres musulmans aux us et partout ou c’est possible
ne serait-ce que pour passer le temps
la russie la chine sont 100% ok
notes
savez vous que l’un des plus gros fournisseurs de starbucks (lié à 9/11) contrairement à alwaleed n’a toujours pas été libéré de taule par MBS?
tout est su même les medias fakenews sont maintenant obligés d’en parler
https://www.newsweek.com/cia-and-saudi-arabia-conspired-keep-911-details-secret-new-book-says-1091935?amp=1&__twitter_impression=true
« attendez vous à de grosses surprises sur obama après clinton
car trump veut liquider les freres musulmans aux us et partout ou c’est possible
ne serait-ce que pour passer le temps
la russie la chine sont 100% ok »
Trééééééééééééés attendu !!!!!!!!!!!!!
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merci sassy2 a diffuser
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Très insuffisant quant a l’argumentation ….
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gauchonnerie
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Je ne fais pas la même interprétation des actes de Macron, je pense qu’il veut « confiner » l’Islam en républicanisant ce culte.
Ça ne fonctionnera pas sur le long terme, pour une raison simple, la pression démographique, ainsi que la nature de l’islam qui est une système de contrôle social décentralisée (qui se moque déjà du jacobinisme parisien).
En attendant la fiction d’un islam de France, d’un islam républicain permettra de continuer comme si de rien n’était.
Partition de la France ou soumission progressive ?
La partition n’est pas envisageable en raison de l’idéal d’unité républicaine (la république une et indivisible). En revanche les « accommodement raisonnables » permettent de changer en profondeur et sans trop de « douleur » le quotidien des français. L’entrisme rongera la république tout doucement.
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Géographiquement parlant, l’image « nord/sud » de la partition n’est pas très exacte. Ce serait plutôt Est/Ouest et Paris serait coté musulman en raison du très fort taux de population allogène dans cette région.
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Bien vu !!! Tout le coté Bretagne Vendée Pays Basque est beaucoup moins envahit ce qui explique entre autres que les « bobos » et autres socialistes de mes deux ne réagissent pas encore a l’invasion…… on le voit dans le vote FN
, L’ile de France Paca et tout le le sud est envahi (sauf en montagne)!!!!!!!!
Par contre tout le boboistan (littérature,prestituésTv,, cinoche etc…)a ses maisons de campagne du coté Atlantique…ils distillent la propagande pro muzz mais ce garde bien de vivre dans les territoires occupés.
On vit encore peinards dans les coins du coté de l’atlantique!
Et puis les basques comme les Corses n’ont pas l’intention de se « métisser »
Et aussi les Vendéens qui ont une bonne revanche a prendre sur la raie-publique
Beaucoup de Bretons conservent leur identité d’origine Celte !!!!
Il suffit de prendre une carte de France et de voir les lieux de concentration de mosquées!!!
Rien a voir avec la » merdeinfrance » dissoute de l’ile de France ou du sud.
Les gauchos de tout poils sont les alliées objectif des muzz
Il y aura peut être aussi une confrontation entre gauchos et natios
Il n’y a pas plus de peuple Français nous sommes déjà en partition :muticulturalisme.
A un moment les gens vont se regrouper par communautés.
Des régions seront livrés au muzz et la charia s »appliquera
Je hurlerai de rire le jour ou je verrais les gauchos féministes femelles obligées de porter le tchador!
Quand on Cathos je leur décerne la palme de la connerie suprême leur pape et le représentant de l’onuzie..
Les Juifs eux se barrent en Israél.Quand il le peuvent.
Macron fait ce qu’on lui dit de faire.
Régionaliser la France.
La dissoudre,l’éclater façon confettis,la leopardisée,
Ils sont partout mais en plus ou moins grand nombre.
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la partition se fait déjà les autochtones fuyant ces zones sans en vouloir donner la vraie raison.On parle de « commodités, de transports, saleté. L’encadrement ceux qui ont les moyens fuit Paris…Donc de fait certaines villes passeront sous contrôle musulman comme en angleterre..
https://www.courrierinternational.com/article/royaume-uni-musulmans-britanniques-une-nation-dans-la-nation
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Avant de devenir une « Ripoublique islamiste » la France et ses dirigeants corrompus devront faire face à une quasi certitude :
La demande de « Partition du pays » en de multiples territoires autonomes pour y imposer la Charia et la « République islamique pur jus » !!!
Que feront nos poly-tocards corrompus ?
ils baisseront leur pantalon pour éviter l’embrasement du pays,
mais cet embrasement arrivera quand mème et malgré tout,
car depuis les petites Républiques islamistes « inside la France » (de surcroit financées indirectement par l’État Français donc par les « Cons-Tribuables »),
des attentats seront télécommandés et réalisés sur les territoires restant de la « Ripoublique Française », et avec en plus une exigence d’obtenir des ministres et d’un 1er ministre Français « tous musulmans » pour les bédouins restant en territoire Français.
Au final celà se terminera comme en Bosnie : même Scenario, même Cauchemar !!!
et avec des frères Djihadistes qui monteront du Moyen-Orient pour venir aider leur frères musulmans francisés à faire la guerre aux « infidèles » de chrétiens Français.
L’islam aura agit tel le fait biologiquement un Cancer, il aurait gangréné tout le pays, avant de le tuer littéralement au final.
Le Pire est devant Nous si nous gardons les mêmes guignols au pouvoir depuis 40 ans, et si nous restons dans l’Europe de Bruxelles qui impose à la France ses lois mortifères.
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