Au coeur de la création de richesse : l'Entreprise

Billet Invité : Argentum Aurum Europa

2ème Billet d’une série qui sera consacré à des invités surprises…invités que j’apprécie bien entendu tout particulièrement…j’y vois là une manière de faire découvrir leur travail et de leur rendre ainsi hommage…Une façon aussi de diversifier les points de vue et d’apporter un autre regard…Alors si vous aussi l’envie vous en dit n’hésitez pas à me soumettre vos textes je me ferais un plaisir de les publier ici

C’est un spécialiste du gold qui mène la danse : Argentum Aurum Europa : www.argentum-aurum.blogspot.com (cliquez sur le lien)…Vous le connaissez au travers de ses fils d’infos tous estampillés 100% gold mais il écrit régulièrement aussi des éditos et c’est le dernier que je vous propose de découvrir :

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08 août 2009

 

Vous allez payer!

 

Il ne faut pas confondre nationalisation (ou étatisation) et confiscation. La différence réside dans le fait qu’il y a ou non indemnisation par l’état des anciens propriétaires privés.
Souvant cette indemnisation dans le cas de secteurs en difficultés est très faible; mais ce n’est pas toujours le cas (on a connu des sociétés, par exemple de la défense qui furent très généreusement rachetées).

L’histoire économique mondiale est extrèmenent riche en exemple de nationalisation. En France, la nationalisation est généralement synomyne de sauvetage d’entreprise en difficultés suivant le principe très connu: « Privatisation des profits et socialisation des pertes« . La liste française est longue depuis la première nationalisation des Chemins de fer de l’Est en 1907 (Cf Wikipedia).

La propriété étatique ne démontre pas systématiquement d’avantages sur la propriété privée, tout dépend de la gestion de l’état. Cette gestion est malheureusement le plus souvant déplorable, laxiste, prétexte au « pantouflage » … et en fin de compte résout rarement ou à un coût prohibitifs les problèmes qui étaient la cause de la nationalisation. L’état interventionniste, s’oppose au « laissez faire » naturel du marché et bien souvant ne repousse que l’inéluctable.

L’état en devenant gestionnaire sort de son rôle de législateur/contrôleur et il aggrave le plus souvant son déficit. Il détourne des ressources vers des « canards boiteux » , au lieu de les utiliser dans des activités rentables. Il privilégie des objectfs à CT et le clientèlisme, à une stratégie LT porteuse d’avenir.

A cet égard les nationalisations partielles/totales de banques en Grande-Bretagne, Belgique, … ou de General Motors aux USA ne résolvent rien que du contraire

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