Le refus de la déflation imposée par l’Asie du Nord a provoqué une forte augmentation de l’interventionnisme dans les pays occidentaux, une montagne de dettes publiques et une baisse du PIB.
Il ne reste aux gouvernements occidentaux aucune autre solution que de forcer le secteur privé à soutenir le marché de la dette publique, écrit dans le Financial Times Russell Napier, auteur de Anatomy of the Bear et stratège de CLSA.
Sous le poids de différentes initiatives, le monde est en train de se rééquilibrer selon les vœux du G7. Les nouvelles normes de fonds propres obligeront les banques commerciales à accumuler des emprunts d’Etat.
La dernière arme qui sera utilisée sera le contrôle des capitaux.
Pour financer une dette publique jamais aussi élevée depuis la Seconde Guerre, on utilisera des formes contraintes qu’on n’avait plus vues depuis cette époque.
La normalisation, ce n’est pas une moindre croissance mais le retrait progressif du marché libre.
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