1984

Satanalyst : Qu’est-ce qu’un reset ? Par Damien Ruzé

Satanalyst : Qu’est-ce qu’un reset ?

MACRO1

Qu’est-ce qu’un reset ?

L’action de reprogrammer le système en restaurant les « settings » (réglages) par défaut.

Le mensonge percole toutes leurs stratégies obliques.

Le « reset » est donc fake news, fallacie et billevesée, pipeau.

Le « nouveau normal » est l’instauration d’une dictature couvrant le fiasco éco-politique.

Activité économique en Vrounze pour octobre (estimation) ?

Pense moins trente pour cent, option basse.

La dette des états est tellement prodigieuse que l’application délirante des NIRPs (Negative Interest Rate Policy) a littéralement drainé l’épargne populaire.

Comment l’état rémunère-t-il le livret A à  + 0.5% en empruntant à – 0.5% ?

Perte sèche. On cause milliards ici.

Le croume intergalactique est prosaïquement irremboursable, point barre (d’or pur).

« La » covid (encore un transgenre) est ingéniée.

La soluce est de débrancher la prise. Turn it off and turn it on again.

Et d’en profiter pour installer un totalitarisme total (tautologisme).

Des études très sérieuses donc non médiatisées (et lycée de Versailles) estiment que la population mondiale doit être réduite de 30% pour redevenir gérable en termes de matières premières.

La machine globale peut fonctionner avec 30% des humains-larbins, supervisés par une « élite » bienveillante.

Résultat des courses : faire canner 70% des habitants de la planète.

Soldes avant incendie et liquidation, tout doit disparaître.

Catch 22 : toi aussi, petit dinosaure…

ç )

MICRO2

Les corps constitués sont en cours de perdre le peu de crédibilité qui leur restait.

Ce matin, nos pandores ponctionnaires implacables sont passés fermer le café du village.

Les empaffés envoient les rookies, des gamins qui étaient encore dans les mollets de papa que je payais déjà des impôts pour salarier leur fat ass.

Tu leur presses le naze, il coule de la limonade.

Essaye ça : on paye ces nervis décérébrés pour nous empêcher de respirer, vivre et travailler.

L’Occupation commence à ressembler à une colonie de vacances, mais j’ai toujours pas envie de prendre le train, j’ai piercing.

Les bleus de mes quinze étaient dans le troquet.

Je tente une percée.

« C’est fermé ! » que gueule la patronne.

« Tu sais bien que je parle pas français » que je rétorque, ajoutant « En allemand, ça donnerait quoi ? »

Ambiance et guerre asymétrique.

Mon pote Denis, un boulanger, m’a dépanné d’un café pris sur le trottoir. Je taille le bout de gras avec un communiste de quarante piges, sans muselière.

Tiens-toi bien. Les pandores font leur demi-tour, avisent une petite vieille au masque mal ajusté. Stoppent pour la morigéner. Toujours cibler les faibles.

La gendarmette me chouffe bien, démasqué. Taillent la route en tournant la tête.

Les képis se chient dessus. Le populo est chaud bouillant, pas toucher.

Savent qu’ils vont probablement se retrouver tôt ou tard avec la gendarmerie encerclée.

Denis se marrait comme une baleine derrière son comptoir. Faut fêter.

« Alexa ? » qu’il dit. « God Save The Queen des Sex Pistols ! »

Musique pulsant de l’arrière boutique.

Never Mind The Bollocks, l’abum qui met encore la crotte au guichet plus de trente piges plus tard.

« God save the Queen

And the fascist regim

They made you a moron

Potential H bomb… »

Ah au fait, Trump va gagner. Pense raz de marée.

Live to fight another day, bitchez’.

ç )

DAMIEN RUZE

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« Mais j’avais cru qu’un jour surgiraient, sortis des hautes demeures, des hommes armés qui seraient les chefs chevaleresques dans la lutte. Au lieu d’eux, je voyais ce vieillard prématuré dont l’aspect m’éclairait pleinement sur le degré de décadence où nous étions déjà tombés. »

EN BANDE SON :

3 réponses »

  1. « Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s’y prendre de manière violente. Les méthodes du genre de celles d’Hitler sont dépassées. Il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l’idée même de révolte ne viendra même plus à l’esprit des hommes.
    L’idéal serait de formater les individus dès la naissance en limitant leurs aptitudes biologiques innées. Ensuite, on poursuivrait le conditionnement en réduisant de manière drastique l’éducation, pour la ramener à une forme d’insertion professionnelle. Un individu inculte n’a qu’un horizon de pensée limité et plus sa pensée est bornée à des préoccupations médiocres, moins il peut se révolter. Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste. Que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif.
    Surtout pas de philosophie. Là encore, il faut user de persuasion et non de violence directe : on diffusera massivement, via la télévision, des divertissements flattant toujours l’émotionnel ou l’instinctif. On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique. Il est bon, dans un bavardage et une musique incessante, d’empêcher l’esprit de penser. On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains. Comme tranquillisant social, il n’y a rien de mieux.
    En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d’entretenir une constante apologie de la légèreté ; de sorte que l’euphorie de la publicité devienne le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté. Le conditionnement produira ainsi de lui-même une telle intégration, que la seule peur – qu’il faudra entretenir – sera celle d’être exclus du système et donc de ne plus pouvoir accéder aux conditions nécessaires au bonheur.
    L’homme de masse, ainsi produit, doit être traité comme ce qu’il est : un veau, et il doit être surveillé comme doit l’être un troupeau. Tout ce qui permet d’endormir sa lucidité est bon socialement, ce qui menacerait de l’éveiller doit être ridiculisé, étouffé, combattu. Toute doctrine mettant en cause le système doit d’abord être désignée comme subversive et terroriste et ceux qui la soutiennent devront ensuite être traités comme tels. »
    Günther Anders, « L’Obsolescence de l’homme », 1956

  2. @Anders : C’est à peu près le programme d’Attali concernant la future populace 100% métissée et qui sera le troupeau des futurs esclaves au service de la fameuse « Hyper-Classe » si chère à Attali … Durée de vie limitée par un patch tueur pour le bas peuple esclave et durée de vie multipliée par 2,5 pour les soi-disant « Zélites » (mafieuses) de la Nouvelle Oligarchie Féodale Mondiale…
    Quand au RESET : s’il leur faut éliminer 70% de la population mondiale, ils élimineront d’abord les moins productifs donc moins « rentables » (Les peu instruits, Les handicapés, Les seniors, Les malades chroniques…) , puis TOUS ceux qui réfléchissent CONTRE le système (Rebelles, intellectuels, ingénieurs, Étudiants, et tout type d’opposition rétive non contrôlable…) …. Et bien sur ils chercheront à éliminer au maximum « L’Homme Blanc » sur qui est censé peser « Tout le Péché du Monde » …., il formateront dès le berceau un peuple à l’esprit limité, aux connaissances et aux capacités de réflexion limitées, un peuple primitif, docile et corvéable, même leurs gouts et leurs désirs seront décrétés par « L’Elite » (mafieuse)…
    Hitler en a rêvé (« La Race des Seigneurs » versus celle des « Esclaves »), Les Mondialistes vont tenter de le faire… Heureusement ces Loups Criminels infâmes n’ont pas tout prévu …

  3. Pensons, imaginons, poussons, portons l’autre monde, VIEe. Cette régurgitation putride de salauds s’autodétruira, s’autodétruit déjà, puante, pourrie, toxique jusqu’aux tréfonds, morte.
    Anders Gunther, averti, nous prévient. Finesse grand angle en Tout humain.
    Réorientation en cours, puisée dans l’avenir. Même pas de reset pour les salauds eux-même moyenne 8000 : HS, KO, caput. OUT.

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